Toutes les actus de l'emploi et de la formation en agrolimentaire
Ils recrutent avec Jobagroalimentaire |
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Ils recherchent un chef de produit Dans une entreprise agroalimentaire, le (la) chef(fe) est le garant de la gestion d’un produit dans son ensemble, de sa conception à sa mise en vente. Il réalise les études de marché, participe à la conception des plans d’actions commerciales et des campagnes promotionnelles. Il travaille en collaboration avec les autres services (production, R&D, achats, forces de ventes…) ainsi qu’avec des prestataires externes (publicité, fournisseur d’emballage, graphiste...). Il veille aussi au bon déroulement de la fabrication et de l’approvisionnement. Même si le métier s’acquiert principalement par l’expérience, les diplômes recommandés pour occuper ce type de poste sont majoritairement des diplômes de niveau bac +5 dédiés au marketing, que cela soit un master, une école d’ingénieur ou une école de commerce. |
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Sodebo, le spécialiste des pizzas et plats préparés basé à St Georges de Montaigu (Vendée), entend doubler ses capacités de production dans les dix prochaines années, ce qui s’accompagnera immanquablement d’une augmentation des effectifs. |
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L’usine Harrys (Talmont Saint Hilaire – Vendée) du groupe Barilla va s’étendre de 2000 m2 pour accueillir une nouvelle ligne de production de ses pains de mie et de ses brioches. 35 postes vont être créés. |
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Les entreprises agroalimentaires du département de la Loire recrutent des conducteurs de ligne. |
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Spécialisé dans les poissons fumés, le groupe MerAlliance forme et recrute cinq conducteurs de ligne pour son site de Quimper (Finistère). |
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Cyril Quinqueneau, Responsable production chez Nérévia |
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Convaincu que l’agroalimentaire sera toujours un secteur d’avenir et intéressé par les aliments et leur transformation, Cyril Quinqueneau suit la formation BTS agroalimentaire à l’ENILIA de Surgères (17). |
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Son diplôme en poche, il commence sa carrière dans une entreprise de mareyage, la Société Pierre Rivasseau (17), avec la mission de développer un nouveau produit. La mission terminée, il est recruté en Haute Vienne par Coop Atlantique, une coopérative de consommateurs centrée sur la distribution. Pendant deux ans, il cumule les fonctions d’animateur qualité, de préparateur de commandes et s’occupe de manutention. Mais son souhait étant de revenir à la production, il rentre en Charente Maritime et intègre Nérévia, entreprise spécialisée dans la transformation et la distribution de viande. Recruté comme responsable assurance qualité, il se voit confier très rapidement les missions les plus variées (informatisation de l’entreprise, suivi de travaux et de budgets d’investissement…). En 2009, il passe responsable de production, un poste qui englobe les activités les plus variées (planification, ordonnancement, commandes, management du personnel…) mais qui toutes contribuent au bon fonctionnement de l’outil de production. A cette fonction, « il faut être en veille permanente, être toujours sur le pont, tout en restant souriant » explique-t-il avant d’ajouter : « car on est le moteur de l’entreprise. Pas question de se retrancher dans son bureau, il faut qu’on vous voie, c’est important pour la motivation des équipes. Gérer l’humain, c’est vrai que c’est parfois épuisant, mais cela procure aussi tellement de satisfaction ». De là à considérer qu’un responsable production a aussi un rôle social, il n’y a qu’un pas. |
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Sept industriels de l'agroalimentaire du Sud Ouest créent un BTS Maintenance |
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Sous l’impulsion d’Agropole et en partenariat avec l’IFRIA de Nouvelle Aquitaine, ces sept entreprises du Lot et Garonne se sont regroupées pour réagir aux difficultés de recrutement dans les métiers de la maintenance industrielle. Dès la rentrée 2021, l’IFRIA proposera à 15 apprentis une formation gratuite et rémunérée sur deux ans, avec un tiers du temps en centre de formation et deux tiers au sein des entreprises partenaires. Rattachés à une équipe de maintenance, les futurs techniciens seront chargés de faire l’entretien préventif et curatif des installations avant de prévoir leur amélioration. Véritable tremplin vers une insertion durable, la nouvelle formation peut d’ores et déjà accueillir 12 alternants, autant de postes étant à pourvoir dans les entreprises partenaires. D’autres entreprises lot et garonnaises ne manqueront pas de rejoindre prochainement le projet pour atteindre les 15 places prévues. |
