Henri est un donateur et un sympathisant de Libre Consentement Éclairé. Intéressé par la formation « Acheter, conserver, et vendre en sécurité maximale des cryptomonnaies » que nous organisons, il a envoyé un message à Pierre Lefevre afin de l’informer de l’existence d’une nouvelle « plateforme d’échange » (sites internet sur lesquels on peut acheter, vendre, échanger ou conserver ses cryptomonnaies) (« Exchange » en anglais).
Cette plateforme, française, proposerait la vente de bitcoins sans frais, et elle proposerait un système de parrainage avantageux pour ceux qui amèneraient de nouveaux clients.
Comme l’une des premières recommandations qui sera donnée lors de notre formation, concerne justement les risques que représentent les transactions avec les plateformes d’échanges, Pierre m’a envoyé copie du message tout en me suggérant d’avoir un entretien avec Henri sur WhatsApp ou Signal, ce que j’acceptai bien volontiers.
Trois règles d’or au sujet des Exchanges (sites internet sur lesquels on peut acheter, vendre, échanger ou conserver ses cryptomonnaies)
Parmi les experts du forum « Crypto Anti-Globalists Alliance » qui nous soutien, il y a un ex-dirigeant de la programmation de la plateforme « Mt. Gox » (« Magic: The Gathering Online eXchange » qui était domiciliée à Tokyo (Japon).
« Mt. Gox » a déposé le bilan le 28 février 2014 après avoir prétendument perdu 850 000 bitcoins, dont 744 408 appartenaient à des particuliers et 100 000 à la société.
En 2010, Mt. Gox traitait 90 % des transactions en bitcoins. En février 2014, son effondrement a fait chuter le cours du bitcoin de près de 800 à 550 dollars, causant une perte estimée à 850 millions de dollars, ce qui en fait l'un des pires désastres dans l'écosystème des cryptomonnaies, dépassé seulement par la faillite de FTX en 2022, avec un passif de 10 à 50 milliards de dollars pour 100 000 bitcoins.
Tout cela pour dire, que nous avons une connaissance assez exhaustive des risques liés aux transactions que nous devons effectuer sur les plateformes d’échange, et de ces risques (qui seront expliqués dans le détail lors de la formation, ainsi que les solutions à adopter face à ces risques), il en ressort trois règles d’or : 1. Ne jamais laisser les cryptomonnaies sur les plateformes d’échange, elles ne doivent y rester que le temps nécessaire à la transaction. 2. Éviter de faire des transactions sur de nouvelles plateformes d’échange, surtout si elles dépassent les 500 dollars. 3. Pour ceux qui tiennent au respect de leur vie privée : ne jamais passer de transaction sur des plateformes d’échange domiciliées dans l’Union européenne, en particulier en France (surtout en France, d’ailleurs).
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Le culte du secret doit être votre nouveau compagnon quotidien
Un autre thème abordé avec Henri est celui du nécessaire secret qui doit entourer toute transaction ou toute possession de cryptomonnaies.
À ce sujet, qui ne s’est pas vu rétorquer un jour, au cours d’une discussion : « Nous avons tous nos petits secrets » ? Dans l’intégralité de l’écosystème des cryptomonnaies, cette question du « secret » est vraiment fondamentale pour plusieurs et importantes raisons, et nous ne parlons pas de « petits secrets » qui n’en sont jamais vraiment.
Ne pas devenir une cible facile et risquer un « home-jacking » (cambriolage qui se produit en présence des occupants de la maison ou de l’appartement)
Posséder des cryptomonnaies, au même titre que de posséder de l’or ou des diamants chez soi, ou sur soi, vous transforme en cible facile pour tout un tas de prédateurs. Pour vous en convaincre, pensez aux « home-jacking » dont sont victimes des personnes âgées, parfois pour quelques centaines d’euros.
Soyez-en persuadés, si vous vous intéressez aux cryptomonnaies décentralisées, il faut vraiment que cela soit secret : personne ne doit savoir que vous en possédez ou que vous comptez en acquérir (sauf des gens de grande confiance).
En fait, posséder des cryptomonnaies, c’est comme posséder de l’or ou des diamants dans un pays en guerre : mieux vaut que cela reste secret.
À titre anecdotique : dans toutes les formations que nous avons suivies, il nous a été recommandé de ne jamais faire part publiquement de notre intérêt pour les cryptomonnaies et de ne jamais suggérer que nous en possédions, y compris aux membres de notre famille. Et dans le cadre de conversations que nous pourrions avoir avec des amis ou de la famille au sujet des cryptomonnaies, il nous a même été conseillé, de faire le sceptique : « Aucune confiance en ce truc qui ne repose sur rien, de la monnaie de singe, etc. »…
Les risques de « cyberattaque »
Ce culte du secret qui doit être notre compagnon quotidien, doit également concerner nos activités sur internet : il ne faut pas éveiller l’attention de « pirates informatiques » qui prendraient alors notre ordinateur pour cible (cyberattaque).
En fait, avoir des cryptomonnaies, c’est être son propre banquier, c’est posséder sa propre banque, et c’est un risque, car si la banque se fait piller, les fonds qu’elle détenait seront définitivement perdus.
Il faut donc se protéger de tout cela, et nous présenterons dans le détail comment le faire au cours de la formation.
Les politiciens et les hauts-fonctionnaires ne sont pas les amis de nos libertés fondamentales ni ceux des détenteurs de cryptomonnaies
Avec l’augmentation de la surveillance gouvernementale et les attaques incessantes de la part des politiciens et des hauts-fonctionnaires contre nos droits humains, le secret protège notre vie privée de leurs attaques.
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Vraiment, si comme nous, vous pensez que les cryptomonnaies décentralisées sont non seulement une source potentielle d'enrichissement important, mais aussi des armes de résistance à l’oppression étatique, à l’agenda 2030 des Nations Unies et au programme de dépopulation des psychopathes de Davos et de leurs maîtres multimilliardaires, ne ratez pas cette formation de très grande qualité.
Important : Pour la première promotion, les inscriptions seront fermées le 15 janvier 2025 (il y aura une liste d’attente) et le 10 janvier 2025 pour ceux qui veulent investir avant le 20 janvier 2025, et j’aurai le plaisir de vous y retrouver via des webinaires et des entretiens via Signal ou WhatsApp, comme cela a été le cas avec Henri.
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