Les chiffres de la mortalité liés au Covid-19 sont revenus à leur niveau du mois de janvier.
Chaque jour nos statisticiens enregistrent quelques décès liés au virus.
L’épidémie est donc terminée.
Les scientifiques indépendants ne craignent pas de 2è vague1. Ils ont d’autres inquiétudes en tête.
La généticienne, Alexandra Henrion-Caude prend le temps de l’expliquer dans une interview d’un peu moins d’une heure ici.
A travers cette vidéo, elle soulève 5 questions, qui sont autant de tabous liés à la crise politique que nous traversons.
Tabou n°1 - Le virus a-t-il été créé en laboratoire ?
Le SARS-CoV-2 est un virus qui, comme tous les coronavirus, était censé ne se transmettre qu’entre les animaux.
Depuis 20 ans pourtant, ces virus se transmettent aux humains.
Est-ce le fait d’une mutation naturelle ? Est-ce le fait d’essais humains mal maîtrisés?
Les deux sont possibles. Mais les scientifiques officiels s’interrogent bien peu à ce sujet.
Alexandra Henrion-Caude ne se prononce pas définitivement.
Elle lâche tout de même :
“ Quand on regarde la séquence, ce qu’il y a de plus probable c’est une manipulation que l’homme aurait faite. ”
Et l’idée que de tels virus puissent sortir de laboratoires très sécurisés de type “P4”, comme celui de Wuhan, n’est pas si étonnante.
Elle rappelle, espiègle, que dans le laboratoire “P4” de Lyon, censé être le plus sécurisé de France, un SDF avait été retrouvé installé depuis plusieurs jours dans les couloirs…
Si un être humain peut pénétrer cette forteresse inexpugnable, pense-t-on vraiment que les virus puissent ne pas en sortir ?
Tabou n°2 - La Chine a-t-elle menti sur l’origine du virus ?
Alexandra Henrion-Caude pose une autre question difficile : pourquoi la Chine a-t-elle fortement recommandé aux Italiens, lorsque l’épidémie est venue chez eux, de ne PAS faire d’autopsie ?
Et pourquoi les Italiens ont-ils suivi cette recommandation ?
Il aurait fallu attendre le mois de mars pour qu’une autopsie soit pratiquée en Europe et permettre ainsi de mieux connaître la maladie ?
Que redoutait-on ?
D’après Alexandra Henrion-Caude ce retard a pu être préjudiciable aux patients. Mieux on connaît une maladie, mieux on sait la traiter...
Tabou n°3 - Pourquoi rien n’est fait pour favoriser l’immunité des populations ?
La grande absente des débats sanitaires depuis le début de la crise du coronavirus est l’immunité.
Rien n’a été conseillé aux populations pour les aider à renforcer leurs défenses naturelles.
Aujourd’hui, on sait que l’immunité se stimule grâce à :
l’exposition raisonnable au soleil qui donne de la vitamine D ; le mouvement : c’est l’activité physique, les marches en forêt ou sur la plage ; une bonne oxygénation : avoir les fenêtres ouvertes, ne pas rester confiné, etc ; une alimentation de qualité : biologique, locale, et faite de produits frais ; la consommation de vitamines, de minéraux et d’oligo-éléments protecteurs : le magnésium, le zinc, etc. des émotions positives ou des stress surmontables. Le stress fait partie de la vie. Nos vies sont même une succession de stress surmontés. Mais le stress chronique est délétère pour la santé. Or le confinement et les messages de peur diffusés en masse ont constitué un puissant stress pour l’ensemble de la population.
Le gouvernement, aidé de son conseil scientifique sous influence de l’industrie pharmaceutique, a tout fait pour éviter que les populations restent en bonne santé :
Quand, il fallait protéger les gens, on leur a supprimé les masques et les traitements utiles. Quand il fallait les laisser respirer, prendre l’air et se détendre, on les a mis sous masques et culpabilisés à outrance.
Tout cela fait dire à notre scientifique que nous venons de vivre “un épisode de folie collective”.
Tabou n°4 - Pourquoi ne dit-on pas que les vaccins contre le Covid et celui de la grippe risquent d’être dangereux pour les populations fragiles et exposées au virus ?
Alors que l’épidémie s’achève, des vaccins arrivent.
C’est trop tard.
Cela ne sert à rien. Pire, ces vaccins pourraient être dangereux.
D’abord parce qu’ils ont été faits trop vite et de manière peu éthique. Ils sont aujourd’hui testés sur des populations en Afrique du sud dans “des centre tenus secrets” !
Il n’y a aucun recul sur ces vaccins et pourtant certains gouvernements songent à les rendre obligatoires ! Ce serait le cas en Italie par exemple.
Ensuite, parce que le nombre de personnes asymptomatiques touchées par le coronavirus est inconnu.
Vacciner des gens qui ont eu la maladie serait dangereux. Cela créerait une “interférence virale”.
De même, ces personnes exposées récemment au Covid-19 pourraient mal réagir au vaccin contre la grippe.
Selon Alexandra Henrion-Caude, s’il y a eu autant de morts du Covid-19 à Bergame - les deux tiers des morts en Italie - c’est parce que :
la pollution y est importante ; la population y est âgée ; la population aux origines étrusques aurait une faiblesse génétique par rapport à ce virus ; la population y avait été massivement vaccinée contre la grippe et contre la méningite quelques semaines avant l’épidémie de Covid-19.
Alexandra Henrion-Caude estime que cette survaccination n’est jamais évoquée alors que chacun sait que les vaccins peuvent fragiliser pendant un petit temps les organismes.
Tabou n°5 - Pourquoi le parlement français est-il en train d’autoriser la fabrication de chimères ?
C’est le dernier point soulevé par l’interview. Il est simplement esquissé. Mais il est important.
Le 31 juillet 2020, une nouvelle loi bioéthique a été votée. Elle sera promulguée à la rentrée.
Cette loi porte sur la médecine reproductive. Désormais un couple de femmes peut avoir recours à la procréation médicalement assistée pour avoir un bébé en bonne santé.
La loi ouvre aussi la voie à des recherches sur les embryons, les cellules souches et les chimères. Ces dernières sont des organismes vivants comprenant des éléments animaux et humains.
Alors que nous sortons d’une crise sanitaire potentiellement provoquée par un virus animal trafiqué en laboratoire pour devenir humain, on s’empresse d’autoriser davantage de recherches de ce type ?
On marche sur la tête !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
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