| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
|
|
|
| Bonjour à tous. Au menu de votre newsletter matinale, le PSG condamné à l'exploit ce soir en quart de finale retour de Ligue des champions face à Manchester City, le procès de Nordahl Lelandais qui a démarré hier, la droite qui se déchire en Paca à l'approche des régionales, les mariages après le 19 mai, l'immobilier à Paris et notre interview d'Amir et Indila. Bonne lecture, et bonne journée ! |
|
|
|
Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
|
|
On en parle | | | ● Le PSG n'a pas le choix. Battu 1-2 au Parc la semaine dernière, le PSG doit l'emporter sur un score plus large ce soir à Manchester City pour espérer se qualifier en demi-finale de Ligue des champions. On vous explique les enjeux de ce nouveau match historique et les raisons d'y croire. ● «Je n'ai jamais voulu lui donner la mort». Au premier jour de son procès pour le meurtre du caporal Arthur Noyer devant la cour d'assises de Chambéry, Nordahl Lelandais a réfuté hier toute volonté de tuer, comme dans l'affaire de la petite Maëlys. On revient sur ce premier jour très attendu. ● Pour les restaurateurs, le compte à rebours. Une semaine après la rentrée des écoliers, collégiens et lycéens ont commencé à retrouver hier leurs salles de classe, tandis que les restrictions de déplacement étaient levées. Les restaurants, cafés, entreprises de la culture ou de l'événementiel qui rouvriront partiellement seront éligibles dès juin au fonds de solidarité même si leurs pertes de chiffre d'affaires sont inférieures à 50%, a annoncé lundi le ministre de l'Economie. Décryptage. ● Covid-19. Après le vaccin d’AstraZeneca, le Danemark renonce à celui de Johnson & Johnson. Cette décision va ralentir de quatre semaines la campagne d’immunisation en cours. Les avantages du vaccin ne l’emportent pas sur le risque de provoquer un VITT, un type très rare de thrombose lié à l’injection du sérum, estime l’autorité de santé danoise. ● Rififi en Paca. En scellant une alliance avec Renaud Muselier, candidat de la droite pour les régionales en Paca, LREM a porté un coup à LR, désormais face à un dilemme : faut-il créer une liste dissidente face à lui ? A la gauche de LREM, l'alliance fait également tousser. ● Accident de métro à Mexico. Un pont s’est effondré dans la nuit au moment où une rame de métro circulait dessus. La scène, spectaculaire, a été captée par les caméras de vidéosurveillance de la ville et diffusée par les médias locaux. Les secours sont sur place. Au moins 13 personnes ont été tuées et 70 blessées, selon un premier bilan provisoire. ● Bill Gates divorce. Le milliardaire et cofondateur de Microsoft a annoncé hier soir via Twitter sa séparation d’avec Melinda, son épouse depuis 27 ans. Les Gates, qui ont trois enfants, ont précisé qu’ils continueraient à «travailler ensemble au sein de leur fondation», qui lutte contre la pauvreté et les maladies, mais qu’ils ne pensaient «plus pouvoir évoluer ensemble en tant que couple».
| |
|
|
1 minute pour comprendre | | Les moins de 50 ans avec comorbidités ont-ils besoin d'une prescription ? | L’info. Le ministère de la Santé l’assure au Parisien : une prescription médicale n’est pas obligatoire pour se faire vacciner contre le Covid-19 si on a moins de 50 avec comorbidités. Cet élargissement de la vaccination, entré en vigueur samedi, concerne plus de 4 millions de personnes, obèses, diabétiques, dépressives, etc. Que s’est-il passé ? Dès vendredi, le gouvernement assurait qu’une simple « déclaration » suffirait pour prendre rendez-vous et aller se faire vacciner sur la base de la confiance, sans nécessité de présenter une prescription médicale. Mais des positions contradictoires sont apparues depuis. Le site de l’Assurance-maladie, par exemple, indiquait lundi matin qu’il fallait « une prescription médicale ». Une mention supprimée dans l'après-midi. Comment cela se passe-t-il sur le terrain ? Plusieurs personnes se sont étonnées, durant le week-end, de ne pas pouvoir cocher la case « moins de 50 ans avec comorbidités » sur certaines plateformes de rendez-vous et d’autres ont raconté avoir été ennuyées une fois sur place. « Rien n’empêche un médecin de demander une preuve en cas de doute mais la démarche n’est pas systématique. La directive est très claire », insiste le ministère de la Santé. Celui-ci met aussi en avant le fait que les choses peuvent mettre quelques jours à se mettre en place sur le terrain, d’autant plus que ce changement est intervenu lors du week-end du 1er mai. « Pour fluidifier le parcours de leur vaccination, les patients peuvent se munir d’un justificatif mais ce n’est en aucun cas une obligation », renchérit-on, appelant « à la responsabilité de chacun pour ne pas emboliser la prise de rendez-vous ». | |
|
|
| Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 7h30. D'ici là, passez un excellent dimanche et n'oubliez pas de souhaiter une bonne fête aux Sylvain qui vous entourent. |
|
|
|
| 100% Numérique | | Le journal numérique dès 6 heures |
| | | Une expérience de lecture illimitée, y compris les articles réservés aux abonnés, et SANS publicité |
| | | L’accès à tout le contenu de l’application Le Parisien |
| |
|
|
📬 Lisez nos autres newsletters ! |
| Si vous appréciez lire cette newsletter, il y a de fortes chances que vous aimiez aussi celles-ci : |
|
|
|
| Le Parisien, 10 bld de Grenelle, 75015 Paris [email protected] | Dans le cadre de la gestion de notre prospection commerciale, Le Parisien traite certaines de vos données personnelles dans le cadre de l’exécution d’un contrat ou de votre consentement. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de protection de vos données personnelles : Politique de confidentialité | Se désabonner de cette newsletter |
|
|
|
|
|