Ce lundi 8 mars, le quotidien Libération a décidé d'ouvrir ses colonnes à la lettre d'un violeur à sa victime et de lui consacrer la moitié de sa couverture.
Ils osent tout et c'est à ça qu'on les reconnait : la rédaction se justifie par "la force intellectuelle, la fougue de ce texte".
Cette nouvelle outrance de la part de Libération n'est pas sans rappeler le soutien du journal à la pédophilie dans les années 70, même journal qui, l'année dernière nous faisait la leçon pour une fiction d'été qu'il ne s'était pas donné la peine de comprendre et concluait même l'un de ses articles se plaignant de la présence de nos journalistes sur des plateaux de télévision par : "on arrête quand le délire ?"
Bonne question que nous posons à notre tour ! On arrête quand le délire ?
Libération symbolise ici la déliquescence d'une classe médiatique de gauche en plein naufrage intellectuel et moral.
Ce type de publication doit nous faire réagir sur l'influence des médias sur la société. Face à une telle nuisance de la part des médias de gauche, il est impératif de rétablir un équilibre en propulsant Valeurs actuelles toujours plus loin.
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