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L'absence d'empathie fragilise l'entreprise |
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Longtemps cantonnée à la sphère privée, la notion d’empathie a investi le monde de l’entreprise. Fini le temps où l’on croyait obtenir l’efficacité maximale et régler les conflits à coup d’oukases et d’autorité. |
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Les managers ont dû se rendre à l’évidence : les salariés ont changé et ils ont besoin d’être écoutés et compris pour être motivés au travail. Il leur faut donc faire preuve de bienveillance avec leurs collaborateurs afin qu’ils soient moins stressés et donc plus efficaces. Dans un article paru sur le Mag des compétences, on trouvera une définition détaillée de l’empathie, un argumentaire circonstancié en faveur de son développement dans l’entreprise ainsi que quelques « recettes » de mise en œuvre. Et comme la crise sanitaire a imposé la bienveillance comme seul remède à la sinistrose ambiante, on pourra tirer profit d’un autre article paru sur FocusRH. |
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Télétravail et traitement fiscal des frais professionnels |
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Les allocations versées par l’employeur couvrant des frais de télétravail à domicile, qui peuvent prendre la forme d'indemnités, de remboursements forfaitaires ou encore de remboursements de frais réels, sont exonérées d’impôt sur le revenu. |
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Les allocations forfaitaires le sont dans certaines limites (2,20 € par jour de télétravail à domicile, 50 € par mois comprenant 20 jours de télétravail et 550 € par an). Il appartient aux employeurs d’identifier, dans les informations qu’ils transmettent à l’administration fiscale, ces allocations exonérées d’impôt sur le revenu. Le montant du revenu imposable pré rempli sur la déclaration de revenu ne devrait pas, « en principe », inclure de telles allocations. Les salariés pourront s’en assurer au moment de déclarer leurs revenus 2020. |
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Avec 18 000 entreprises et près de 500 000 emplois répartis sur tout le territoire, l’agroalimentaire est le premier employeur industriel français. Les entreprises accélèrent leur transformation, innovent et s’adaptent aux enjeux liés à la transformation alimentaire, numérique et environnementale. C’est dans ce contexte que l’ANIA et l’APEC viennent de signer un partenariat dont l’objectif est de promouvoir les métiers, les opportunités d’emploi et de parcours professionnels du secteur. Dans le cadre de la démarche « unjeuneunesolution », la Coopération agricole et le gouvernement ont signé dernièrement une convention de partenariat, afin de favoriser l’emploi pour les jeunes. Pour la rentrée de septembre 2021, 1 600 contrats, dans 11 coopératives, ont déjà été signés. Afin de se recentrer sur la transformation végétale, le groupe Avril (5,8 milliards de chiffre d’affaires) a décidé de vendre ses activités œufs (Matines) et porcs. Huit sites sont concernés. |
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Trouver et intégrer une licence agroalimentaire sur diplomeo.com |
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Ce site s’adresse à toute personne qui s’intéresse aux formations post-bac touchant aux secteurs offrant de multiples débouchés, et notamment l’agroalimentaire. |
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Il existe en particulier près de 200 licences professionnelles qui préparent aux métiers de celui-ci, certaines ne portant pas le nom précis d’agroalimentaire mais proposant des spécialisations via leur mention. Diplomeo.com permet de trouver celle qui correspond au type de formation souhaité et au lieu d’études préféré. Rappelons que la licence professionnelle exige d’avoir validé un bac +2 (2ème année de licence, BTS, DUT) dans un domaine compatible et valide un diplôme de niveau bac +3. A l’issue de la formation il est possible d’intégrer directement le marché de l’emploi et de prétendre à plus ou moins long terme aux métiers de cadre technique, chef de service, manager de proximité, superviseur de production, technico-commercial… Mais on peut également intégrer un master et valider un bac +5. |
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