« Le RN, c’est du théâtre ». Un théâtre financé par Pfizer ?
Depuis 2021, elle dénonce les effets secondaires des injections à ARNm de Pfizer & Co., notamment sur les enfants, qu’elle juge, à juste titre, particulièrement vulnérables, et compare leur administration à une violation du principe de précaution.
Candidate du Rassemblement National (RN) aux législatives 2024 dans la Vienne, elle est exclue du parti en juin 2025 par Jordan Bardella, ce qu’elle annonce le 14 juin 2025 sur X avec ce message : « Reçu hier une lettre d’exclusion du RN, signée Bardella. C'est mignon : un chèque de Pfizer en 2022, et MLP qui souffle à NDA [Nicolas Dupont-Aignan] à la buvette en 2023 : « Il ne faut plus parler des effets indésirables ». Le courage ? Évaporé. Le RN, c’est du théâtre. »
Le 15 juin 2025, dans un autre message sur X, elle précise : « À un moment, tout se voit. Les courageux et les lâches. Ceux qui font semblant, et ceux qui refusent la compromission. Le RN, c’est juste du théâtre. Rien de plus. »
Rien de plus ? Loin de là. Dans ce théâtre funeste, 19 députés RN ont voté une loi autorisant les blouses blanches à assassiner les pauvres, les malades, les isolés et les déprimés.
Un nazisme, variant 2025, qui s’affiche sans retenue, au RN, en France, comme ailleurs…
Remarquez l’obscénité : ces 19 députés RN, en votant pour que les blouses blanches assassinent impunément les pauvres, les malades, les déprimés, surfent sur l’air du temps – un nazisme moderne, décomplexé, qui s’étale en France comme au Royaume-Uni, où l’avortement jusqu’à la naissance vient d’être légalisé.
Autrement dit, au Royaume-Uni, une blouse blanche peut désormais, dans ce théâtre macabre, assassiner un nouveau-né après avoir monnayé ses organes précieux à Big Pharma, maître des enchères.
Dans combien de temps en France ?
Nos cliques de politiciens professionnels tiennent-elles le pays, à bout de bras, portées par des millions de crétins, dociles cobayes injectés volontaires, bercés par leurs sornettes et courant aux urnes dès qu’on les siffle ?
Le système politique français, n’est-il plus que la marionnette de cliques de politiciens professionnels – truands, salopards, pilleurs, éborgneurs, assassins par procuration – jouant leur sinistre comédie sur la scène du pouvoir ?
La France compte 567 222 « élus » gavés aux frais des contribuables, et qui sont les piliers du système et au service des cliquent qui le dirigent.
De l’extrême droite à l’extrême gauche, en passant par l’extrême centre, ces cliques, qu’elles siègent à Paris ou à Bruxelles, ne poursuivent-elles qu’un seul but : l’enrichissement personnel de ceux qui les composent et la perpétuation du système qui leur garantit privilèges, pouvoir, médias, et impunité ?
Quelques millions, tels des vampires, s’accrochent à nos existences, suçant nos impôts et taxes pour s’engraisser et augmenter leur pouvoir sur nos vies.
Ces politiciens professionnels, marionnettistes cyniques, manipulent des millions de crétins – ces « idiots utiles », injectés volontaires – qu’on retrouverait en légions parmi les 1,2 million de fonctionnaires de l’Éducation nationale en activité (et qui seraient plus de 600 000 à bénéficier d’une retraite selon certaines projections statistiques) et parmi les 3 millions d’étudiants…
Dans cette liste, n’oublions pas (chiffres minimums et sans compter les « retraités ») :
- 1,2 million de fonctionnaires de la fonction publique hospitalière, dont a pu apprécier les hautes valeurs morales et l’intelligence lors de la fausse pandémie de « C19 » ou, dernièrement, à l’occasion de l’adoption par les politiciens de la loi nazie qui autorise les blouses blanches à assassiner les personnes âgées, les malades et déprimés, plutôt que de les aider à aller mieux, à guérir et à vivre plus longtemps.
- 1,2 million de fonctionnaires de la fonction publique d’État qui s’ajoutent aux 1,2 million de fonctionnaires de l’Éducation nationale.
- 2 millions de fonctionnaires de la fonction publique territoriale.
- 2 millions de salariés non fonctionnaires mais dépendant de structures qui exercent des missions de service publics (France Travail, CNRS et recherche publique, EPIC et structures culturelles, EDF, SNCF, RATP, CPAM, CAF, La Poste, etc.)
Cet agglomérat, gorgé de nos impôts et taxes, verrouille les structures sociales du pays, et c’est à lui que nous devons cet effondrement : un théâtre de ruines où la liberté agonise et ou l’humanité n’a plus cours.
« Tout mandat impératif est nul », ou le mensonge érigé en vertu politique.
