| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la Une ce samedi, le début des vacances pour une partie de la France, la Moselle et ses variants qui inquiètent toujours, notre enquête sur les «petits fantômes» de l'école républicaine, les alertes rouges de Météo France, la sécurité de vos e-mails, la vie sans Neymar et les Victoires de la musique. Bonne lecture ! |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● C'est quand même les vacances... La zone C, qui comprend l'Ile-de-France, vient de basculer en congés d'hiver pour quinze jours. Dans ce contexte si pesant, c'est peut-être l'occasion de changer d'air et de déconnecter (dans le respect des gestes barrière). Même si les remontées mécaniques sont à l’arrêt et que réserver un billet d’avion pour une destination hors Europe est impossible, certains sont prêts à tout pour faire leurs valises. Et s'il y a moins de partants, il y a aussi davantage de bons plans... ● Alerte en Moselle. Va-t-on vers des mesures restrictives localisées ? Pour l'instant, non. Le ministre de la Santé Olivier Véran, qui s'est rendu hier dans le département où l'épidémie flambe, n'a pas préconisé de reconfinement, mais davantage de tests et de vaccins. Au niveau national, sur le front du Covid-19, la situation reste stable. Au point même de déboussoler les épidémiologistes.
● Les soldes jouent les prolongations. Les soldes d’hiver, qui devaient prendre fin le 16 février, sont prolongés cette année de deux semaines, jusqu’au 2 mars. Une décision exceptionnelle annoncée hier soir par le ministère de l’Economie. ● Le fils adoptif d’Olivier Duhamel entendu par la police. Le jeune homme a été auditionné hier par les policiers qui enquêtent sur les accusations d’inceste sur le beau-fils du politologue. Selon nos informations, il a assuré aux enquêteurs qu’il n’aurait pas été abusé par son père. ● Victoires de la Musique. Grand favori de la soirée, Benjamin Biolay est sacré artiste masculin de l'année et reçoit le trophée du meilleur album. Pomme, elle, devient à 24 ans la plus jeune chanteuse à rafler la récompense féminine suprême dans l'histoire du palmarès. La soirée, rythmée et chaleureuse, a également récompensé Hervé, Yseult, Grand Corps Malade et Camille Lellouche.
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A suivre | Des départs en vacances sous surveillance | Ca y est, les élèves franciliens sont en vacances. Des congés d’hiver particuliers dans une France sous couvre-feu à 18 heures - mais toujours pas confinée -, alors que les déplacements dans nombre de pays sont interdits et les remontées mécaniques des stations de ski, prisées à cette époque de l'année, à l'arrêt. A l'occasion de ce premier week-end de départs, les contrôles sont renforcés par la préfecture de police, en témoigne notre reportage hier soir. Un dispositif d'ampleur est déployé sur l'ensemble de l'Ile-de-France, avec plus de 800 membres des forces de l'ordre mobilisés pour faire respecter le couvre-feu de 18 heures à 6 heures du matin (tout déplacement dans ce créneau horaire devra être dûment justifié, et les embouteillages ne sont pas un argument…) Les policiers seront également vigilants face aux rassemblements sur la voie publique, aux fêtes clandestines et aux restaurants. Ces derniers s'exposent à une fermeture administrative en cas de non-respect des règles sanitaires. | |
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1 minute pour comprendre | | Suspension des injections du vaccin AstraZeneca dans des hôpitaux : faut-il s'inquiéter ? | L'info. Brest et Morlaix dans le Finistère, Saint-Lô dans la Manche : plusieurs centres hospitaliers de l’ouest du pays ont décidé, jeudi, de suspendre momentanément les injections du vaccin d’AstraZeneca pour leurs agents, touchés par des effets secondaires. Les hôpitaux en question évoquent de «fortes proportions de vaccinés présentant des effets secondaires», amenant, pour Brest par exemple, entre 20 et 25% des personnels vaccinés à se mettre en arrêt de travail. De quels effets secondaires parle-t-on ? Jeudi soir, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a dévoilé, dans son point hebdomadaire de surveillance, que «149 déclarations de pharmacovigilance, entre samedi et mercredi matin, mentionnant des syndromes grippaux souvent de forte intensité» avaient été recensées pour 10 000 premières injections. Est-ce inquiétant ? «On s’attendait à 10% de réactions fortes, un peu plus que pour les injections de Pfizer et Moderna. Celles observées pour AstraZeneca sont très marquées avec des poussées de fièvre à 40°C. Mais je consacre beaucoup de temps à rassurer mes collègues, ces effets indésirables ne durent pas dans le temps», nous dit le Pr Mathieu Molimard, spécialiste de la pharmacovigilance et contributeur de l’ANSM. L'agence assure d'ailleurs que «le lot du vaccin AstraZeneca utilisé depuis le 6 février a fait l’objet d’un contrôle strict de sa qualité pharmaceutique. Utilisé dans 21 autres pays de l’UE, il n’y a pas eu, à ce jour, de déclarations équivalentes dans d’autres pays». Et maintenant ? Pour limiter les perturbations des effectifs en Bretagne et Normandie, l'ANSM recommande aux établissements de santé de vacciner de façon échelonnée le personnel d’un même service. Hier, lors d’une conférence de presse, le directeur de l’Agence régionale de santé de Bretagne, Stéphane Mulliez, a toutefois assuré que les deux hôpitaux bretons allaient reprendre les vaccinations. | |
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