« Les amendes sont, en réalité, indirectement payées par les patients et les systèmes de santé, n’entraînent aucune peine de prison pour les responsables… »
Les lecteurs de notre lettre confidentielle le savent déjà : la vaccination s’appuie sur une pseudo-science orchestrée par des charlatans qui manipulent des données tronquées pour produire des statistiques biaisées, affirmant toujours : ‘c’est sûr, efficace et sans danger’.
D’ailleurs, cela ne concerne pas seulement les « vaccins », rappelons les scandales ayant causé des milliers de décès, comme avec ces noms : Médiator® (1976 à 2009), Dépakine® (1967-2015), Vioxx® (1999-2004), Thalidomide® (1957-1961), Distilbène® (1948-1977), l’essai Biotrial (2016, héparine contaminée (2008), etc.
À ce sujet, contrairement à ce qui se passe avec les « vaccins », dont les laboratoires pharmaceutiques qui les commercialisent bénéficient d’une scandaleuse et criminelle immunité, les laboratoires sont souvent condamnés lorsqu’il s’agit de médicaments non vaccinaux.
Par exemple, cela a souvent été le cas de Pfizer, qui a payé plus de 2,3 milliards de dollars d’amendes pour, entre autres, charlatanisme, fraude, corruption, manipulation de données, etc. Cette immunité protège les responsables des laboratoires des poursuites pour des actes criminels, comme l’injection de produits mortels, qualifiable d’assassinat selon le Code pénal.
Mais Big Pharma échappe systématiquement à la justice : les amendes sont, en réalité, indirectement payées par les patients et les systèmes de santé, n’entraînent aucune peine de prison pour les responsables, qui ne versent rien de leur poche, et se contentent d’augmenter le prix de certains médicaments pour que les amendes n’aient aucune conséquence sur les milliards de dividendes qu’ils versent aux actionnaires dont ils font partie.
La ‘science vaccinale’ est une escroquerie scientifique ! Une fraude orchestrée pour tromper les peuples ! Parfaitement !
Les essais cliniques des « vaccins », lorsqu’ils existent, ne respectent pas les standards scientifiques. Ils ne sont souvent pas réalisés en double aveugle, et le groupe ‘placebo’ ne reçoit pas de liquide physiologique, mais un autre vaccin ou des adjuvants inflammatoires, comme l’aluminium, suspecté de provoquer des effets secondaires graves.
Cet aluminium, qui aurait été interdit dans les vaccins vétérinaires, car ils déclenchaient des turbos cancers sur les points d’injection (mais des tueurs d’enfants en blouses blanches continueraient à affirmer que l’aluminium dans les « vaccins », ce n’est vraiment pas dangereux).
« Comme le mercure, le thimérosal est un poison neurotoxique mortel »
Verbatim :
Le mercure est un métal lourd toxique, le méthylmercure et l’éthylmercure, ses formes organiques absorbables, sont neurotoxiques, le méthylmercure étant plus persistant, et le thimérosal est un composé pharmaceutique contenant de l’éthylmercure utilisé comme conservateur vaccinal.
Le caractère neurotoxique du mercure est connu depuis le XIXᵉ siècle.
Dès les premières décennies du XXᵉ siècle, les formes organiques du mercure, comme l’éthylmercure (présent dans le thimérosal), étaient déjà suspectées de provoquer des effets similaires au méthylmercure, neurotoxique alors reconnu. En 1948, une publication scientifique dans le « Journal of Bacteriology » (1948, vol. 56, p. 123-130) signalait que le thimérosal était plus toxique pour les cellules humaines que pour les bactéries qu’il était censé éliminer1.
Dans les années 1970 et 1980, des études expérimentales ont confirmé sa neurotoxicité chez l’animal, tandis que des cas de toxicité aiguë chez l’humain apparaissaient après des injections contenant ce conservateur.
Ce n’est cependant qu’en 1999 que les autorités sanitaires américaines (FDA et « American Academy of Pediatrics ») reconnaissent officiellement le risque, en recommandant le retrait du thimérosal des vaccins pédiatriques, à titre de précaution, car les niveaux cumulés de mercure dépassaient les normes de l’« Environmental Protection Agency » (EPA) pour le méthylmercure, appliquées par précaution à l’éthylmercure2.
Cette prise de conscience, tardive, est renforcée en juillet 2000 lors d’une audition publique devant le Congrès : le Dr William Egan (FDA) y déclare que le mercure est bel et bien un neurotoxique, et reconnaît que la sécurité du thimérosal n’a jamais été sérieusement évaluée avant sa mise sur le marché3.
