Les banques et les Etats en achètent en secret, j’espère que vous en avez ! 

Cher membre du Club,

Depuis le 1er janvier, toutes les cryptos les plus importantes du marché ont fait gagner leurs investisseurs.

Car ils savaient « quelque chose ».

« Quelque chose » qui fait que les grosses cryptos ont fait mieux que Apple, Google, Microsoft, le Nasdaq, ou le CAC 40 sur la même période.

Et ce mail va vous le dévoiler.

Standard Chartered : la banque retourne sa veste et adoube la crypto

“StanChart” a changé d’avis.

Et changera peut-être le vôtre.

De 100 000 $ à l’origine, la banque a remonté sa prévision sur la valeur de Bitcoin à 120 000 $ en 2024.

S’il faut retenir une chose, c’est bien ça : une banque britannique établie depuis 170 ans et présente sur tous les continents fait des prévisions à la hausse sur la reine des crypto-monnaies.

Rappelons qu’un des piliers du Bitcoin c’est la disparition des banques comme tiers de confiance dans une transaction monétaire.

Un mastodonte du secteur bancaire qui fait la promotion d’une technologie concurrente qui pourrait faire disparaître à terme les banques, c’est pour le moins étonnant.

Mais cela annonce une bonne nouvelle : les géants de la finance ont compris.

Compris comment fonctionnait la blockchain, les crypto-monnaies, et leurs échanges.

Ils voient les gains de productivité immenses et s’adaptent (tard) en tant que prestataires de services financiers.

Et Standard Chartered ne fait pas une crise d’ado dans son coin.

Votre banquier achète du Bitcoin en secret !

Vous connaissez très certainement cette maxime :

“Faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais !”

Force est de constater qu’elle s’applique particulièrement bien au contexte actuel.

Dès qu’elle le peut, la plus grande banque au monde JP Morgan s’empresse d’acheter du Bitcoin.

Pourtant il y a quelques semaines encore, Jamie Dimon - PDG de JP Morgan - annonçait que “le Bitcoin est une pyramide de Ponzi”.

Et JP Morgan est loin d’être la seule banque à avoir retourné sa veste :

Il y a quelques jours, la plus grande banque française - BNP Paribas - a aussi acheté pour la première fois du Bitcoin :

Même le géant bancaire suisse UBS s’est placé dessus pour la première fois d'après un rapport officiel des autorités financières.

Ces achats coordonnés indiquent un changement majeur dans l’esprit des géants de la finance à l’égard des cryptos.

Partout dans le monde, les plus grandes places financières assument de vouloir intégrer les crypto-monnaies.

Comme elles l’ont fait pour les actions, les obligations, les indices ou les taux.

Et aux USA, on ne perd pas de temps non plus.

Les USA font profil bas mais visent haut

Pas plus tard qu’hier l’état du Wisconsin a annoncé avoir acheté pour plus de 100 millions de dollars de Bitcoin aux prix actuels !

Encore une fois, il ne s’agit pas d’un événement isolé mais de la conséquence d’un changement de paradigme majeur !

Et qui s'est accéléré depuis que Blackrock (le plus gros fond d’investissement de la planète) s’y est mis...

Et depuis que son PDG Larry Fink considère le Bitcoin comme « un actif international et une forme d’or numérique, dont l’investissement doit être massivement popularisé. ».

La crypto fait même irruption au centre des élections présidentielles américaines. 

Trump vend des NFT à son effigie et accepte les dons en crypto, Robert Kennedy Jr. a déjà annoncé qu’il protégerait les investisseurs cryptos et soutiendrait le développement du secteur. 

La crypto est désormais une classe d’actif aussi populaire que l’or ou les actions d’entreprises.

Vous n’avez pas forcément entendu parler de tout ça.

Pourtant, le Point de Bascule a été atteint.

Ça y est ! Les crypto-monnaies sont arrivées au stade institutionnel

Chaque État les adopte à sa façon : il n’y aura pas de retour en arrière.

Les banques s’y mettent, les États s’y mettent, les fonds de pension s’y mettent : à partir de maintenant, il va y avoir beaucoup d’argent en jeu.

Et c’est la récompense des pionniers des cryptos, qui avaient les bonnes informations, et surtout la patience.

A présent, les scandales sont passés et les états, les fonds de pension, les banques traditionnelles sont en phase d’adoption et d’investissement.

Et ils militent tous pour une réglementation qui protégera leur investissement dans les projets cryptos.

Car une chose est sûre : quand les institutionnels s’y mettent, ce n’est plus un pari risqué.

C’est une rente sacrée.

A très vite.