Toutes les actus de l'emploi et de la formation en agroalimentaire
Ils recrutent avec Jobagroalimentaire |
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Ils recherchent un préparateur de commande Dans une IAA, ce métier correspond à un maillon essentiel de la chaîne logistique. Il consiste à prendre connaissance des bons de commande, puis à rassembler, conditionner et emballer les produits prêts à être livrés ou expédiés. Le travail s’effectue debout, les horaires sont souvent décalés et le rythme peut être intense à certaines périodes. Cela ne nécessite pas un haut niveau de qualification, mais par contre de l’organisation, de la dextérité et de la rapidité. Certaines formations ou titres peuvent être intéressants pour faciliter le recrutement ou accélérer l’évolution une fois en poste : CAP opérateur logistique, CAP équipier polyvalent de commerce, Bac Pro logistique. Boosté par une demande de plus en plus forte, le e-commerce recrute de nombreux préparateurs de commandes. |
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Stéphane Pozzobon, un producteur de fraises sur les communes de Laffite-sur-Lot et Fauguerolles (46), recrute 50 CDI annualisés (35h par semaine en moyenne) pour travailler dans ses serres. Malgré la diffusion de plusieurs annonces, il n’a reçu à ce jour aucune candidature. |
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La société Arômes de Chacé (Bellevigne-les-Chateaux – 49), spécialisée dans la fabrication d’arômes de champignons, recrute plusieurs salariés pour faire face à son accroissement d’activité. |
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Le groupe Le Duff envisage de créer une usine de viennoiseries Bridor à Liffré (35), pour une ouverture prévue en 2024. On peut penser que ce projet important entrainera la création de plusieurs emplois. |
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Le groupe Loc Maria Biscuits, qui fabrique des crêpes dentelle salées et sucrées, transfère sa production sur Quimper (29) et va devoir recruter pour son nouveau site. |
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L’usine Socopa Viandes de Châteauneuf du Faou (29), cherche 50 personnes à embaucher en CDI pour se développer. |
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En investissant dans une nouvelle usine à Agen (47), le spécialiste des plats cuisinés Lechef s’agrandit et envisage de recruter 60 personnes. |
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Gosoki souhaite reprendre Saviel, l’outil d’Intermarché spécialisé dans la transformation des viandes d’Estillac (47), pour y transformer des truites des Pyrénées et prévoit de créer 60 emplois. |
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Anaïs Soudant ou comment après une ESC monter un atelier de transformation |
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Pour Anaïs, les études ont été plutôt générales : un DUT suivi d’une Licence Economie-Gestion puis d’un Master 1 et 2 dans une Ecole Supérieure de Commerce. A l’époque aucun projet professionnel ne la guidait, mais « je me sentais déjà attirée par la gestion de projet, voire la création d’entreprise » avoue-t-elle. Diplômes en poche, elle choisit de multiplier les expériences, « pour découvrir différents métiers, devoir à chaque fois m’adapter, car je sentais que cela me serait toujours utile » explique-t-elle. |
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En 2017, tout bascule. Elle épouse un éleveur laitier des Ardennes et découvre l’agriculture. « Un beau métier, que je ne connaissais pas du tout, exercé par des gens passionnés mais souvent isolés dans leur ferme, et selon moi pas suffisamment en contact avec le consommateur ». Alors c’est le déclic. Avec son mari, elle décide de transformer une partie du lait de la ferme et de monter un atelier de fabrication de crèmes glacées. S’ensuivent des rencontres avec des personnes expérimentées dans le domaine, des formations sur les techniques et la réglementation sanitaire, la constitution d’une documentation personnelle, et enfin la construction du laboratoire. Aujourd’hui, 20 000 litres de lait sont ainsi transformés chaque année. Les crèmes glacées sont commercialisées en vente directe, sur les marchés, dans les foires, et via des magasins de producteurs. « Ce n’est pas toujours facile. C’est beaucoup d’investissement, c’est prenant et très physique, la vie de famille s’en ressent parfois » confie-t-elle, avant d’ajouter très vite : « mais c’est un travail vraiment polyvalent, qui a tellement de sens, et qui nous permet de communiquer sur le métier grâce aux contacts variés qu’il nous apporte ». |
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Le programme i-SAFE d'UniLaSalle : un cursus ingénieur 100 % en anglais |
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Destinée à préparer à des carrières dans les secteurs de l’agroalimentaire, de l’agronomie et de l’environnement, cette formation post-bac se déroule sur le campus de Rouen. Entièrement en anglais, elle répond aux attentes d’étudiants aux profils internationaux ou ayant une volonté de suivre une carrière internationale. Le parcours dure 5 ans, les trois premières années étant très généralistes (équivalence de la licence) et les deux dernières spécialisées. Les expériences internationales jalonnent le cursus : 52 semaines de stage, voyages d’études à l’étranger, immersion d’une semaine en groupe pour découvrir les institutions européennes ou le système alimentaire italien. La pédagogie aussi est très axée sur l’international : « Les élèves étudient les différents systèmes d’agriculture et agro-industriels mondiaux et travaillent sur des études de cas du monde entier. », explique Marie Lummerzheim, la directrice du campus de Rouen d’UniLaSalle. |
