La scène se passe sur la coulée verte, à Auxerre. Devant moi, deux dames âgées se promènent avec un chien en laisse : un beau labrador au poil blanc. Un peu plus loin, un banc sur lequel sont assis deux jeunes hommes, « typés » (l’un noir, l’autre arabe). Ils regardent leurs téléphones portables. Les deux dames arrivent à leur hauteur, un des garçons lève ses yeux et regarde les chiens. À ce moment, il se produit quelque chose. → Lire l'article |