EDITO. Dimanche, plus de 180 000 personnes manifestaient contre l'antisémitisme en France. Une question subsiste : cette marche servira-t-elle à autre chose qu'apporter du baume au cœur de nos compatriotes juifs ?
ENTRETIEN. Rescapé des attentats du 13 novembre, il s'en tirera avec une balle dans le bras, Olivier Fisher, aujourd'hui collaborateur parlementaire d'un élu du RN revient sur les commémorations.
Fallait-il participer ce dimanche à la grande marche contre l’antisémitisme ? Malgré les appels au rassemblement de certains imams, les fidèles, eux, n’ont guère répondu présent. Une absence qui a suscité la polémique.
L’hôpital Al-Shifa sert notamment à stocker des armes. L’armée israélienne a ainsi lancé dans la nuit une intervention contre les membres du Hamas sur le site.
Avec la volonté d’être sur tous les fronts et ainsi de capter les tendances et les courants de pensée, le chef de l’État a fait venir à l’Élysée Yassine Belattar quelques jours avant la marche contre l’antisémitisme.
Argu : La crise sanitaire due au Covid a mis en lumière de façon spectaculaire la grande fragilité du système de soins français, qui faisait autrefois référence dans le monde entier.
Hitler, Mussolini, Mao, Tito, Franco, Castro, Salazar, Amin Dada, Kadhafi.... Si nous connaissons leurs noms, et pouvons les résumer, nous ignorons des pans entiers de leurs parcours.
