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Paris, jeudi 28 mars 2024 |
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| Les marchés accros à l'opium monétaire Finir la semaine, le mois et le trimestre boursier au plus haut avant de partir à la chasse aux oeufs... Le scénario était cousu de fil blanc, mais il a été exécuté avec maestria. Le CAC 40 a inscrit un doublé record intraday (8 230 points) et un record de clôture (8 205 points), et le CAC 40 GR (dividendes inclus) a tutoyé le score symbolique des 25 000 points (à 24 960 points, soit +9% depuis le 1er janvier). Le CAC 40 ne fut pas le seul à battre des records... L'Euro-Stoxx 50 a flirté avec les 5 100 points, le DAX 40 a pulvérisé la barre des 18 500 points... et à Wall Street, les "algos" ont placé les principaux indices US sur la meilleure orbite autour de la planète "records", grâce à une correction de trajectoire bienvenue, au lendemain d'une fin de séance "ratée" la veille où les indices US avaient reperdu entre -0,5 et -0,6% au cours de la dernière heure. Une petite fausse note dans une partition haussière quasi-symphonique depuis le 5 janvier dernier, dont les causes n'ont pas vraiment été élucidées mardi, faute de "market movers" notables (chiffres ou annonces de banquiers centraux). Les trois principaux indices US sont de nouveau en mesure de battre des records absolus ce jeudi pour clôturer en beauté un 1er trimestre intégralement placé sous le signe d'une hausse funiculaire, à l'exception de la première semaine de l'année. Cliquez ici pour lire la suite. |
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| Showbiz et propagande "Piller, massacrer, voler, ces choses qu'ils nomment injustement ‘empire' : ils créent de la désolation et appellent cela la paix." – Tacite Baltimore a fait la une des journaux mondiaux ce mardi 26 mars. "Six personnes portées disparues après l'effondrement d'un pont", titrait le Irish Times. Cette une est quelque peu trompeuse. On ne peut pas dire que le pont s'est simplement effondré, pas plus qu'on ne peut dire d'une personne qui a reçu une balle dans la tête qu'elle n'a fait que "mourir". Le pont a été détruit. Pas d'inquiétude, ceci dit. Le Guardian est là pour nous apporter plus de précisions : "Biden a assuré que le gouvernement fédéral des Etats-Unis prendrait en charge la totalité des frais de reconstruction du pont de Baltimore, dont l'effondrement a également interrompu l'activité d'un port important du pays. ‘C'est de mon intention de faire prendre en charge la totalité des frais de reconstruction du pont par le gouvernement fédéral, et je m'attends à ce que le Congrès soutienne ma décision', a annoncé le président des Etats-Unis." C'est plus que trompeur. Biden n'a pas le pouvoir d'engager des fonds américains pour la construction de ponts. Et l'argent dont dispose le gouvernement fédéral ne sert pas à réaliser des travaux. Le coût devra être payé par le public, d'une manière ou d'une autre. Cliquez ici pour lire la suite. |
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| Sommes-nous dans une bulle, et est-elle dangereuse ? (4/4) - Mory Doré - Si, comme nous l'avons vu dans nos précédents articles, il est nécessaire de comprendre ce qu'est une bulle d'actifs financiers et de savoir les identifier, il ne faut pas oublier de faire la distinction entre les bulles souhaitables et nécessaires et les bulles inutiles et dangereuses. Il est unanimement admis que les bulles sont dangereuses car déstabilisantes pour le système économique. Une déconnexion significative de la valeur d'un actif financier par rapport à ses fondamentaux économiques se paie cher un jour ou l'autre (en destruction de valeur et malheureusement d'emplois). Mais, les choses sont souvent moins triviales, et aux côtés des bulles dangereuses existent des bulles tolérables.Tout dépend de la situation du taux de croissance de l'économie d'un pays et du type d'actif sur lequel porte cette bulle. Cliquez ici pour lire la suite. |
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