M OU MME [email protected] : où passe notre argent ? Fiscalité abusive, gaspillages impunis, dépenses publiques excessives ... lisez la suite ici. ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌

FISCALITÉ ABUSIVE

GASPILLAGES IMPUNIS

DÉPENSES PUBLIQUES EXCESSIVES

Mais où passe notre argent ?

Madame, Monsieur, 

 

J’en ai gros sur le cœur. Je crains le pire.

 

Imaginez...

 

Vous consultez le mois prochain le relevé de votre livret d’épargne. Vos économies sont amputées de 10 % avec une mention mystérieuse : « Effort de solidarité ».

 

Votre surprise est totale et vous pensez à une erreur.

Il n’en est rien. Les journaux télévisés répètent en boucle : « Le gouvernement ne peut plus emprunter sur les marchés financiers. Pour payer les services publics et les prestations sociales, il a décidé de ponctionner en urgence cette nuit, de manière exceptionnelle, les économies des Français ».

Vous n’êtes plus un enfant, vous avez compris qu’une fois imposées, les taxes ont une durée de vie… illimitée. La vignette auto devait être temporaire. Elle a vécu 44 ans !

 

Et vous n’êtes pas au bout de vos mauvaises surprises !

 

Les médias précisent que le gouvernement va également se servir dans votre pension de retraite ou sur votre fiche de salaire. Résultat : vous vous attendiez à un virement de 2 000 euros ? Ce ne sont que 1 800 euros qui seront réellement versés.

 

Votre sang ne fait qu’un tour : c’est un SCANDALE ! « C’est de l’argent qui m’appartient, c’est le fruit de mon travail », criez-vous avec un sentiment de rage qui vous étreint.

 

Si improbable il y a quelques années, ce scénario catastrophe peut se concrétiser si nous ne faisons rien. Puisqu’ils refusent de revoir à la baisse les dépenses publiques et de faire la chasse aux gaspillages, nos gouvernants sont prêts à tout pour récupérer de l’argent partout où il se trouve.

 

Pour comprendre, revenons à la question initiale : mais où passe notre argent ? Je ne parle pas uniquement du fruit de l’impôt sur le revenu mais de tout ce que nous payons à l’Etat lorsque l’on dépense – savez-vous que la TVA est le premier impôt perçu par l’État ? – lorsque l’on possède un bien immobilier, vend, hérite de notre famille… Ce qui fait de nous TOUS des contribuables !

Si vous vous êtes aussi posé cette question légitime, cette lettre vous concerne personnellement. Lisez-la jusqu’au bout s’il vous plaît.

 

Jamais nous n’avons été autant assommés d’impôts et de taxes. Pourtant, jamais nous n’avons bénéficié de services publics d’une telle médiocrité.

Comment l’expliquer ?

 

Les raisons sont simples : l’appétit sans fin des administrations et l’irresponsabilité de ceux qui les dirigent. Mais aussi le manque de transparence dans la gestion de notre argent qui tient les Français à distance et les empêche de se dresser comme un seul homme contre ces injustices !

 

Parlons concrètement :

 

Pensez-vous sincèrement que notre argent est bien utilisé alors que…

 

• Le Parlement vote tous les ans depuis 1975 un budget en déficit. C’est-à-dire un budget où les dépenses sont largement supérieures aux recettes. On marche donc sur la tête depuis près de 50 ans ! En 2023, le déficit prévu est de plus de 150 milliards d’euros. Soit 15 fois le budget annuel du ministère de la Justice…

 

Des prestations sociales généreuses sont accordées… sans la moindre contrepartie ou le moindre contrôle. Pensez aux révélations faites par le magistrat Charles Prats dans son livre Cartel des fraudes validées par la Cour des comptes le mois dernier : 58 millions de cartes Vitale en circulation, soit 2,6 millions de plus que les 55,4 millions de personnes en âge d’en posséder. Cherchez l’erreur… Pour lui, par ailleurs ancien membre de la délégation nationale à la lutte contre la fraude, ce sont près de 40 milliards d’euros qui sont détournés tous les ans. C’est au moins 2 fois le budget consacré à notre sécurité ! Et personne ne s’en émeut au plus haut sommet de l’État…

 

Les rapports de la Cour des comptes se succèdent sur les dérives budgétaires et gaspillages d’un État ruiné mais ils sont trop souvent enterrés par nos responsables. Cela ne peut plus durer !

