Madame, Monsieur, Chère amie, Cher Ami,
C’est depuis à la création de l’État islamique (ISIS) par la CIA, sur ordre du sanguinaire prix Nobel de la Paix de Barack Obama, que je me surprends régulièrement à être d’accord avec quasiment tout ce que dit Vladimir Poutine, sur quasiment tous les sujets.
À l’époque, plus les atrocités commises par les islamistes nous étaient imposées comme une sorte de « nécessité » historique par les gouvernements occidentaux aux mains des mondialistes, plus cet accord avec les analyses de Vladimir Poutine se consolidait.
Heureusement, me disais-je intérieurement, secrètement, qu’il y avait un type à la tête d’une armée, à la tête d’une puissance nucléaire, qui semblait avoir la tête sur les épaules et qui s’opposait à ce monde des ténèbres que je ne voulais pas, mais qui était voulu par les dangereux malades qui étaient aux manettes en Occident.
« Sur le terrain, ils font du bon boulot »
C’était l’époque où le Vampire du Quai d’Orsay (ministère des Affaires étrangères), Laurent Fabius, déclarait que l’organisation Jabhat Al-Nosra « faisait du bon boulot » (déclaration du 13 décembre 2012).
Rappelons que l’organisation Jabhat Al-Nosra était inscrite par Washington sur liste des organisations terroristes, et que ses membres se livraient, sur des civils, aux pires atrocités en Syrie.
Ce que le responsable des morts du sang contaminés (SIDA), Laurent Fabius, savait parfaitement bien. Le même Laurent Fabius qui préside le Conseil Constitutionnel en France.
Souhaitons que Vladimir Poutine conserve son calme face aux malades qui nous gouvernent
Le célèbre journaliste Tucker Carlson a interviewé Vladimir Poutine à Moscou.
Nous avons une copie de l’interview traduite en français. Par respect pour le travail de Carlson, nous la publierons lorsque l’interview aura été diffusé sur la chaîne de Carlson sur X.
En attendant, je vous le dis, face aux malades qui pensent qu’une guerre contre la Russie pourrait leur sauver la mise, souhaitons que Vladimir Poutine trouve un moyen de les arrêter, définitivement, de préférence, avant l’engrenage nucléaire.
Pour être précis, les malades dont je parle sont les responsables des près de 20 millions de morts – vingt millions de morts – dus aux injections d’ARNm, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen en tête.
Vingt millions de morts dus aux injections d’ARNm…
Pour l’instant.
Et ils font tous comme s’il ne s’était rien passé d’anormal.
Soulignons que l’Éborgneur en chef des Gilets Jaunes, Emmanuel Macron, vient de décider, tout seul, comme un grand, d’offrir la dissuasion nucléaire française à l’Europe, c’est-à-dire à l’Allemagne.
Ce type, Emmanuel Macron, ne serait-il pas un malade mental des plus dangereux qui soit ? Nous devrions-nous pas nous en protéger et nous protéger du système qui a permis qu’il soit « réélu » ?
Ne devrions-nous pas nous en protéger avant que quelques millions de morts s’ajoutent aux 500 000 jeunes Ukrainiens sacrifiés pour défendre les intérêts privés des Biden, des Bill et George & Co., et de leurs toutous à la tête des États européens ?
Pierre Lefevre
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