Une tribune de Vincent Burgevin, fondateur et CEO de SkyBoy Partons d’un constat : les marques du luxe se sont prises de passion pour les métavers, et en particulier ceux du type Sandbox, Decentraland, Roblox ou encore Fortnite. En intégrant ces mondes virtuels, il est étonnant de voir que les marques, d’habitude si enclines à se démarquer à l’aide d’un marketing différenciant, acceptent de partager un espace commun et de se parer de la même direction artistique que leurs concurrents (style pixel art chez Sandbox et Roblox, 3D cartoon du côté de Decentraland et Fortnite). Cependant, nombreuses sont les questions posées par les marques : la direction artistique qui m’est imposée me permettra-t-elle de conserver mon ADN ? Ces univers à consonances vidéoludiques sont-ils propices à un véritable storytelling ? Pourrai-je générer auprès de mon audience une émotion visuelle à la hauteur de celle que je crée dans mes communications télévisées ou en ligne ? >Lire la suite de la tribune |