Chère lectrice, cher lecteur, Chaque jour, plus de 500 personnes meurent en France du coronavirus[1]. Aux soins intensifs, des personnes voient leur état se dégrader rapidement, sous le regard impuissant des soignants. Le plus choquant, c’est que les équipes médicales engagées auprès des patients sérieusement atteints n’utilisent pas un traitement validé, qui pourrait sauver une grande majorité d’entre eux. Très souvent, elles en ignorent simplement l’existence. Mais si elles le souhaitaient, pourraient-elles simplement le mettre en œuvre ? Car pour les autorités de santé, aucun traitement n’a démontré une efficacité suffisante. Mais c’est faux. Il existe une approche dont l’efficacité et la sûreté ont été démontrées, et déjà pratiquée dans le monde entier sur les personnes sérieusement touchées. Le Protocole Marik : « une réelle avancée dans le traitement du COVID-19 ? Paul Marik est un scientifique de tout premier plan. Il a été élu scientifique de l’année par ses pairs en 2017. Il est professeur de médecine interne, pneumologue et chef d’un service de réanimation en Virginie (USA). C’est un scientifique intègre, rigoureux et compétent. Il a mis au point un protocole pour les patients gravement atteints par le Covid-19, qui consiste à injecter au patient pendant une semaine : De la vitamine C à hautes doses en intraveineuse De l’hydrocortisone (une hormone) en intraveineuse De la vitamine B1 en intraveineuse2 Le protocole Marik pourrait être le traitement de la « dernière chance » pour les personnes actuellement en réanimation. Il pourrait éviter l’aggravation de l’état de santé des patients moins gravement touchés. C’est, à ma connaissance, le traitement le plus prometteur contre le coronavirus. Dans une étude sur 94 patients3, le Pr Marik a montré qu’il réduisait significativement le taux de mortalité chez les personnes souffrant de sepsis sévère (infection généralisée) et de difficultés respiratoires. Et le 30 mars dernier, le Pr Marik a diffusé les premiers résultats très positifs de son protocole ajusté pour lutter spécifiquement contre le Covid-194, pour les patients reçus dans le centre hospitalier dont il dirige le service des soins intensifs. De nombreux pays ont compris les enjeux et commencé à s’inspirer des travaux du Pr Marik. Utilisé et validé dans de nombreux pays… mais PAS en France ! L’équipe du Dr Enquian Mao, l’un des experts seniors du Centre de Santé Publique de Shanghai, utilise déjà les perfusions de vitamine C à fortes doses contre le coronavirus [3] : sur les 50 patients atteints de formes sévères du Covid-19 qui ont pris la vitamine C injectable, tous ont vu leur état s’améliorer. Récemment, l’ensemble des hôpitaux publics de New York, soit 23 établissements de santé, se sont mis à leur tour à prescrire de hautes doses de vitamine C en perfusion5. Ce traitement, et plus généralement les traitements à hautes doses de vitamine C en perfusion, sont aujourd’hui pratiqués avec succès en Corée du Sud, en Chine, aux États-Unis et à Singapour6. Mais en France ils ne sont PAS disponibles. C’est pourquoi j’ai décidé de lancer une grande pétition pour avertir le plus de monde possible de l’existence du Protocole Marik et obtenir du gouvernement le droit pour chaque malade d’en bénéficier. Je le fais pour tous ceux qui sont actuellement entre la vie et la mort, et qui attendent désespérément un traitement pour les sauver, et pour ceux dont l’état de santé est susceptible de se dégrader, motivant alors leur passage en réanimation. Je le fais, car je crois sincèrement que le Protocole Marik peut aider des milliers de personnes en France. J’ai besoin de vous. Nous devons obtenir ce traitement pour la population. Il pourrait sauver votre propre vie ou celle d’un de vos proches. S’il vous plaît, signez la pétition ci-dessous et faites-la circuler autour de vous. L’État français refuse de faire connaître largement les traitements à hautes doses de vitamine C en perfusion ! Le Dr Jean-Philippe Labrèze, un médecin français travaillant en lien étroit avec le Pr Paul Marik, a averti par courrier recommandé avec accusé réception le 11 mars 2020, le Ministre de la