Lettre du 26 décembre 2018 Pour télécharger cette lettre, cliquez sur : « Lettre du 26 décembre 2018 » Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. Art. 35 de la Constitution française du 24 juin 1793 Avec la complicité des médias et des députés de la « République en Marche », la dictature marconienne s'installe violemment en France. Allons-nous nous laisser faire ? Vaccination obligatoire des nourrissons dès 8 semaines avec des produits qui ne protègent de rien et qui sont hautement toxiques (scalène, mercure, formol, etc.) et parfois mortels ; suppression de la liberté de soins (attaques de l'homéopathie, de l'herboristerie, etc.) ; interdiction de commercialiser des semences paysannes millénaires afin de nous imposer les semences OGM (on rend obligatoire la vaccination avec des produits hautement toxiques et on nous interdit de nous alimenter avec des produits sains) ; taxation comme jamais des contribuables ; violations de nos droits fondamentaux (dont celui d'aller et venir, de manifester ou de ne pas se voir imposer un traitement médical) ; contrôle et censure d'internet et des réseaux sociaux ; suppression de la liberté d'expression ; organisation économique du chômage de masse ; immigration incontrôlée volontaire ; augmentation des privilèges exorbitants de la classe politique et des hauts fonctionnaires ; manipulations médiatiques au bénéfice du pouvoir ; chasse aux « vraies » nouvelles qui sont déclarées « fausses nouvelles » par le pouvoir et ses médias aux ordres ; tirs tendus de flashballs sur les visages de manifestants calmes ; tirs de grenades militaires sur des manifestants pacifiques et sans arme ; tabassages et matraquages de gens à terre ou d'un handicapé par des policiers qui se transforment en nervis de la dictature qui s'installe sous nos yeux ; vies et corps esquintés à jamais par la répression sanglante des manifestations légitimes (oeil énucléé par un tir tendu de flashball, pieds et tibias « explosés », mains arrachées par les grenades)... Tout cela relève de la même volonté de cette classe politique et administrative de nous réduire à la condition d'esclaves au service de leurs décisions et privilèges. Allons-nous nous laisser faire ou leur dire stop ? Notre choix risque de devenir de plus en plus manichéen : nous soumettre, ou faire tabula rasa (table rase) des pouvoirs politiques, administratifs et médiatiques en place. * * * * * Depuis quelque temps, Emmanuel Macron semble ne vouloir fréquenter que les CRS, les gardes mobiles et les militaires. Depuis le 2 décembre 2018 et son retour d'Argentine (y a-t-il pris des cours en dictature militaire, ce pays l'ayant subi de 1976 à 1983), Emmanuel Macron ne dîne guère plus qu'avec des CRS ou des gardes mobiles à Paris, ou avec des militaires en Afrique. Aurait-il besoin de s'assurer de leur protection ? Certes, il s'est également « risqué » d'aller au chevet d'enfants malades, mais il semble rester loin, très loin, de ses concitoyens gilets jaunes.
