Son premier closing s'élève à 15 millions d'euros, avec un objectif de 50 millions en juin 2024. Le fonds cible des start-up dans la fintech, la foodtech ou encore l’IA. Entre 30 et 40 opérations sont prévues dans les quatre années à venir.

La tech et de nombreux acteurs économiques de premier plan sont vent debout contre le projet de réforme judiciaire du nouveau gouvernement de Benyamin Netanyahou.

Nous avons perdu et n'avons pas encore développé des industries clefs dans le secteur de la santé en France, pourtant nécessaires à notre autonomie. Il est temps d'agir de manière globale pour réindustrialiser la France, estime Mounia Chaoui, directrice associée du groupe Turenne Capital.

[EN PRATIQUE] Depuis plusieurs mois, les annonces de levée de fonds sont plus rares dans la French Tech. Il y a certes moins de financements, mais ce n'est pas l'unique raison pour laquelle certains entrepreneurs préfèrent rester discrets à ce sujet.

Les projets dans le hardware sont plus difficiles à financer. Ils revêtent aussi un gros enjeu environnemental en raison des matériaux utilisés pour fabriquer les appareils. Techcrunch donne des pistes de réflexion pour avoir l’impact carbone le plus faible possible.

L’année 2023 sera cruciale pour les start-up françaises qui développent des alternatives végétales à la viande, au poisson ou aux oeufs. Elles ont lancé la construction d’usines (Happyvore, Umiami, Algama) pour faire baisser les prix et affrontent une conjoncture économique incertaine. Elles doivent surtout convaincre le grand public des vertus environnementales et gustatives de leurs produits.

Les millions valsent pour la deeptech. Alors que la France a lancé récemment un plan deeptech II doté de 500 millions d’euros, l’Allemagne a répliqué avec un fonds d’un milliard, qui doit notamment financer les start-up en pointe dans la lutte contre le changement climatique. Des initiatives enviées au Royaume-Uni, où rien de tel a eu lieu. 

L'année dernière, les pirates nord-coréens ont récolté près de la moitié de la valeur des cryptos volées à travers le monde. Avec 1,7 milliard de dollars de butin, la Corée du Nord assoit sa place de spécialiste de la cybercriminalité dans les monnaies virtuelles.

Il y a de plus en plus de start-up françaises qui franchissent le Rhin pour développer leur activité. Une étude partagée sur Linkedin dévoile quelles sont les start-up présentes en Allemagne et dans quelles villes elles ont pris racine. Berlin arrive en tête devant Munich et Cologne. Doctolib, Malt et Qonto sont les sociétés qui ont les effectifs les plus importants (notamment grâce à des rachats pour ces deux derniers).