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Comment devenir une entreprise engageante ? |
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Pour attirer et surtout fidéliser les talents, ce ne sont pas seulement les performances de l’entreprise qui comptent mais tout autant sa culture. Celle-ci doit fédérer les collaborateurs et les faire grandir. Elle peut se résumer en quelques préceptes, comme, l’affirmation de valeurs fortes et leur alignement sur les pratiques,l’importance accordée au développement des collaborateurs,la diversification des profils,l’ouverture sur le monde et la nouveauté,l’acceptation et la valorisation de la pluralité des points de vue,l’incitation au travail collaboratif et transversal, la pratique d’un leadership bienveillant, l’encouragement à l’apprentissage permanent et au partage du savoir…… des règles qui constituent la base d’une entreprise ouverte et engageante. Pour le devenir, un récent article de FocusRH propose, à partir d’observations réalisées auprès de cinq entreprises considérées comme engageantes, quelques solutions. |
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Réforme de l'assurance chômage |
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Si l’essentiel de cette réforme est entré en application en 2019, certaines nouveautés devraient voir le jour au 1er juillet prochain. Le gouvernement envisage en effet 4 changements, |
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1/ La dégressivité de l’allocation pour les hauts revenus (salaire supérieur à 4 500 €). Celle-ci, de 30 % maximum, pourrait intervenir après 8 mois d’indemnisation (6 mois si le marché de l’emploi s’améliore). 2/ Le salaire journalier de référence, qui sert d’assiette au calcul de l’indemnité, serait calculé à partir du salaire mensuel divisé par tous les jours du mois , travaillés ou non, et non plus par les seuls jours travaillés. Même s’il est prévu d’instaurer un plancher, ce changement serait moins favorable aux demandeurs d’emploi. 3/ Un système de bonus-malus sur le taux de contribution des employeurs à l’assurance chômage. L’objectif est d’inciter les employeurs à avoir recours le moins possible aux contrats précaires et aux contrats courts. 7 secteurs très gourmands en CDD seraient concernés, dont l’agroalimentaire. 4/ La durée minimum d’affiliation reviendrait à 6 mois travaillés sur les 24 derniers mois, et la durée d’indemnisation à 182 jours. Ces dispositions sont des propositions faites aux organisations syndicales et au patronat qui jugent cette réforme trop pénalisante. |
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Pour la septième année consécutive, une enquête réalisée auprès de 20 000 salariés appartenant à des entreprises de plus de 500 salariés a permis de classer celles qui ont réussi à garder une bonne image auprès de leurs salariés et ceux de leur secteur. Nestlé, Sodebo et Ferrero occupent les trois places du podium. |
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Et si les systèmes agroalimentaires traditionnels, sérieusement remis en cause avec la crise du Covid, devaient compter sur les start-ups pour s’adapter et être à la pointe du monde de demain ? C’est ce que pensent un certain nombre d’entreprises. |
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Formations, améliorations des conditions de travail, hausse des salaires… Les recruteurs de l’agroalimentaire du Centre-Finistère multiplient les actions pour attirer les salariés, les entreprises du secteur peinant toujours à recruter. |
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Après l’avoir vendue il y a vingt ans, Sodial aurait racheté la marque Yoplait au géant américain de l’agroalimentaire General Mills, et avec elle les trois usines de Monéteau (Yonne), Le Mans (Sarthe) et Vienne (Isère). |
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Lancé par le Ministère de l’Agriculture et les Chambres d’Agriculture, fraiselocal.fr permet de mettre en relation les producteurs et les consommateurs désirant favoriser l’achat de produits frais et locaux. 12 000 producteurs et points de vente ont déjà rallié la plateforme. |
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Panorama des Industries Agroalimentaires |
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Elaboré tous les deux ans par le Ministère de l’Agriculture, ce panorama fait le point sur la situation des entreprises agroalimentaires françaises. En cette période de relance de l’économie, le secteur doit relever de nombreux défis tant conjoncturels que structurels. La transition écologique et environnementale, la reconquête de parts de marché à l'export, les nouvelles attentes des consommateurs, la modernisation du potentiel industriel, la révolution numérique, l’adaptation des compétences et l’attractivité des métiers constituent les enjeux du futur. Le panorama dresse un état des lieux de ces thématiques et présente les grandes tendances et opportunités de croissance du secteur ainsi que les politiques publiques destinées à l’accompagner dans son développement. |
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