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Après SVB et Credit Suisse, c’est la santé de Deutsche Bank qui inquiète. Le titre de la première banque allemande a chuté de près de 15% en séance à Francfort, entraînant tout le secteur européen dans son sillage. A la clôture, le Cac 40 abandonne 1,74%.
La Bourse de Paris a résisté, aidée par le rebond de Wall Street, où les investisseurs jouent une attitude plus accommodante de la Fed dans les mois à venir. Côté valeurs, Sanofi s’est distingué.
La Bourse de Paris a poursuivi son rebond... mais bien plus mollement. Le marché guette la décision de politique monétaire de la Fed. Il table sur un relèvement d’un quart de point des taux d’intérêt aux Etats-Unis.
En attendant la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine mercredi, la Bourse de Paris a poursuivi son rebond, gravissant la marche des 7.100 points. Le compartiment bancaire a été recherché.
Au terme d’une séance volatile, le Cac 40 a regagné 1,27%, à 7.013 points, après une chute de 4,09% la semaine passée. Le marché est rassuré (pour l’instant) par le sauvetage de Credit Suisse par sa rivale UBS.
Grâce à l’accélération des innovations en matière d’impression, les entreprises espèrent doper leur productivité et leur rentabilité. Une aubaine pour les fabricants de machines et solutions du secteur, avec des segments de marché qui sont attendus en hausse de 5 % à 30 % par an en moyenne d’ici à 2026.
La gravité de la crise de l'énergie de l'année 2022 se révèle comme une formidable occasion pour les producteurs d'électricité renouvelable, les mieux à même de rendre l'Europe plus autonome en matière d'énergie. De plus en plus sollicités par les industriels, qui cherchent à sécuriser et à verdir leur approvisionnement, ils accélèrent leurs investissements. Mais les acteurs cotés en Bourse se révèlent peu nombreux.
L'industrie chimique est considérée comme le troisième émetteur de gaz à effet de serre dans le monde et fait partie des activités les plus énergivores. La chaîne de valeur va de la transformation des matières fossiles à la fabrication de spécialités. Les efforts de sobriété seront primordiaux. Parmi les valeurs, Air Liquide se distingue, Solvay et Arkema sont dans la moyenne.
Pour acheter ou vendre des actions, il faut passer un ordre de Bourse, c'est-à-dire donner des indications précises à son intermédiaire pour que l'opération soit réalisée au mieux de vos intérêts. Plusieurs types d'ordres existent et permettent de s'adapter à toutes les situations.
Les services premium d’abonnement, qui incluent les services connectés, représentent plus de 90% des revenus du spécialiste des réseaux Wi-Fi et prestations pour les campings et villages de vacances.
Pour Oddo BHF, les chiffres qui seront présentés lors de la publication des résultats semestriels dans une quinzaine de jours seront solides. Il attend un relèvement de la prévision de croissance organique. Le profil du dossier est qui plus est apprécié dans le contexte actuel.
La biotech est à l'aube d'une autorisation de mise sur le marché américain d’Uzedy, son traitement innovant contre la schizophrénie. Le cabinet Oddo BHF y croit et relève son objectif de cours à 14 euros.
L’entreprise de services du numérique, qui enregistre depuis plusieurs années une bonne rentabilité à l’international, est parvenue à améliorer ses marges en France en 2022. Si le contexte inflationniste reste un obstacle, SQLI se montre optimiste quant à l’évolution de son activité ces prochains mois.
Dans un secteur de la distribution bouleversé par la valse des étiquettes et des difficultés dans la chaîne d’approvisionnement, SES-imagotag s’est distingué par la qualité de ses résultats.
Où placer son argent pour contrer l'inflation galopante ? Certains placements permettent de passer la zone de turbulence sans (trop) de casse.
Le conseil d'Alexis Reigneron, ingénieur patrimonial à la Financière Tiepolo.
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