Depuis, de nombreuses publications scientifiques – notamment Burbacher (2005 Environ. ‘Health Perspect.’), Rodrigues (2010 ‘Neurotoxicology’ ) et Desai (2007 ‘Toxicol. Sci.’) – ont confirmé les effets neurotoxiques de l’éthylmercure, composant actif du thimérosal4.
Injecter ce poison à des nourrissons, en sachant ses dangers, n’est-ce pas un assassinat selon le Code pénal ? Les prescripteurs, les injecteurs et les politiciens qui rendent la chose possible ne devraient-ils pas être jugés comme tel, c’est-à-dire comme des assassins ?
L’audition, en 2000, du directeur du Bureau de recherche et d'évaluation des vaccins (FDA) qui aurait dû tout changer…
Lors de l’audition de William Egan, alors directeur par intérim du Bureau de recherche et d'évaluation des vaccins (« Office of Vaccines Research and Review »), au sein du Centre pour l'évaluation et la recherche sur les produits biologiques de la FDA, qui s’est tenue devant le Comité sur la réforme gouvernementale (« Committee on Government Reform ») de la Chambre des représentants des États-Unis le 18 juillet 2000 (Comité alors présidé par le représentant Dan Burton), il a été confirmé :
1. Que le mercure est un « poison neurotoxique », tout comme le thimérosal qui contient 49,6 % de mercure en poids. 2. Que le thimérosal, appellation donnée au mercure lorsqu’il est intégré à des substances « vaccinales », n’aurait fait l’objet d’aucune étude sérieuse de sécurité préalable. 3. Que la FDA n’a commencé à se soucier de la quantité de mercure administrée via les vaccins, des décennies après l’introduction du thimérosal dans les produits pédiatriques. 4. Qu’en l’an 2000, environ 8 000 nourrissons par jour recevaient, via les vaccins, des doses de mercure supérieures aux limites autorisées par les normes fédérales.
Les nourrissons étaient donc massivement exposés à une neurotoxine reconnue sans évaluation préalable appropriée et les laboratoires pharmaceutiques violaient, non seulement les principes de précaution, les normes scientifiques médicales en usage, ainsi que plusieurs réglementations fédérales.
Dès lors, l’immunité qui est criminellement accordée par les politiciens corrompus aux laboratoires pharmaceutiques qui produisent et commercialisent des « vaccins », n’aurait-elle pas dû être abolie ?
En France, pour les politiciens et leurs experts, le mercure dans les vaccins (thimérosal) est jugé ‘inoffensif’
Donc, si aux États-Unis la neurotoxicité du thimérosal est reconnue depuis les années 1970 et confirmée par la FDA en 2000, ce n’est pas le cas pour les responsables, généralement également rémunérés par l’industrie pharmaceutique, qui dirigent les agences de santé en France, sous la responsabilité des politiciens qui composent les gouvernements et les assemblées parlementaires.
Par exemple :
- En octobre 2009, 9 ans après les révélations de William Egan (alors directeur par intérim du Bureau de recherche et d’évaluation des vaccins – FDA), le professeur Daniel Floret, président du Comité Technique des Vaccinations, déclare dans « Le Quotidien du Pharmacien » : « Il n’existe aucune donnée scientifique inquiétante sur l’utilisation du thiomersal dans les vaccins ».
- Toujours en octobre 2009, un communiqué publié par la Quotidien du Pharmacien par l’ancêtre de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) affirme que : « le thiomersal est utilisé depuis longtemps, jugé efficace et sans danger identifié » (Rappelons que l’ANMS a été créée en mai 2012, en remplacement de l’AFSSAPS (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), à la suite du scandale du Mediator que cette agence déclarait, en résumé : « sûr, efficace, sans le moindre danger »).
- En 2013, le Haut Conseil de la Santé Publique déclare dans un avis officiel publié : « Aucune preuve de toxicité du thiomersal chez le nourrisson, l’enfant ou l’adulte » (Avis du 15 mars 2013, accessible via docnum.univ-lorraine.fr).
- Dans des publications postérieures à 2008, INFOVAC (Suisse francophone) affirmerait à plusieurs reprises au sujet du thimérosal que « de nombreuses études », sans les citer, ce qui soulève des doutes sur leur existence ou leur validité, « concluent à l’absence d’accumulation ou d’effets nocifs, hormis de rares réactions locales ».
Pourquoi le thimérosal dans les « vaccins » ?
Officiellement, dans les vaccins, le thimérosal est utilisé comme conservateur pour ses vertus antibactériennes et antifongiques.
Question : le thimérosal ne dégrade-t-il pas également l’antigène censé être présent dans la substance dite « vaccinale » ?
