| Chers lecteurs et chères lectrices de L’Expresso, Après l'annonce du futur collège des commissaires par Ursula von der Leyen en début de semaine, les eurodéputés de tous bords n'ont pas tardé à exposer leur opinion. Tous les détails à lire dans l'article de Magnus Lund Nielsen, Nicholas Wallace et Nicoletta Ionta.
« Deux vice-présidents exécutifs [issus de S&D] répondent vraiment à notre demande d’équilibre entre les familles [politiques] », a réagi l'Espagnole Iratxe García, leader du groupe de centre gauche des Socialistes et Démocrates européens (S&D) au Parlement européen.
Le groupe S&D est le deuxième bloc le plus important à Strasbourg après le Parti populaire européen (PPE) de centre droit d’Ursula von der Leyen.
Marco Falcone, vice-président de la délégation italienne du PPE au Parlement européen, du parti Forza Italia, a expliqué à Euractiv que son groupe saluait la désignation de Raffaele Fitto en tant que vice-président exécutif de la Commission européenne.
« La présidente Ursula von der Leyen a pu faire un choix très médiatisé et attentionné envers l’Italie, un pays fondateur et une nation phare de l’UE », s’est-il réjoui.
À l'inverse, la Française Valérie Hayer, cheffe de file du groupe Renew et tête de liste de la coalition Ensemble lors des élections européennes, a exprimé son scepticisme à l’égard de Raffaele Fitto.
« Nous avons été très clairs, nous avons établi un cordon sanitaire au Parlement. Nous ne travaillons pas avec l’extrême droite » a-t-elle réaffirmé.
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Éditrice de l'Expresso | 