| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la une de votre newsletter ce vendredi, les questions qui se posent après la panne des numéros d'urgence. Au programme également, le rêve d'un vaccin anti-cancer grâce à la technique des nanoparticules, la vaccination des adolescents qui fait son chemin et le phénomène Monsieur Cuisine Plus. Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Claire Hache, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Numéros d'urgence : après la panne, les questions. L'opérateur Orange s'est excusé hier après la panne qui a empêché l'accès aux numéros de secours dans toute la France et pourrait avoir entraîné, indirectement, la mort de plusieurs personnes, dont un bébé en Vendée. Des enquêtes sont en cours. Au-delà du bilan, encore provisoire, reste plusieurs question cruciales : comment une défaillance logicielle a-t-elle entraîné une panne nationale ? Comment éviter que cela se reproduise ? On fait le point. ● Macron, les retraites et la présidentielle 2022. En déplacement hier dans le Lot, le président a balayé un grand nombre de sujets, de la réforme des retraites qui ne sera vraisemblablement «pas reprise en l'état» à la vaccination obligatoire qu'il rejette pour le moment, en passant par sa propre candidature à sa succession, évoquant des décisions «difficiles» à prendre cet été, qui pourrait rendre cette dernière «impossible». Nous étions avec lui. ● Mali : la France suspend ses opérations militaires conjointes. Après le coup d’Etat du 24 mai, Paris se dit «dans l’attente de garanties» sur un retour des civils au pouvoir à l’issue d’élections prévues en février, a justifié hier soir le ministère des Armées. La force française Barkhane, forte de 5100 militaires au Sahel, continuera d’opérer mais pour l’heure en solo.
● Affaire Maëlys : Lelandais renvoyé aux assises. Nordahl Lelandais, condamné en mai à 20 ans de réclusion criminelle pour le meurtre d'Arthur Noyer, sera donc renvoyé aux assises de l'Isère pour le meurtre de Maëlys de Araujo. Le père de la fillette s'est confié au Parisien.
● Mimi Marchand en garde à vue. Michèle Marchand, dite « Mimi », a été placée en garde à vue hier dans les locaux de la police anti-corruption pour une affaire de subordination de témoin. Le domicile de la reine de la presse people a également été perquisitionné. Selon Mediapart, l’enquête porte sur des faits autour de la rétractation de l’intermédiaire Ziad Takieddine dans le dossier des financements libyens. Un journaliste de Paris-Match aurait été également placé en garde à vue.
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| «Je suis encore en vie, c’est déjà pas mal» | Ophélie Winter La chanteuse, qui avait disparu des radars, remet les pendules à l’heure dans son autobiographie | |
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1 minute pour comprendre | | Covid-19 : des tests sérologiques rapides pour détecter une infection passée | L’actu. De nombreux Français ont eu le Covid sans forcément le savoir car ils n’ont pas eu de symptômes. C’est pour cela que la HAS recommande désormais la réalisation de « tests rapides d’orientation diagnostique » (TROD) sérologiques en parallèle de la première injection. Le principe est simple : via un simple prélèvement de sang au bout du doigt, on sait dans un délai de 15 minutes si des anticorps, témoignant d’une précédente infection, ont été recensés. Qu’est-ce que ça va changer ? En cas de résultat positif, une seule injection sera nécessaire. C’est déjà le cas pour tous ceux qui ont un antécédent connu de Covid, « quel que soit le moment » où ils ont été infectés, indiquait Olivier Véran mercredi soir, sur TF1. La Haute autorité de santé le recommandait dans son avis du 11 février, sauf pour les personnes « présentant une immunodépression avérée » pour qui deux doses restaient nécessaires. L’injection doit avoir lieu « au moins trois mois » et idéalement six mois après l’infection. Qui sera concerné ? Ces tests sérologiques pourraient être proposés, en priorité, aux « personnes immunocompétentes sans antécédent connu d’infection au SARS-CoV2 », et « notamment aux personnes les plus susceptibles de faire une forme asymptomatique de la maladie (jeunes adultes sans facteurs de risque) », préconise la HAS. Cela permettrait notamment, « à titre collectif, de mieux protéger la population en vaccinant plus rapidement plusieurs millions de personnes supplémentaires dans les créneaux et avec les doses ainsi libérées ». « On a très très peu de faux positifs avec ces tests sérologiques », indique Dominique Le Guludec, présidente de l’instance. Celle-ci insiste sur le fait qu’il « est essentiel de vérifier en conditions réelles de mise en œuvre que ce dépistage ne perturbe pas l’organisation de la vaccination actuelle ». | |
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| Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 8h30. D'ici là, n'oubliez pas de souhaiter une bonne fête aux Clotilde de votre entourage, et passez une agréable journée. |
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