 

Des fonctionnaires sont payés à créer des normes inutiles imposées aux Français et à nos entreprises. On embauche alors d’autres fonctionnaires pour vérifier que ces normes soient bien respectées. Nous sommes dans un monde de fous !

 

Les gaspillages sont nombreux. Il suffit d’ouvrir les journaux ou de simplement regarder autour de nous pour le constater ! Il y a quelques jours, un membre de notre association parlait d’une salle polyvalente à La Remaudière, bourg de 1 300 habitants (Loire-Atlantique). Le bâtiment public qui a déjà coûté près de 2 millions va être détruit … avant d’avoir servi ! L’équipe municipale préfère stopper le projet. Coût de la destruction : entre 150 000 et 350 000 euros. Les contribuables locaux apprécieront…

Ce n’est qu’une partie des problèmes, bien entendu. Vous avez probablement en tête d’autres faits qui vous choquent tout autant.

 

Trop de dirigeants et de fonctionnaires agissent comme si l’argent public tombait du ciel ! NON, c’est le fruit du travail des Français, le fruit de notre travail. Qu’ils en prennent soin, qu’ils le respectent !

Assurément, c’est la double peine pour les Français : plus d’impôts et moins de services publics de qualité !

L’insécurité grandit et touche toutes les villes de notre pays. La police est dépassée et roule avec des vieilles voitures, contrairement aux criminels qui leur échappent. Vous savez l’inquiétude justifiée des parents lorsque leurs enfants sortent le soir.

 

Même notre système de santé n’est plus à la hauteur. Le professeur Michaël Peyromaure, chef de service dans un hôpital de Paris, déclarait en juillet à la radio : « À mes débuts à l’hôpital, il y avait peut-être un tire-au-flanc pour dix agents. Aujourd’hui, il y en a quatre ou cinq. Ceux qui restent impliqués compensent en permanence les carences des autres ».

 

Le premier budget de l’Etat est l’Education nationale. Pour quels résultats ? Le niveau des élèves ne cesse de chuter dans les classements internationaux. Pensons enfin qualité et non quantité pour mettre fin à cette aberration du « toujours plus ».

 

Notre administration ? Une blague digne des « 12 travaux d’Astérix » où notre héros perd la tête devant des agents aux guichets qui l’ignorent ou qui se renvoient la balle d’un étage à un autre. Une amie me disait l’autre jour qu’il lui a fallu 4 mois pour faire renouveler sa carte nationale d’identité !

 

Vous avez travaillé dur, épargné et acheté un bien immobilier en vue de votre retraite ? En plus des impôts de plus en plus lourds (la taxe foncière va augmenter de plus de 7 % en 2023), vos droits sont ignorés par les pouvoirs publics. Nous venons de recevoir l’appel d’un propriétaire d’un petit 2 pièces en banlieue lyonnaise… squatté depuis des mois par des mauvais payeurs.

Ému aux larmes, il nous a expliqué qu’il n’arrivait pas à faire expulser ces voyous. Et chaque mois, il est pris à la gorge pour rembourser son emprunt…

Comment ne pas être révolté devant tant d’injustice ? Comment ne pas être révolté devant l’inaction de nos élus ?

Nous connaissons tous des employés de l’État qui font leur travail avec application, sérieux et dans le respect des deniers publics.

 

Pourtant, au plus haut sommet de l’État, un redoutable adversaire fait pression pour accroître encore et toujours les dépenses : le « lobby » de la dépense inutile.

 

C’est cette idéologie que je combats de toutes mes forces. Cette idéologie imprègne de trop nombreux responsables politiques et hauts fonctionnaires.

 

Les résultats ? Une dette qui file, une modernisation du service public qui se fait attendre, des baisses d’effectif qui n’ont jamais lieu, des nouvelles taxes, des gaspillages en toute impunité. Autant de mauvaises décisions prises sans que leurs instigateurs aient à rendre des comptes.

 

Avez-vous remarqué que les médias et certains responsables nous noient de chiffres compliqués ou opaques ? Je les soupçonne de le faire exprès pour nous dissuader de comprendre ce qui se passe réellement.

 

Quelques chiffres simples suffisent à éclairer la dégradation de notre économie. Savez-vous par exemple que :

57 % de la richesse créée par les Français est captée par l’État pour financer son appétit incontrôlé ?

 

45 000 €, c’est le montant de la dette qui pèse sur chaque citoyen ? Soit l’équivalent d’un an et demi d’un salaire moyen entièrement mobilisé pour rembourser cette dette !

