Madame, monsieur, chère amie, cher ami,
  Jâai cru à une blague.
  Lorsque jâai reçu le premier courriel mâannonçant que les mortelles injections ne seraient pas proposées aux migrants, car les laboratoires pharmaceutiques qui vendent ces poisons refuseraient « dâassumer les risques juridiques » en cas de survenue dâeffets indésirables chez ces migrants, je me suis dit que certains plaisantins avaient du temps à perdre, contrairement à moi.
  Les effets indésirables graves de produits qui ne protègent de rien mais qui tuent et qui rendent malades, ce nâest pas pour les migrants, câest juridiquement trop dangereux avec eux !
  Au cinquième message qui relatait la même chose, jâai compris que ce que câétait bel et bien vrai : les effets indésirables graves, ce nâest pas pour les migrants, les vendeurs des produits risqueraient de trop perdre en procédures judiciaires et en dommage et intérêt à verser aux millions de victimes.
  Ce nâest pas une blague, câest une déclaration dâun des responsables du programme « Covax » de lâONU qui précise que 167 millions de migrants sont exclus de ces injections (les chanceux) à cause de ces risques juridiques que ne veulent pas prendre les vendeurs de ces mortelles saloperies.
  Les hitlériens qui nous gouvernent ont accordé lâimmunité judiciaire aux laboratoires pharmaceutiques.
  Que ce soit avec les contrats passés sous lâégide de lâUnion européenne, ou de ceux directement passés par les Ãtats, les laboratoires pharmaceutiques sont couverts : aucune poursuite ne pourra être engagée contre eux, ainsi en ont décidé les nazis qui sont aux commandes des politiques de Santé publique.
  Les effets indésirables graves, câest bon pour les Français « allez-y Pfizer & co, vous ne risquez rien. Mais pas touche aux migrants ! »
  Aucune poursuite judiciaire ne pourra être engagée contre les assassins qui vendent ces produits ou contre ceux qui les recommandent ou qui les injectent dans les corps de ressortissants français.
  En revanche, comme les migrants nâont pas la nationalité française, rien ne pourrait empêcher les victimes des injections de se retourner contre les laboratoires pharmaceutiques en leur réclamant des milliards de dommages et intérêts.
  Câest bien plus inquiétant que cela.
  Lorsquâon sait quâhabituellement les laboratoires pharmaceutiques ne craignent absolument pas dâavoir à payer des centaines de millions dâamendes, que cela nâaffectera en rien leurs résultats comptables et les bénéfices quâils distribueront aux actionnaires, on se dit quâil y a anguille sous roche.
  Car, enfin, il ne sâagit que de 167 millions de personnes selon les dires de lâONU, or près de 60 % de la population mondiale aurait déjà été injectée (59,3 % selon « ourworldindata ») soit près de 4 milliards dâindividus.
  Que représenteraient des amendes et des dommages et intérêts à payer pour Pfizer, par exemple, après sans doute plus de 10 années de procédures judiciaires si seulement 0,11 % (pourcentage des effets indésirables selon les autorités pro-injections) de 167 millions dâinjectés migrants (soit près de 170 000 personnes) souffraient dâeffets indésirables graves ?
à vrai dire pas grand-chose (1,7 milliard de dollars si chaque victime touchait 10 000 dollars).
  Pfizer : 6,17 milliards dâamendes entre 2000 et 2019.
  Et il ne sâagit là que la partie connue, aucun des accords confidentiels de dédommagements nâest comptabilisé dans cette somme.
  En dollars US :
  2000 : violation de la sécurité : 30 000 000
  2002 : charlatanisme, fausses déclarations : 49 000 000
  2004 : charlatanisme, publicité mensongère, promotion illégale de produits : 190 000 000
  2004 : charlatanisme : 430 000 000
  2005 : charlatanisme, falsification des données, fausses déclarations : 124 000 000
  2006 : charlatanisme, falsification des données, fausses déclarations : 124 000 000
  2008 : charlatanisme, publicité mensongère, promotion illégale de produits : 60 000 000
  2009 : pots-de-vin, corruption de médecins et de fonctionnaires : 331 000 000
  2010 : promotion injustifiée, charlatanisme organisé à grande échelle : 2 300 000 000
  2012 : charlatanisme, publicité mensongère : 42 900 000
  2012 : violation de la sécurité des produits : 55 000 000
  2013 : charlatanisme, publicité mensongère, promotion illégale de produits : 257 000 000
  2013 : charlatanisme : 490 000 000
  2014 : charlatanisme, publicité mensongère, promotion illégale de produits : 35 000 000
  2016 : charlatanisme, falsification des données : 371 000 000
  2016 : falsification des données et publicité mensongère : 784 000 000
  2019 : propagation de données falsifiées : 41 000 000
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  Précisons que ces 6,17 milliards dâamendes ont en fait été payés par les assurés sociaux du secteur privé, ils nâont pas été prélevés sur les comptes en banque des dirigeants et des actionnaires de Pfizer, mais ils ont justifié une augmentation du prix des médicaments remboursés par les assurances maladie.
  Et si le pourcentage des effets indésirables était de 25 % ?
  Quâen déduire, sinon que le pourcentage des effets indésirables est bien plus élevés que ce qui nous est dit ? Et sâil était proche des 25 % (dont 25 % qui sont immédiatement graves), comme nous le disent régulièrement et sous couvert dâanonymat, certains praticiens hospitaliers ?
  Cela changerait la donne et effectivement, les laboratoires pharmaceutiques ne pourraient pas économiquement survivre à des procédures judiciaires perdues dâavance.
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  Nous sommes dirigés pas des assassins et des escrocs, notre liberté, lâinviolabilité médicale de nos corps et la liberté thérapeutique ne sont pas négociables !
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  Nâattendons pas quâils nous placent à lâisolement dans des camps de concentration afin de nous injecter de force leurs mortelles saloperies.
  Chassons-les avant, chassons-les pendant quâil en est encore temps.
  Ils veulent notre peau, préparons-nous très sérieusement à la Résistance active et clandestine.
  Pierre Lefevre