santé de l’existence du Protocole Marik7. Mais le gouvernement fait la sourde oreille. Après avoir fait interdire la chloroquine en janvier 2020, au moment même où l’épidémie arrivait sur le territoire français, il refuse désormais de promouvoir largement les traitements à hautes doses de vitamine C8. Le conseil d’État va enfin étudier la question : c’est le moment d’agir ! Devant la gravité et l’urgence de la situation, un collectif de médecins emmené par le Dr Labrèze a saisi le Conseil d’État le 17 mars 2020. Cette requête est fondée sur l’article L.1110-5 du code de santé publique9 Ce texte de loi précise que : « Toute personne a, compte tenu de son état de santé et de l’urgence des interventions que celui-ci requiert, le droit de recevoir les soins les plus appropriés et de bénéficier des thérapeutiques dont l’efficacité est reconnue et qui garantissent la meilleure sécurité sanitaire au regard des connaissances médicales avérées (…). Le Dr Labrèze a demandé au Conseil d’État : « de prendre des mesures ou de saisir les autorités compétentes en vue de l’adoption de mesures destinées à permettre une large diffusion auprès de toutes les équipes médicales engagées sur le territoire national, du protocole de soins préconisé par le Pr. Paul MARIK, reposant notamment sur l’administration de fortes doses de vitamine C par perfusion, et sa mise en œuvre dans les meilleurs délais. »10 La haute institution a immédiatement réagi en nommant dans les 24 heures un rapporteur sur le dossier. Mais dans les jours qui ont suivi, la requête du Dr Labrèze a été rejetée par le Conseil d’État, qui a classé l’affaire arguant que « les hôpitaux ne connaissent pas le protocole » décrit par le collectif. Soutenez la démarche de ce collectif Il faut convaincre le Conseil d’État et le Ministre de la Santé, Olivier Véran, d’agir vite et dans le bon sens. Le protocole Marik et les traitements à hautes doses de vitamine C par intraveineuse doivent faire leur entrée à l’hôpital en France ! C’est pourquoi je vous demande de signer la grande pétition que j’ai lancée. Nous devons absolument réunir des milliers, voire des centaines de milliers de personnes. C’est LA condition pour convaincre le Ministre de la santé de nous écouter pour prendre la bonne décision concernant le Protocole Marik. Plus nous serons nombreux, plus nous aurons de chances de convaincre le Conseil d’État de répondre favorablement à cette requête. Je le répète, le protocole Marik est une approche qui s’est révélée sûre, pratiquée dans le monde entier par les meilleures unités de soins. Les lobbies veulent-ils empêcher les malades d’être soignés ? Les autorités sont réticentes. Elles ne connaissent pas ce traitement. Elles préfèrent attendre des mois que soit fabriqué un vaccin. Dans l’ombre, les lobbies font très probablement pression. Ils ont obtenu que la chloroquine soit classée “substance vénéneuse” et retirée des pharmacies au moment où la crise sanitaire s’est déclenchée au mois d’octobre 2019. Cette décision a été confirmée par la précédente ministre de la santé, Agnès Buzyn en janvier 202011. Car la vitamine C ne coûte presque rien et elle n’est pas brevetable. Cette fois cependant, le protocole Marik est imparable. Il a fait ses preuves. Il a été mené avec une extrême rigueur par des équipes scientifiques de haut vol. Mais l’heure n’est plus à la discussion. Chaque jour, chaque heure qui passe est du temps de perdu pour les patients, pour les soignants. C’est pourquoi j’ai besoin de vous Nous devons obtenir le droit d’utiliser les hautes doses de Vitamine C en perfusion au plus vite. Il en va peut-être de votre vie, de la vie de vos proches. S’il vous plaît, aidez-moi à convaincre le Conseil d’Etat à répondre rapidement et favorablement à la requête du collectif de médecins. Faites la connaître autour de vous : parlez-en à votre famille et à vos voisins, transférez-la par email à vos proches, publiez-la sur votre blog, partagez-la sur les réseaux sociaux… Soyons des milliers, formons un vaste mouvement pour obtenir le droit d’être soigné et sauvé grâce au protocole Marik ! Je compte sur vous ! Amicalement, Florent Cavaler |