 

60 % de votre plein d’essence sont des taxes ?

 

En 2022, chiffres du ministère du Budget à l’appui : sur 1 000 € de dépenses publiques, seuls 35 € sont consacrés à notre armée, 23 € à notre sécurité et 7 € à notre justice. Soit un total ridicule de 65 € pour des services publics essentiels !

Nos impôts sont les plus élevés : 47 % de notre PIB (contre 41 % en moyenne en Europe).

 

Le président de la République l’a reconnu le 14 juillet dernier : « La France est déjà (…) le pays d’Europe qui fait payer le plus d’impôts ». En mai, il a annoncé une baisse d’impôts de 2 milliards d’euros. Sans baisse des dépenses publiques excessives, il va devoir aller chercher ce manque à gagner dans les poches d’autres Français. On déshabille Pierre pour habiller Jacques. Qui croit encore à ces stratégies d’illusionniste ?

Toute notre vie, l'État se sert sans vergogne.

Certes, nous devons payer l’impôt. Mais, bonne nouvelle, nous avons aussi des droits ! Des droits dont personne ne parle (vous allez comprendre pourquoi) !

 

Connaissez-vous ces articles de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen ?

 

Art. 14. Tous les citoyens ont le droit de constater par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.

 

Art. 15. La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.

 

Vous avez bien lu : nous avons le droit de demander des comptes sur ce qui est fait de notre argent.

C’est la raison d’être de l’équipe de Contribuables Associés, qui se bat corps et âme depuis des années contre les dépenses publiques délirantes, les gaspillages en pagaille, les impôts trop élevés.

 

Alors, Madame, Monsieur, si vous partagez avec moi ces constats, vous avez deux possibilités : ne rien faire ou agir avec nous.

Comme le dit l’adage : « L’union fait la force ». C’est pourquoi nous voulons rallier à notre cause tous les Français soucieux d’une gestion « en bon père de famille » de l’argent public.

 

Pour exiger des pouvoirs publics des mesures de bon sens comme par exemple :

 

• Diminuer les impôts pour les Français et les entreprises ;

 

• Baisser le nombre de fonctionnaires dans les administrations ;

 

• Poursuivre sans relâche les fraudeurs aux allocations ;

 

• Obliger le Parlement à voter systématiquement des budgets à l’équilibre ;

 

• Supprimer les frais de succession ;

 

• Mettre fin au financement public des syndicats ;

 

• Faire le ménage dans les normes imposées aux Français et aux entreprises ;

 

• Supprimer l’aide médicale d’Etat qui donne droit aux ressortissants étrangers à la prise en charge à 100 % de leurs soins médicaux et hospitaliers ;

 

• Exiger de responsabiliser les Hauts fonctionnaires sur leurs résultats et dépenses ;

 

• Donner à la Cour des comptes d’authentiques pouvoirs de sanction.

 

Uniquement des mesures qui iraient dans l’intérêt des Français attachés à la valeur travail et qui permettraient une amélioration de notre économie.

Pour faire entendre la voix des contribuables, nous utilisons tous les moyens

1. Travail au Parlement, auprès des ministres ou de leurs conseillers pour porter votre voix au plus près des instances de décision. Nous leur donnons des propositions de loi ou des amendements clé en main pour faire avancer notre cause.

 

2. Interventions régulières dans la presse : rien que le mois dernier, la chaîne de télévision TF1 , les hebdomadaires Le Point, Valeurs actuelles et Le Journal du Dimanche, des radios locales comme Kernews ou Totem nous donnaient la parole.

 

3. Publications d’études inédites : « Le véritable coût de l’immigration », « Les enjeux de la dette publique », « Le scandale de la fiscalité pseudo écolo ». Elles sont relayées par la presse comme en décembre dernier où le Figaro Magazine a fait sa Une avec notre étude sur les gaspillages 2022.

 

4. Grandes campagnes de mobilisation : des pétitions signées par des dizaines de milliers de Français. Nous les déposons nous-mêmes systématiquement aux ministres pour ne jamais faire baisser la pression sur les décideurs.

 

5. Rencontres avec des experts : nos membres peuvent échanger régulièrement avec des personnalités telles que les économistes Jean-Marc Daniel et Marc Touati, le journaliste Dimitri Pavlenko, ou encore le sondeur de l’Ifop Jérôme Fourquet venu témoigner de l’exaspération des Français quant à la dégradation des services publics importants.

