| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Au programme ce mardi, ce que vous allez peut-être entamer après avoir parcouru cette newsletter : une journée de télétravail. Un mois de travail à domicile coûte entre 13 et 174 euros aux salariés, selon une étude que nous vous dévoilons. Nous reviendrons également sur la multiplication des contaminations dans les hôpitaux, les doutes qui entourent le vaccin AstraZeneca, le terrible syndrome du «cœur brisé» dont a été victime Sabrina, la vague de froid qui s'abat sur le pays, mais aussi les chasseurs alsaciens qui refusent d'abattre les cerfs. Enfin, à une semaine du choc face à Barcelone, nous ferons le point sur les chances du PSG en Ligue des champions. Bonne lecture ! |
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Cette édition a été préparée par Iris Peron, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Très cher télétravail. Il faut «télétravailler partout où c’est possible», a enjoint le Premier ministre, Jean Castex, la semaine dernière. Mais quel est le coût du travail à distance pour les salariés ? Electricité, chauffage, fournitures de bureau… Selon une étude du cabinet Convictions RH que nous révélons, le surcoût lié au télétravail peut dépasser 150 euros par mois. De quoi relancer le débat sur la prise en charge des frais par l’employeur. Grâce à notre simulateur, faites vous aussi le point sur vos dépenses liées au travail à la maison. ● Alerte aux variants dans les hôpitaux. «Il y a de plus en plus de clusters dans les hôpitaux», prévient le professeur Gilles Pialoux, selon qui 18 foyers de contamination ont été recensés en janvier rien que dans cinq établissements de l’AP-HP. Alors qu'il se prépare à un afflux de patients contaminés par le variant britannique du Covid-19, le chef du service infectiologie de l'hôpital Tenon, à Paris, s’inquiète aussi du nombre de soignants infectés. Un entretien à lire ici. ● Une vague de froid s’abat sur la France. Chutes de neige, baisse des températures… Tout droit venue de Scandinavie, une vague de froid touche le nord du pays, de la Normandie au Grand Est. Météo France a placé ce matin 28 départements en alerte orange dont une grande partie pour un risque de neige et de verglas. Le thermomètre devrait afficher -10°C ce soir dans les Hauts-de-France (avec un ressenti de -16°C…), tandis que -5°C sont attendus en Ile-de-France demain. Un épisode neigeux devrait d’ailleurs traverser le Bassin parisien dès ce soir, et se prolonger dans la nuit. ● Doutes autour du vaccin AstraZeneca. Injecté depuis ce week-end en France, il suscite des craintes. Faut-il se faire injecter un produit inefficace pour les personnes de plus de 65 ans et peu protecteur face au variant sud-africain ? Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a donné l'exemple hier matin devant les caméras, mais les soignants ne sont pas encore convaincus. ● Mort d’Adama Traoré : une nouvelle expertise. Un rapport établi par quatre médecins belges, à la demande des juges d’instruction parisiens chargés de l’enquête sur le décès du jeune homme en 2016 dans une caserne de gendarmerie de Persan, dans le Val-d’Oise, conclut que celui-ci a été causé par un «coup de chaleur», «aggravé» par les manœuvres d’immobilisation et de menottage des gendarmes et, dans une «plus faible mesure», par ses antécédents médicaux. ● Adieu Jean-Claude Carrière. Il avait écrit des scénarios pour Luis Bunuel, des chansons pour Juliette Gréco, mais aussi des romans, des pièces de théâtre... Celui qui se définissait comme un «conteur» s'est éteint hier matin, dans son sommeil, chez lui à Paris, à l'âge de 89 ans.
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1 minute pour comprendre | | En Alsace, pourquoi des chasseurs refusent de chasser | L’info. Dans un arrêté entré en vigueur le 4 février, la préfecture du Haut-Rhin demande aux chasseurs de pratiquer «des opérations de chasses particulières de destruction par des tirs de jour et de nuit à la lampe» des cerfs et des daims jusqu’au 28 février, en raison d’un trop grand nombre de cervidés dans la forêt. Que disent les chasseurs ? Ils ont rangé leurs carabines depuis le 1er février, date de la fin officielle de la saison et ne veulent pas les ressortir. Ils estiment leurs obligations de tir remplies, et surtout que les animaux doivent se reposer. «La gestion d'un domaine de chasse, c'est de réguler une population, éviter qu'il y ait trop d'animaux et donc de faire une sélection. A un moment donné, nous estimons que cela suffit», indique dans nos colonnes Gilles Kaszuk, président de la Fédération des chasseurs du Haut-Rhin. Pourquoi c’est étonnant ? Plutôt emprunt à défendre les prélèvements, les chasseurs s’opposent cette fois à une décision de l’Etat. Si l’information a été très largement relayée et reprise par certains militants écologistes, d’autres redoutent un effet de communication. «Parmi les centaines d'espèces, ils en fixent une ou deux qui les intéressent, aux dépens de toute la biodiversité et d'autres espèces. C'est de l'usurpation de l'écologie», assure ainsi un bénévole de la fédération Alsace nature. La préfecture promet, elle, une réponse. | |
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| Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 7h30. D'ici là, passez une excellente journée et n'oubliez pas de souhaiter une bonne fête aux Apolline qui vous entourent. |
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