L'ordre doit maintenant régner, réclame Emmanuel Macron. L'ordre doit régner, oui, mais lequel ? L'ordre républicain et démocratique, comme ils ne cessent de le clamer ? Bien sûr, c'est l'ordre que nous acceptons et qui doit nous unir. Mais, le problème, avec eux, c'est qu'ils confondent « République » avec « Nos privilèges d'élus ou de hauts fonctionnaires » et « Démocratie », avec « Tabassez-les donc à la moindre manifestation ». Rappelons, à ce sujet, que le mignon et nervi préféré d'alors de monsieur Macron, le sieur Benalla avait demandé aux CRS d'évacuer la place de la Concorde à coup de matraque le soir où les supporters voulaient acclamer l'équipe de France aux balcons de leur hôtel ! * * * * * Ils gazent une manifestation à Montpellier ou à Saint-Étienne où Il n'y avait pourtant aucun casseur parmi les manifestants, mais des mères de famille, des enfants ou encore des handicapés. Pour voir ces gazages de manifestants, cliquez sur : « gazage à Montpellier » et sur « gazage à Saint-Étienne ». Ils ont transformé le droit constitutionnel de manifester en droit de se faire tabasser, gazer, ou encore en celui de perdre un oeil ou une main, voir celui de mourir, pour avoir osé protester contre la politique du gouvernement. Les députés de La République en Marche ne cessent de le dire sur les ondes radio et les plateaux télé : les casseurs s'infiltrent (à moins qu'ils ne considèrent en fait que ce sont les gilets jaunes qui s'infiltrent parmi les casseurs), il y a donc des violences et des réactions légitimes des forces de l'ordre ! Ainsi, ceux qui vont manifester prennent le risque d'être blessés, c'est de leur responsabilité... À leurs yeux, les casseurs justifient les tabassages, les gazages et les violentes agressions commises en violation de la loi sur des manifestants pacifiques par certains policiers qui se transforment en nervis sanguinaires. Au 8 décembre 2018 : 2 morts, 5 manifestants qui ont perdu une main et 9 qui ont perdu un oeil pour avoir osé manifester pacifiquement contre Emmanuel Macron (aucune de ces victimes n'était un casseur). Message d'Édouard Phillipe (Premier ministre) et de Christophe Castaner (ministre de l'Intérieur) aux forces de l'ordre : Merci !
Au 8 décembre 2018, on comptait donc (bilan provisoire et incomplet dressé pas des gilets jaunes et publié sur Facebook, voir en fin de lettre) : 2 morts, dont une femme de 80 ans ayant reçu en pleine tête une grenade lacrymogène ;
9 manifestants qui ont perdu un oeil à cause d'un tendu de flashball LBD 40, ce qui est strictement interdit par les règlements en vigueur au sein des forces de l'ordre ; 5 manifestants qui ont perdu une main à cause l'explosion d'une grenade militaire GLIF4 dont la gendarmerie avait déclaré qu'elle n'en n'utiliserait plus à cause de leur dangerosité. Le ministère de l'intérieur dirigé par monsieur Castaner a déclaré vouloir écouler les stocks (cela rappelle l'histoire du sang contaminé de Fabius).
Les casseurs ont bon dos ! Comment les casseurs peuvent-ils passer les cordons de police alors que le moindre gilet jaune armé d'une simple paire de lunettes ne le peut pas ? Comment de jeunes gens, venant manifestement des cités du 93, pouvaient-ils se promener tranquillement aux abords des Champs-Élysées avec des clubs de golf à la main le 8 décembre 2018, alors que des patrouilles de police à moto ne cessaient de circuler dans toutes les rues (ce qui nous a été rapporté par Patrick Ledrappier, président de Libre Consentement Éclairé après sa traversée de Paris avec les pancartes « Les vaccins tuent ! » et « Vaccination obligatoire, la Mort en Marche ! ») ?
Comment ce « golfeur » a-t-il pu passer les barrages de police ? Que faisait ce « manifestant » parmi les policiers avec un marteau à la main, tel qu'on peut le voir sur cette vidéo en cliquant sur « Policier avec un marteau à la main » ? On peut légitimement se poser la question de savoir s'ils n'organisent pas ou ne facilitent pas les méfaits des casseurs pour mieux réprimer les manifestations et tabasser les manifestants.
