La Bourse de Paris a cédé du terrain, à l'instar de Wall Street, à l'approche d'une nouvelle zone de possibles turbulences. Cinq des « Magnifiques » vont se jeter dans le bain des trimestriels, dont, dès mardi soir, Alphabet. Le marché guette aussi l'issue du scrutin présidentiel américain, qui se tient dans une semaine.