Les anti-pass sanitaire ne dsarment pas

● Les anti-pass ne désarment pas. Dans la rue, les opposants à l'extension du pass sanitaire, effective à partir du 9 août dans les restaurants ou lors des trajets longue distance, ne semblent pas désarmer. Un peu plus de 200 000 personnes ont manifesté hier en France, avec quelques incidents à Paris notamment. Un chiffre en hausse par rapport à la semaine dernière.
● Les coulisses d'un exploit. Les judokas tricolores ont conclu par un feu d’artifice doré leur moisson de médailles (huit) en remportant ce samedi face au Japon l’épreuve mixte par équipes. Une performance qui fera date dont on vous dit tout.
● L’alerte enlèvement est levée. Le plan alerte enlèvement, déclenché hier par les autorités après le rapt par son père d’un petit garçon de huit ans à Lannion (Côtes-d’Armor), a pris fin. Dewi, garçon de 8 ans et atteint de surdité, a été retrouvé sain et sauf sur la commune de Plouaret.

● Retour au sommet pour Manaudou. Cinq ans après l’argent de Rio, le champion olympique 2012 est de nouveau monté cette nuit sur la deuxième marche du podium du 50 m nage libre. Une sacrée performance quand on sait que Florent Manaudou s'était éloigné des bassins durant deux ans et demi.
● La Martinique sous tension. Confinée pour trois semaines, l’île fait face à une hausse exponentielle des contaminations au Covid-19. De premières évacuations ont eu lieu vers la métropole hier. Sur place, les soignants décrivent une situation «apocalyptique». Reportage.

Le ministre de la Santé sort d'une période très intense au Parlement et dans les médias. En août, il s'attèlera encore à la crise sanitaire, mais essaiera aussi de montrer qu'il peut avoir un rôle à jouer dans la prochaine présidentielle.

L'ANSM a décidé de classer comme «signal potentiel» les troubles menstruels après la vaccination par Pfizer ou Moderna. Des spécialistes expliquent ce possible effet secondaire et se montrent rassurants.

Des milliers de Français sont concernés à l'échelle mondiale. Vaccinés dans leur pays de résidence avec les sérums russe ou chinois, pas homologués dans l'Union européenne, ils sont considérés comme non-vaccinés une fois en France. Aucune solution n'existe pour l'heure.