Réponse : Oui, plusieurs études ont montré que le thimérosal peut en effet altérer la structure des antigènes contenus dans les vaccins, en particulier ceux à base de protéines recombinantes. Par exemple :
- Une étude publiée en mars 2021 dans « Journal of Pharmaceutical Sciences », démontre que dans un « vaccin » contre le rotavirus non réplicatif (antigène P[4]), l’ajout de thimérosal provoque une instabilité de l’antigène, ce qui perturbe la capacité des anticorps à le reconnaître correctement5.
- Une étude de formulation numérique (Smith et al., 2020, Vaccine) indique que le thimérosal, ainsi que d'autres conservateurs, entraîne des altérations structurelles significatives et une perte de potentiel in vitro, mesurée par des tests de liaison anticorps (ELISA).
Nouvelle question : Si le thimérosal altère les antigènes, sans doute comme bien d’autres adjuvants, les rendant inefficaces, les vaccins ont-ils vraiment un effet protecteur ? Ou leur but est-il simplement d’enrichir Big Pharma et les politiciens, tout en nuisant la santé des nourrissons en injectant des neurotoxiques ?
Autre question : Est-ce que les adjuvants comme le thimérosal font l’objet d’essais cliniques en double aveugle avec un groupe placébo (groupe témoin), l’étalon or de la recherche médicale ?
La réponse est non, comme le montrent les protocoles des vaccins pédiatriques où les adjuvants ne sont jamais testés isolément.
Robert Francis Kennedy Jr : « GAVI, c’est fini… »
Le 26 juin 2025, Robert Francis Kennedy Jr met les pieds dans le plat lors du sommet GAVI à Bruxelles, par message vidéo enregistré il déclare aux responsables de GAVI, et donc à Bill Gates : ‘Lorsque la science était gênante, GAVI l’ignorait. Les États-Unis ne contribueront plus à GAVI.’
GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunization) est une alliance public-privé fondée en 2000, dont l’objectif est de financer et distribuer massivement des vaccins dans les pays à faibles revenus.
Soutenu financièrement par la Fondation Gates (financée en partie par des fonds publics), l’OMS, l’UNICEF et la Banque mondiale, GAVI joue un rôle central dans la « vaccination » mondiale de masse.
« Les filles vaccinées avec le DTC présentaient un risque de décès dix fois plus élevé que les filles non vaccinées. »
Dans son message vidéo enregistré et adressé aux tueurs du GAVI Robert Francis Kennedy Jr a déclaré :
« Un exemple est le vaccin DTP, que les pays développés ont remplacé il y a longtemps par un vaccin DTaP beaucoup plus sûr. » Une étude de référence réalisée en 2017 par cinq experts reconnus en matière de vaccins traditionnels a révélé que les filles vaccinées avec le DTC étaient dix fois plus susceptibles de mourir de toutes causes au cours des six premiers mois de leur vie que les enfants non vaccinés. » Une étude de 2017 a été publiée dans une revue à comité de lecture Elsevier, en collaboration avec le Lancet, et a été financée par le ministère des Affaires étrangères du Danemark et l'Union européenne. » L'étude a conclu : ‘Toutes les données actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTP pourrait tuer plus d'enfants d'autres causes qu'il n'en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche.’ » GAVI a néanmoins fortement promu le vaccin DTC dans les pays en développement. »
RFK Jr. conclut son discours ainsi :
« J’appelle aujourd’hui GAVI à regagner la confiance du public et à justifier les 8 milliards de dollars que l’Amérique a fournis en financement depuis 2001. » Tant que cela n’arrivera pas, les États-Unis ne contribueront pas davantage à GAVI. » L’élaboration de politiques opaques et irresponsables est révolue. » Je vous invite tous à nous rejoindre dans une nouvelle ère de médecine fondée sur des preuves, de science de référence et d’intégrité. »
Il est bien gentil Robert Francis Kennedy Jr, mais avant de faire copain-copain avec des assassins de la pire espèce, ne faudrait-il pas les juger et requérir la peine de mort, qui n’a pas été abolie aux États-Unis ?
Lorsqu’il nous est dit « les filles vaccinées avec le DTC étaient dix fois plus susceptibles de mourir de toutes causes au cours des six premiers mois de leur vie que les enfants non vaccinés. », cela n’implique-t-il pas que des bébés de sexe féminins ont été tués par les injections qui leur ont été faites, en toute connaissance de cause ? Dans ce cas, n’y a-t-il pas assassinats de masse ? Et les assassins ne doivent-ils pas être jugés ?
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