* * * * * Quelques exemples (sur des milliers qui sont diffusés sur internet) des violences gratuites (et ce ne sont pas les plus violentes) des nervis de monsieur Macron et des députés de la République en Marche. Pour ces derniers, la responsabilité en revient aux manifestants qui se mêlent aux casseurs, en fait ! « Un policier agresse un passant qui filme tranquillement adossé à un arbre » « Gendarmes qui frappent un handicapé sur une chaise roulante »
* * * * * Un exemple de manipulation médiatique par le journal Le Figaro Scène entière : les policiers tirent des grenades sur les manifestants absolument calmes, inoffensifs et pacifistes. Les policiers ne sont absolument pas menacés comme on peut le voir en cliquant sur : « Tir de grenades de policiers et réaction des manifestants, scène non censurée, non coupée ». Diffusion de la même scène (coupée fake news) sur le site du journal Le Figaro : Ce journal coupe le vidéo pour ne montrer que les réactions des manifestants qui ont été grenadés sans aucune raison afin d'affirmer que des policiers ont failli se faire lyncher (sous-entendu sans raison) comme on peut le voir en cliquant sur : « Des policiers risquent le lynchage ». Exploitation politique de cette manipulation (fake news) : Le Premier ministre rencontrera les policiers agresseurs des manifestants pour leur apporter son soutien et celui du gouvernement comme on peut le lire sur cet article : « Édouard Philippe auprès des policiers ».
Un nombre officiel de manifestants repris par las médias absolument ridicule : 36 000 selon le gouvernement, oui, mais où ? Une vidéo sur la question mérite d'être regardée en cliquant sur « 36 000, oui, mais où ? »
* * * * * Mes photos préférées de la semaine
La semaine prochaine nous serons en 2019, une année où la destinée de notre pays, de notre nation et celle de chacun d'entre nous risque de se figer pour longtemps.
Allons-nous les laisser faire ? Résistons ! Bien amicalement à tous. Pierre Lefevre * * * * * Erratum : « Vaccins cancérigènes : entre 2 000 et 3 000 fois plus d'ADN foetal dans les vaccins que préconisé par l'Agence Européenne de Médecine ! Des vaccins qui ne peuvent pas éradiquer la maladie ! »
Dans notre précédente lettre, il fallait lire : "entre 200 et 300 fois plus d'ADN foetal", ce qui est suffisamment amplement inquiétant. Merci au lecteur vigilant qui nous l'a signalé.
« Adhérer à Libre Consentement Éclairé et lire nos objectifs »
* * * * *
Bilan provisoire et incomplet publié sur Facebook au 8 décembre 2018 Mort : 2 Dont Zineb Redouane, 80 ans, tuée par le tir d'une grenade lacrymogène reçue en plein visage le 1er décembre 2018 à Marseille ;
Yeux de perdus : 9 9 manifestants ont perdu un oeil à cause d'un tendu de flashball LBD 40, ce qui est strictement interdit par les règlements en vigueur au sein des forces de l'ordre ;
Mains arrachées : 5 5 manifestants ont perdu une main à cause l'explosion d'une grenade militaire GLIF4 dont la gendarmerie avait déclaré qu'elle n'en utiliserait plus à cause de leur dangerosité. Le ministère de l'intérieur dirigé par monsieur Castaner a déclaré vouloir écouler les stocks (cela rappelle l'histoire du sang contaminé de Fabius).