La Constitution française est une Constitution qui érige le mensonge en vertu.
En effet, son article 27 dispose : « Tout mandat impératif est nul. Le droit de vote des membres du Parlement est personnel. »
Ce qui signifie qu’un député et qu’un sénateur ne peuvent pas être tenus par les promesses électorales qu’ils ont faites à leurs électeurs, et que leur vote ne doit exprimer que leur opinion personnelle, ce que Charles Pasqua, qui a été président de l’organisation de tueurs au service du gaullisme, le SAC, a résumé dans cette phrase : « Les promesses n’engagent que ceux qui y croient ».
Toutefois, si « Tout mandat impératif est nul » selon la Constitution française, cela ne s’appliquerait-il pas qu’aux promesses électorales, car, pour le reste, les lois votées par les députés semblent toutes répondre à l’Agenda 2030, voulu par les milliardaires adeptes de la dépopulation, qui comprend, pour l’Union européenne :
- La destruction totale des systèmes politiques et économiques issus de la Révolution française et de la guerre de 1939/1945 (en Europe, en Chine elle commence en 1932).
- La paupérisation des Blancs et leur remplacement par des populations issues du Maghreb et de l’Afrique
Faut-il totalement abandonner le combat politique public ?
Nous en sommes certains : les institutions publiques – École, Hôpital, Police, Justice – ont déserté leur mission, trahissant les citoyens ordinaires, ces gueux que nous sommes à leurs yeux, et qu’elles méprisent souverainement.
C’est une chimère d’attendre d’elles, en retour de nos impôts et taxes, ce qu’elles nous doivent : l’éducation de nos enfants, des soins pour guérir et vivre longtemps, la sécurité de nos vies et biens, une justice égale pour tous, la sauvegarde de nos droits humains et de nos libertés fondamentales que nous devrons rendre réellement inaliénables.
L’assassinat des pauvres et les injections obligatoires de produits mortels par les blouses blanches : seules libertés fondamentales reconnue par les cliques de politiciens qui vivent à nos crochets ?
Il aura fallu 2025, pour que les politiciens de tous bords, et leurs millions de crétins d’injectés volontaires qui leur servent d’idiots utiles, considèrent que l’assassinat par les blouses blanches des personnes en détresse, isolées, fragiles, malades, âgées ou simplement déprimées, et qui sont pour la plupart des pauvres, fasse partie des libertés fondamentales et du droit à disposer de son corps.
Alors que faire pour ne pas subir ces criminels ?
Que faire pour ne pas compter au nombre de leurs victimes ?
Les islamogauchistes de LFI et les fonctionnaires éborgneurs de Macron ont tué le mouvement des Gilets jaunes, qui était une véritable opportunité de changer radicalement les choses et d’imposer une démocratie directe.
L’échec des Gilets jaunes marque sans doute la fin de tout mouvement politique collectif d’ampleur qui serait capable de renverser la table.
Espérer une mobilisation collective d’ampleur, suffisamment importante pour changer de Constitution, nous débarrasser définitivement des cliques de politiciens professionnels, quitter l’UE et rendre inviolables nos droits d’êtres humains et nos libertés fondamentales, semble totalement vain.
Que faire au quotidien ?
Soit nous continuons à cautionner ce système politique tenu par ces cliques de politiciens, soit nous nous en extrayons.
Et si tout commençait par boycotter les urnes, ces théâtres d’illusion où les machines à tricher pulvérisent nos voix depuis 2005 ?
N’est-il pas temps de s’arracher au cirque médiatique, ce carcan qui fait peser sur nos frêles épaules tous les malheurs du monde : faux réchauffement climatique, guerre en Ukraine, Gaza, risque de guerre mondiale, en ne consultant plus les médias subventionnés ?
Enfin, ne devrions-nous pas repenser toutes les structures sociales qui sont indispensables à l’espèce humaine, tout en créant de petites communautés qui partageraient entre elles l’amour de l’humanité, de la bienveillance pour les faibles, de nos libertés fondamentales, de la justice, de la vérité et de la beauté ?
Et tout cela sans jamais oublier, quotidiennement, qu’il est important d’être heureux de vivre, et de partager ce bonheur avec les êtres aimés ?
Bien sûr, cela demande également d’organiser notre protection physique, d’organiser nos défenses contre les fonctionnaires éborgneurs qui pourraient se mettre en travers de notre chemin.
Et cela demande également de conserver des moyens économiques, et de pourvoir pratiquement acheter, vendre, échanger, ce qui sera définitivement compromis dès l’instauration de l’euro numérique.
Alors, seuls les initiés aux arcanes des cryptomonnaies décentralisées pourront bénéficier de bribes de libertés, et construire le monde post-chaos paroxystique qui arrive à grands pas.