| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la une ce dimanche, jour d'élections, les enjeux des régionales et des départementales. Au programme également, les violents orages qui s'abattent sur le pays, le match nul sans panache des Bleus, les confidences des collègues de Delphine Jubillar, la vaccination obligatoire des soignants en débat, mais aussi une interview exclusive de Cyril Hanouna. Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Premier tour des régionales et des départementales. La campagne a été âpre et chargée en rebondissements, de Lille à Marseille. Accords, bisbilles, rapprochements, nationalisation des enjeux... Le scrutin de ce dimanche, que vous pourrez suivre dans notre direct, s'est peu à peu transformé en campagne «préprésidentielle». Mais d'ailleurs, pour quoi vote-t-on vraiment aujourd'hui ? Transports, éducation ou encore aides sociales : de nombreuses compétences proches de la vie quotidienne incombent aux régions et aux départements. ● Déception pour l'équipe de France. Les Bleus ont fait pâle figure face à la Hongrie, pourtant l'équipe la plus faible du groupe F, hier après-midi. Des occasions manquées à la pelle, des errances défensives... La France arrache un petit point à la faveur de ce match nul (1-1) et jouera son avenir face au Portugal, sèchement battu par l'Allemagne (2-4), mercredi prochain. ● Gare aux orages. De violents orages, parfois accompagnés de grêle, se sont abattus sur le nord, l'est et le centre de la France. Ce matin, 22 départements sont toujours placés en vigilance par Météo France. Des dégâts matériels sont à déplorer, comme à Saint-Nicolas de Bourgueuil (Indre-et-Loire) où le clocher de l'église a été arraché et la salle des fêtes éventrée par une tornade. En Ile-de-France, des routes ont été inondées et à Alfortville (Val-de-Marne), un toit s'est envolé pour s'écraser sur un parking. ● Affrontements lors d'une rave-party à Redon. Le rassemblement était interdit par la préfecture. Pourtant, quelque 1500 teufeurs se sont réunis dans la nuit de vendredi à samedi à Redon, en Ille-et-Vilaine. Alors que les gendarmes tentaient de les déloger, des affrontements ont éclaté et cinq militaires ont été blessés, tandis qu'un jeune homme a eu la main arrachée. Cinq personnes ont été placées en garde à vue et le site a été évacué en fin d’après-midi. ● Le grand oral du bac, c'est demain. Pour Niels, 17 ans, «c'est LE jour où il ne faut pas se rater, donc il y a un peu de stress !» A quelques heures du début de la toute nouvelle épreuve du baccalauréat, la pression monte. Les élèves, qui vont étrenner ces 20 minutes d’échanges face à un jury, nous confient leurs appréhensions et aussi leurs petits secrets de préparation.
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A suivre aujourd'hui | Les Français votent | En cette première journée sans couvre-feu depuis de longs mois, les Français sont appelés aux urnes pour le premier tour des élections régionales et départementales, que vous pourrez suivre tout au long de la journée dans notre direct. Mais le temps n'est pas encore au relâchement : ainsi, le protocole sanitaire sera strict dans les bureaux de vote, à l'image de celui qui avait été mis en place à l'occasion des municipales. 1 m 50 de distanciation sociale, masque obligatoire, jauge limitée à trois électeurs par bureau de vote, assesseurs vaccinés ou testés, file d'attente à l'extérieur, aération et parois de protection... On fait le point sur le dispositif dans cet article. |
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1 minute pour comprendre | | Pourquoi les internes se mobilisent | L'info. Des internes en médecine ont manifesté hier après-midi à Paris pour dénoncer leur surcharge de travail, qu’ils jugent néfaste à leur santé mentale ainsi qu’à la prise en charge des patients dans les hôpitaux. Un syndicat a également appelé à une grève de 48 heures. Pourquoi manifestent-ils ? Burn-out, suicides… les internes alertent depuis plusieurs années sur les risques psychosociaux liés à leur temps de travail, qui peut parfois atteindre 90 heures hebdomadaires. Par manque de moyens alloués aux hôpitaux, selon eux, ils sont devenus «indispensables» au fonctionnement des services dans lesquels ils sont en stage et la fatigue les conduit parfois à faire des erreurs médicales. «Le temps de travail met en danger les étudiants comme les patients», s’insurge Gaëtan Casanova, président de l‘Intersyndicale nationale des internes en médecine (ISNI). Quelles sont leurs revendications ? «Notre demande est simple, que la loi soit respectée», explique Gaëtan Casanova. Malgré un décret de 2015 qui fixe à 48 heures par semaine la limite de travail des internes, ces quelque 30 000 étudiants-médecins exercent 58,4 heures en moyenne. Le syndicat exige donc un décompte horaire de leur travail. «Aujourd’hui, on est décomptés en demi-journées. Or, les demi-journées n’ont pas de limitation horaire, on est au pifomètre selon les chefs (NDLR : qui remplissent les tableaux de service)», précise l’interne. | |
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