Une justice qui se transforme en arme de répression politique au service des mondialistes.
En poursuivant et en condamnant sévèrement les électeurs de Trump qui ont simplement manifesté, ou encore plus simplement « appelé à manifester » le 6 janvier 2021, et en refusant de poursuivre les émeutiers, pilleurs, pyromanes et agresseurs « woke » et BLM (« Black Lives Matter »), le DOJ (ministère de la Justice), ses procureurs et les juges qui se conforment à leurs demandes de condamnations, semblent transformer l’institution judiciaire en une organisation de répression politique au service exclusif des dirigeants du Parti démocrate et de l’idéologie mondialiste.
C’est en tous les cas ce que nous laissent penser les faits suivants et qui constituent une liste qui est loin, très loin, d’être exhaustive :
• Sur ordre de leur hiérarchie, plus de 50 agents du FBI auraient participé activement, comme agitateurs et provocateurs, aux prétendues émeutes du 6 janvier 2021 et, en particulier, au bris de fenêtres et à l’intrusion dans les bâtiments. Aucun d’eux n’a été inquiété à ce jour.
• Des milliers de vidéos montrent que la police du Capitole a ouvert de nombreuses portes des bâtiments en invitant les manifestants à y entrer.
• Au 6 septembre 2023, le FBI a procédé à l’arrestation de 1 150 personnes qui manifestaient, ou non, le 6 janvier 2021 aux abords du Capitole.
• Les procureurs du DOJ (ministère de la Justice) ont obtenu que 660 manifestants plaident coupable (198 pour des crimes et 459 pour des délits) en abusant de leurs fonctions pour terroriser les manifestants interpellés et en interprétant des dispositions législatives ou constitutionnelles comme cela ne l’a jamais été fait.
• Par exemple, le § 2384 de la section 18 du Code des États-Unis « Seditious conspiracy » (« Complot séditieux »), une loi adoptée en 1881, n’a jamais été invoquée dans le cadre de manifestations, et encore moins dans le cadre de la contestation de résultats électoraux, fussent-ils ceux d’une élection présidentielle.
• Il n’y a pas une seule élection présidentielle aux États-Unis dont les résultats n’ont pas été contestés par le camp des perdants, démocrates et républicains compris. Ce fut le cas d’Hillary Clinton en 2016, elle n’a pas été poursuivie pour cela.
• Hillary Clinton n’a pas été poursuivie pour des faits bien plus graves que la contestation des résultats de l’élection présidentielle de 2016 : la détention d’un serveur informatique privé à partir duquel elle communiquait afin de ne pas se soumettre aux mesures de sécurité de l’ « US Department of State » (« ministère des affaires étrangères ») alors qu’elle en était à la tête (elle aurait personnellement supprimé 33 000 emails et détruit les disques durs de ce serveur ainsi que quelques téléphones portables qu’elle utilisait secrètement).
• Des juges sollicités par le DOJ suivent les réquisitions des procureurs de ce même DOJ et ils adoptent l’interprétation hallucinante qu’ils proposent de la loi de 1881 « Seditious conspiracy » (« Complot séditieux »).
• Au 6 septembre 2023, 625 manifestants auraient été condamnés à des peines de prison, dont des membres des « Proud Boys » partisans de Donald J. Trump : Enrique Tarrio, condamné à 22 ans de prison, alors qu’il n’était même pas présent à Washington, Ethan Nordean, condamné à 18 ans de prison, Joseph Randall Biggs condamné à 17 ans de prison, Zachary Rehl condamné à 15 ans de prison et Dominic Pezzola condamné à 10 ans de prison.
• Pourtant, aucun de ces cinq condamnés n’a commis la moindre détérioration de matériel ou de bâtiment, ni le moindre vol et aucun d’eux ne s’est rendu coupable d’agression physique, de viol, de meurtre ou d’assassinat, comme le laisserait penser les lourdes peines de prison.
Qui pour succéder à Joe Robinette Biden comme candidat des mondialistes et de « Deep State » à la tête des États-Unis ?
Le réalisateur Joel Gilbert, classifié « complotiste » par les mondialistes, qui est l’auteur du bestseller « Michelle Obama 2024 : Her Real Life Story and Plan for Power » (« Michelle Obama 2024 : sa véritable histoire et son plan pour prendre le pouvoir »), affirme que « l’épouse » de Barack Hussein Obama veut être le candidat du Parti démocrate en 2024, et qu’« elle » le sera, ce que The Washington Times confirme dans une vidéo mise en ligne sur son site le 8 septembre 2023.
Qui sont réellement les Obama ?
À partir de son livre, Joel Gilbert a également réalisé un film sur « Michelle » Obama, film dont on peut voir la présentation sur YouTube et dans lequel il affirme que « très peu de ce que Michelle Obama a dit sur sa vie est vrai ».
Si l’on en croit les déclarations faites en 2008 par Larry Sinclair lors d’une conférence de presse donnée au « National Press Club » de Washington, déclarations qui seront l’objet de notre prochain article, mentir sur la réalité de son existence ne concernerait pas seulement « Michelle », mais également, et pour des faits extrêmement graves, Barack Hussein Obama.
En Occident, le combat entre le faux et le vrai rejoint désormais celui, primordial, qui se joue entre la tyrannie et la liberté.
Les mondialistes aiment brouiller les cartes afin de semer la confusion dans nos esprits. Dans un numéro de la série « Mr Robot », le principal personnage, Elliot Alderson, qui est joué par Rami Malek, déclarait « On leur dira la vérité dans les films et on leur mentira dans la réalité. Ils seront complètement perdus. »
À cet égard, certains épisodes prédictifs de « The Simpson » (« Les Simpson), ne peuvent que confirmer la chose.
Les temps ont-ils changé ?
Toutefois, il semblerait que les temps ont changé à ce sujet, car la vérité est à la fois dite dans des films, comme avec « 2 000 mules » de Dinesh D'Souza ou avec « Michelle Obama 2024… » de Joel Gilbert, et dans la réalité.
D’ailleurs, la vérité et son dévoilement semblent devenir les principales armes politiques de Donald J. Trump et de ses dizaines de millions de partisans aux États-Unis. Partisans qui sont sans doute des centaines de millions dans le Monde, et qui refusent, comme nous, de continuer à subir et à devoir se soumettre aux mensonges du Parti démocrate et des milliardaires mondialistes adeptes de la dépopulation de la Planète.
Le combat qui se joue entre le faux et le vrai, entre la tyrannie et la liberté, place le couple Obama au centre du jeu politique à Washington, car il semblerait que les milliardaires mondialistes, les dirigeants du Parti démocrate et de « Deep State », n’ont pas meilleure carte à jouer dans cette finale où le perdant risque de tout perdre. En tous les cas, aux États-Unis, pour l’Union européenne, c’est une autre histoire, en particulier pour l’Allemagne et la France.
Ces négationnistes des faits et du réel qui veulent réduire drastiquement la population de la Terre, semblent dos au mur et il y a de quoi très sérieusement s’inquiéter pour la suite des événements si le couple Obama reprend officiellement le pouvoir à Washington.
Il y a de quoi très sérieusement s’inquiéter pour nos droits d’êtres humains et nos libertés fondamentales si ces deux personnages ne sont pas définitivement, politiquement et judiciairement, mis hors d’état de nuire. Et, avec eux, leurs amis Bill, Hillary, Joe, George, Mark & Co.. Où qu’ils se trouvent. Même si cela doit passer par une guerre civile ? C’est en tous les cas le message de la banderole « Trump or Death » (« Trump ou mourir »). |