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Bonjour, voici les articles et les informations à ne pas manquer ce mardi matin. Convention démocrate. La standing ovation a duré plus de 3 minutes. Essuyant une larme après avoir étreint sa fille, Joe Biden a été longuement applaudi à Chicago par des milliers de délégués lui scandant de l'amour, « We love Joe ». Répétant que cette élection était « une bataille pour l'âme de notre nation » face à Donald Trump, qu'il a qualifié de « loser » et de « repris de justice », Joe Biden a passé la torche à Kamala Harris, qui acceptera formellement la nomination, ce jeudi. Le président américain l'a assuré : le 5 novembre, « Donald Trump va découvrir le pouvoir des femmes ! ». Proche-Orient. Benyamin Netanyahou a « confirmé qu'Israël acceptait le plan de compromis » présenté par Washington pour une trêve à Gaza, a assuré Antony Blinken. En visite dans la région, le secrétaire d'État américain estime qu'il « incombe » désormais au Hamas « d'en faire de même ». Matignon. Alors que LFI brandit la menace d'une destitution si Emmanuel Macron nommait une autre personne que Lucie Castets à Matignon, l'intéressée a balayé ce scénario : « Mon sujet, ce n'est pas la destitution, c'est la cohabitation », a-t-elle déclaré sur BFMTV. Vendredi, la championne du Nouveau Front populaire fera partie des personnalités reçues à l'Élysée pour une « série d'échanges ».
Cinquante jours ne sont pas écoulés depuis les législatives du 7 juillet que certains esprits échauffés du côté de La France insoumise parlent déjà de destituer Emmanuel Macron. Ils veulent le punir de ne pas avoir encore nommé de Premier ministre. Dans un pays où l'État-nounou est omniprésent, l'absence de gouvernement est vécue comme une anomalie angoissante. Pourtant, l'expérience des dernières années dans d'autres démocraties européennes montre qu'on vit très bien sans.
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