Il y a de quoi en perdre la tête. Rarement dans l’histoire du Vendée Globe, une fin de course aura été aussi difficile pour les concurrents. Dépression, dorsale, dépression, re-dépression. Si les skippers ménagent leur monture, leur corps et leur moral sont mis à rude épreuve. Et ce sera le cas jusqu’à la ligne d’arrivée…