La nouvelle promotion, qui compte 27 entrants, est plus diverse que celles des années précédentes, grâce à la présence renforcée des deeptechs, greentechs et start-up industrielles. Des noms très peu connus font aussi leur entrée dans le classement.

Une dizaine de start-up de l'indice déploie des moyens de production, en France ou à l'étranger pour développer des biens matériels. C'est particulièrement vrai dans le secteur de la transition écologique.

Aux côtés des licornes et des start-up qui ont levé plusieurs dizaines de millions d'euros, d'autres jeunes sociétés, moins médiatisées, ont rejoint ces deux indices phares de la French Tech. Zoom sur ces lauréats issus de secteurs et régions très différents.

Quatre ans après la première promotion de ces deux indices phares de la French Tech, des voix s'élèvent pour revoir les critères qui font la part belle à la levée de fonds et aux valorisations.

Les lauréats des deux indices phares de la French Tech auront l'obligation de réaliser un bilan carbone (scopes 1, 2 et 3) d'ici à la fin de l'année.

Avec cinq start-ups, des laboratoires de R&D en pointe et un prix Nobel, la France fait figure de proue en matière d'ordinateurs quantiques, estime Pierre Desjardins, le fondateur de C12. Mais face aux milliards de dollars investis outre-Atlantique, la France a besoin de fonds privés et d'un marché européen.

Grâce aux données de Figures, Sifted s’est amusé à comparer le salaire des fondateurs de start-up dans trois pays européens (Angleterre, Allemagne, France). Spoiler : la France est en troisième position. En revanche, l’Hexagone a de moins fortes inégalités de salaire entre les hommes et les femmes.

Le retour sur Terre est brutal dans la biotech et la e-santé. Après des années folles pendant la pandémie, les sociétés du secteur ralentissent, voire calent, rappelle Le Monde. Dans ce panorama mondial morose, la France se distingue puisqu’elle a vu les investissements dans le secteur croître de 14% en 2022. Une performance tirée par le dernier gros tour de table de Doctolib.

Oubliez un peu San Francisco. Ce podcast (en anglais) revient en longueur sur l’histoire assez méconnue de Palo Alto. Une ville qui abrite le siège de l’université Stanford, un inépuisable réservoir de talents, et de plusieurs géants de la tech. Palo incarne la démeusure de la Silicon Valley avec sa richesse inégalée mais aussi un taux de suicide inquiétant des adolescents...

Connu pour ses titres « Vampyr » et « Life Is Strange », le groupe vient de mener à bien une augmentation de capital de 46 millions d'euros dont 35 millions injectés par Tencent. C'est la seconde fois en quelques mois qu'un géant chinois investit dans une pépite française du secteur.