Blessés graves et amputés par les nervis d'Emmanuel Macron, de son gouvernement et de la « République en Marche » : Jérôme H. a perdu son il gauche (tir tendu de flashball LBD 40) le 24 novembre 2018 à Paris ;
Patrick a perdu son il gauche (tir tendu de flashball LBD 40) le 24 novembre 2018 à Paris ; Antonio, 40 ans, de Pimprez a été grièvement blessé au pied par l'explosion d'une grenade militaire GLIF4 à Paris le 24 novembre 2018 à Paris ; Gabriel, 21 ans, chaudronnier, a eu la main arrachée par l'explosion d'une grenade militaire GLIF4 à Paris le 24 novembre 2018 à Paris ; Siegfried, a été grièvement blessé à la main par l'explosion d'une grenade militaire GLIF4 à Paris le 24 novembre 2018 à Paris ; Maxime, a été brûlé à la main et a définitivement perdu l'audition à cause de l'explosion d'une grenade militaire GLIF4 à Paris le 24 novembre 2018 à Paris ; Cédric, apprenti carreleur a la Réunion, a perdu son il gauche (tir tendu de flashball LBD 40) le 27 novembre ; Guy, 60 ans, a eu la mâchoire fracturée par un tir tendu de flashball LBD 40 le 1er décembre 2018 à Paris ; Ayhan, 50 ans, technicien chez SANOFI, a eu la main arrachée par l'explosion d'une grenade militaire GLIF4 le 1er décembre 2018 à Tours ; Frédéric, 35 ans, a eu la main arrachée par l'explosion d'une grenade militaire GLIF4 le 1er décembre 2018 à Bordeaux ; Benoit, 29 ans, a été grièvement blessé à la tempe par un tir tendu de flashball LBD 40 le 1er décembre 2018 à Toulouse, placé sous coma artificiel pour 15 jours, son pronostic vital est engagé ; Mehdi, 21 ans, a été grièvement blessé lors d'un passage à tabac le 1er décembre 2018 à Paris ; Maxime, 40 ans, a eu une double fracture de la mâchoire par un tir tendu de flashball LBD 40 le 1er décembre 2018 à Avignon ; Doriana, 16 ans, a eu une fracture de la mâchoire par un tir tendu de flashball LBD 40 le 3 décembre 2018 à Grenoble ; Issam, 17 ans, a eu une fracture de la mâchoire par un tir tendu de flashball LBD 40 le 5 décembre 2018 à Garges-Lès-Gonesse ; Oumar, 16 ans, a eu une fracture du front par un tir tendu de flashball LBD 40 le 5 décembre 2018 à Saint-Jean-de-Braye ; Jean-Philippe, 16 ans, a perdu son il gauche (tir tendu de flashball LBD 40) le 6 décembre 2018 à Béziers ; Ramy, 15 ans, a perdu son il gauche (tir tendu de flashball LBD 40 ou de l'explosion d'une grenade militaire GLIF4) le 6 décembre 2018 à Lyon ; Antonin, 15 ans, a eu une fracture de la mâchoire par un tir tendu de flashball LBD 40 le 8 décembre 2018 à Dijon ; Thomas, 20 ans, a eu une fracture des sinus par un tir tendu de flashball LBD 40 le 8 décembre 2018 à Paris ; David, 20 ans, tailleur de pierres, a eu une fracture de la mâchoire et la lèvre arrachée par un tir tendu de flashball LBD 40 le 8 décembre 2018 à Paris ; Fiorina, 20 ans, a perdu son il gauche (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Paris ; Antoine, 26 ans, a eu la main arrachée par l'explosion d'une grenade militaire GLIF4 le 8 décembre 2018 à Bordeaux ; Jean-Marc, 41 ans, horticulteur, a perdu son il droit (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Bordeaux ; Antoine, 25 ans, graphiste, a perdu son il droit (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Paris ; Constant, 43 ans, a eu son nez de fracturé (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Mondeville ; Clément, 17 ans, blessée à la joue (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Bordeaux ; Nicolas, 38 ans, a eu sa main gauche de de fracturée (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Mondeville ; Yann, 38 ans, a eu un tibia de de fracturé (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Toulouse ; Philippe, grièvement blessé avec hémorragie interne, déchirure de la rate, (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Nantes ; Alexandre, 37 ans, a perdu son il droit (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Paris ; Marien, 27 ans, graphiste, a eu une double fracture de la main droite (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Bordeaux ; Fabien, a eu une pommette de fendue et le nez fracturé (tir tendu de flashball LBD 40) le 8 décembre 2018 à Paris ; Morts et blessés chez les manifestants Source : Ministère de l'Intérieur Les accidents de le circulation ne sont pas pris en compte 21 novembre : 1 mort552 blessés582 interpellations et 450 gardes à vue24 novembre : 54 blessés339 interpellations et 307 gardes à vue1er et 2 décembre : 1 mort (dame de 80 ans touchés dans son appartement par une grenade lacrymogène)182 blessés, dont 5 graves 682 interpellations et 630 gardes à vue
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