● Comment bien préparer ses vacances d’été ? Météo capricieuse, hausse des carburants, menaces de grève dans les transports, règles sanitaires qui s’assouplissent dans l’Hexagone mais qu’il est difficile de comprendre pour partir à l’étranger : ces vacances d’été 2021 s’annoncent encore pleine d’incertitudes et fortement influencées par les effets de la pandémie. Voilà ce qu’il faut savoir avant de boucler ses valises. 

● Vacances et Covid : nos réponses à vos questions. Vaccination obligatoire, risque de quarantaine, pass sanitaire... Voici les pièges à éviter et l’itinéraire à suivre si vous voulez partir au bord de l’eau ou au bout du monde cet été. 

● Mort d’Elodie Kulik. 30 ans de prison ont été requis hier contre Willy Bardon. L’homme est jugé devant la cour d’assises d’appel du Nord, à Douai, pour «viol en réunion», «enlèvement et séquestration suivis de mort» commis sur la jeune banquière en 2002. Le verdict est attendu aujourd'hui.

● Tour de France. Une femme suspectée d’être la spectatrice à la pancarte a été interpellée hier. Elle avait provoqué une chute monstre dans le peloton lors de la première étape du Tour de France, samedi, en agitant une pancarte sur le bord de la route.

● Yannick Jadot sort du bois. Après le maire EELV de Grenoble Eric Piolle, le député européen se porte lui aussi candidat à la primaire écologiste en vue de la présidentielle de 2022. Sur TF1 hier soir, Yannick Jadot a déclaré vouloir «construire une équipe de France de l’écologie».

● Covid-19 : les rendez-vous pour les premières vaccinations reprennent... doucement. Si le gouvernement se réjouit du rebond des prises de rendez-vous pour des premières injections, celui-ci reste toutefois fragile et diffère selon les départements. 

Au gouvernement, les rumeurs vont bon train sur de possibles changements décidés par le président. Dans ce contexte, la nervosité est palpable.

Plusieurs dizaines de personnes sont décédées en Amérique du Nord, coincé sous un « dôme de chaleur ». Face à un coup de chaud, notre organisme déploie une série de réactions pour se défendre, jusqu'à dérailler en cas de chaleur extrême.

L'info. Les éditions Albin Michel ont annoncé mardi, par la voie d’un communiqué de presse, qu’elles mettaient un terme à leur relation avec l’essayiste et polémiste Eric Zemmour, dont les ambitions présidentielles font de moins en moins de doute. Cette rupture littéraire met fin à six années couronnées de succès, au cours desquelles Albin Michel a notamment publié «Le Suicide français», best-seller de l’essayiste.

Quelles raisons Albin Michel brandit-il ? L’éditeur se sépare de son auteur parce que celui-ci «veut devenir un homme politique» et a l’«intention de s’engager dans la présidentielle», explique-t-il dans un communiqué. Candidat en devenir, Eric Zemmour poserait en ce sens un problème déontologique à son éditeur. «Nous souhaitons bien sûr qu’il puisse être publié, mais il doit l’être par une maison prête à le soutenir dans cette démarche politique assumée», a développé Gilles Haéri, président de la maison d’édition.

Quelles sont les réactions ? Tandis que Gilles Haéri a affirmé mardi avoir eu une discussion avec Eric Zemmour dans laquelle ce dernier ne faisait plus mystère de ses ambitions électorales, le principal intéressé nie en bloc dans un communiqué transmis hier. L’annonce d’Albin Michel a en tout cas échaudé Philippe de Villiers. L’ancien président du département de la Vendée a décidé de changer d’éditeur, «par solidarité» avec Eric Zemmour, jugeant qu’«un auteur d’une telle qualité» ne méritait pas pareil traitement. Le Figaro et CNews, les employeurs du polémiste, n’ont pour l’heure pas annoncé de mise en retrait de leur star.

Après l’opération de ce mercredi vers 1 heure dans le vaste parc (XVIIIe et XIXe), les habitants ont pu à nouveau s’y rendre en toute sécurité. Mais les consommateurs de crack, sans solution de repli ni prise en charge, ont recommencé leur longue errance. Le préfet de police a averti la maire de Paris des risques encourus.

Davantage d'annonces en ligne, des délais de parution réduits... Les biens de luxe ont plus que jamais la cote même si l'hypercentre de la capitale et les petites surfaces séduisent moins les investisseurs.