 

6. Des campagnes sur les réseaux sociaux pour mobiliser les plus jeunes. Nos dernières vidéos ont été visionnées par plus de 100 000 internautes.

 

Nous passons aussi les élus au crible avec un Argus des communes pour vous éclairer sur la gestion financière de votre commune (malgré le barrage de Bercy). Mais aussi un Argus des députés pour vous informer sur l’implication de votre député dans notre combat commun.

 

Et pour contester des dépenses illégales, nous n’hésitons pas à saisir les tribunaux.

 

Nous avons mis en garde les maires qui s’apprêtaient à payer leurs agents grévistes (France Info a parlé de notre action le 31 janvier dernier).

Nous avons obtenu de belles victoires...

Remboursement pour 5 millions de retraités qui ont bénéficié de l’annulation de la hausse de la CSG, un combat porté depuis longtemps par Contribuables Associés.

 

Instauration d’un service minimum dans les transports publics – mais il faut aller plus loin encore.

 

Abrogation de la réserve parlementaire qui permettait aux députés et sénateurs de financer à leur guise des associations et des collectivités de leur circonscription (plus de 130 millions d’euros par an).

 

Obligation faite aux parlementaires de justifier leurs frais.

... mais il reste encore beaucoup à faire !

Je vous écris aujourd’hui pour vous proposer d’utiliser vos droits et mettre fin à ce gaspillage qui ruine notre pays.

 

Je veux porter au plus haut niveau de l’Etat le ras-le-bol des Français. Faites entendre votre voix, remplissez votre QUESTIONNAIRE ici, accompagné d’un don pour financer le combat !

Bouton je réponds au questionnaire ici

Grâce à notre travail, ce sont des centaines de millions d’euros d’argent public qui ont déjà été économisés par les Français.

 

Mais pour aller plus loin, j’ai besoin de VOUS.

 

Chez Contribuables Associés, nous avons fait le choix de la liberté : nous sommes indépendants des partis politiques, nous ne touchons aucune subvention et restons à l’écart des groupes d’intérêt et autres officines.

 

S’il vous plaît, cliquez ici pour répondre à notre QUESTIONNAIRE et si vous le pouvez (c’est sans obligation), nous transmettre votre don le plus généreux possible à Contribuables Associés.

 

Vous nous permettrez ainsi d’intensifier nos actions et de mobiliser d’autres Français comme vous !

 

L’idéologie de la dépense publique aveugle est puissante, profondément ancrée dans un État vorace et opulent abreuvé de l’argent des contribuables !

Les responsables politiques plieront si demain nous sommes des millions à porter ce message.

Sans l’aide financière de Français soucieux de demander des comptes sur l’utilisation de NOTRE ARGENT, nous n’aurions jamais pu faire plier les gouvernements ou informer les Français sur ces dérives.

 

Avec votre soutien, je peux obtenir plus.

 

Mais si un seul manque à l’appel, c’est notre pouvoir de pression qui faiblit.

 

Madame, Monsieur, si vous nous rejoignez, c’est un vent nouveau qui se lèvera, celui des contribuables associés pour une juste utilisation de leur argent.

 

Du fond du cœur, merci de votre générosité.

Signature Benoît Perrin

‍Benoît Perrin

Directeur

Bouton je réponds au questionnaire ici

N.B.1 : chacun d’entre nous est concerné par cette lettre. L’heure est grave. La situation se dégrade rapidement : plus d’impôts prélevés partout (TVA, impôt sur le revenu, taxe sur l’électricité ou l’essence, taxe foncière, droits de succession, impôts sur les sociétés) et moins de services rendus. A nous de demander des comptes sur l’utilisation de NOTRE argent !

 

N.B. 2 : envoyez-moi vos réponses à notre questionnaire dès aujourd’hui en cliquant ici ! C’est le moyen le plus efficace pour avoir du poids auprès des décideurs. Pour que je puisse faire entendre la voix des contribuables, votre voix, et protéger notre argent.

Les informations vous concernant font l’objet d’un traitement informatique destiné à l’envoi de newsletters d’information, d’emails d’appels à signature de pétitions et/ou d’emails afin de collecter des dons. Vos données sont conservées en conformité avec les directives de la CNIL. Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée et au Règlement européen n°2016/679/UE du 27 avril 2016, vous bénéficiez d’un droit d’accès, de rectification, de portabilité et d’effacement de vos données ou encore de limitation de traitement, en écrivant à Contribuables Associés - 13 rue du Quatre-Septembre – 75002 Paris | [email protected] .


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