En persistant dans la décision d'arrêt de l'hydratation et de l'alimentation de Vincent Lambert, malgré les injonctions de l'Onu, la France a pris une décision logique, estime Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune : l'inverse aurait supposé de “consacrer le droit à la vie comme une liberté à 'valeur suprême'”, et donc de remettre en cause les lois Veil et Leonetti. |