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đ Sandrine Collette revient avec un roman viscĂ©ral
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Bonjour John,
Pour bien dĂ©buter l'annĂ©e 2021, nous sommes ravis de vous prĂ©senter notre rentrĂ©e littĂ©raire d'hiver : un roman viscĂ©ral sur l'obsession avec Ces orages-lĂ de Sandrine Collette, une page mĂ©connue de l'Histoire dans Les trois vies de Josef Klein de Ulla Lenze, les troubles dâun couple et dâune famille dans le premier roman de Madeleine Meteyer, La premiĂšre faute, et un texte Ă©blouissant qui mĂȘle histoire turque, passion amoureuse et hommage au cinĂ©ma avec TrĂ©sor national, de Sedef Ecer.
SANDRINE COLLETTE : REPRENDRE FORME HUMAINE
Dans Et toujours Les ForĂȘts, Sandrine Collette suivait les pas de Corentin, dernier homme ou presque aprĂšs le cataclysme Ă©cologique. Elle revient en librairie avec Ces orages-lĂ oĂč son personnage, fĂ©minin cette fois, se relĂšve lentement dâune histoire sous emprise. Au cĆur des deux textes, un mĂȘme geste littĂ©raire : reprendre forme humaine aprĂšs la fin dâun monde.
AU CĆUR DE LA COMMUNAUTĂ ALLEMANDE DU NEW-YORK D'AVANT-GUERRE
Avec son roman Les trois vies de Josef Klein, Ulla Lenze illustre comment les destins individuels se trouvent, souvent bien malgré eux, happés par l'inéluctable marche de l'Histoire. Elle y retrace en effet l'itinéraire de son grand-oncle, émigré allemand dans le New-York des années 30, et nous donne à voir comment ce radioamateur de talent s'est retrouvé pris entre deux pays, se voyant attribuer un rÎle qu'il n'aurait jamais pensé jouer... Retour sur une période méconnue de l'histoire au coeur de la communauté allemande du New-York d'avant-guerre.
« De bout de chemin en bout de chemin, cela devait finir par former une vie. La dame avait le chic pour transformer chaque problĂšme en expĂ©rience miraculeuse que le hasard nous apporte et pour laquelle il serait bon dâavoir un peu de gratitude. »
Madeleine Meteyer, La premiĂšre faute
LE SAVIEZ-VOUS ?
Istanbul fut une vĂ©ritable usine Ă fiction, avec des milliers films dâaction, de science-fiction, dâaventures, ou mĂȘme musicaux, avant quâune partie des copies de ces films ne soit dĂ©truite. Ă tel point qu'on la surnomme parfois âIstanbullywoodâ ! Dans son roman TrĂ©sor national, Sedef Ecer revient sur cet Ăąge d'or et dresse le portrait magnifique dâune actrice et dâun pays marquĂ© par quatre coups dâĂtat entre 1960 et 2016. Un premier texte dâune force romanesque inouĂŻe qui mĂȘle lâhistoire turque, une passion amoureuse bouleversante et un hymne au cinĂ©ma.
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