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Par Luc de Barochez Journaliste et éditorialiste
Leçon syrienne pour l’Algérie L'Algérie est l'un des rares pays à regretter l'éviction du « boucher de Damas ». La chute du tyran syrien affaiblit sa posture stratégique et la plonge un peu plus dans l'impasse géopolitique. Fidèle alliée de la dictature d'Assad père (Hafez) puis fils (Bachar), elle est désormais privée d'un partenaire qui lui était aussi proche que précieux. Le 3 décembre, elle affirmait encore par communiqué officiel sa « solidarité inébranlable » avec la « nation sœur », alors que les rebelles islamistes marchaient sur Damas. Qui se ressemble s'assemble : tout comme l'ex-régime syrien, celui d'Alger plonge ses racines dans l'idéologie nationaliste arabe de Nasser, socialisante et anti-occidentale. Les deux pays ont connu la férule française, la Syrie à l'époque du mandat (1920-1946) et l'Algérie pendant la colonisation (1830-1962), mais ce n'est pas ce qui les a le plus rapprochés... Lire la suite de l'éditorial de Luc de Barochez
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