De plus en plus de start-up s'adressant au grand public collectent de l'argent auprès des particuliers. Si la plupart revendiquent l'aspect communautaire de ce type de financement, certaines l'utilisent comme un outil pour tenir jusqu'à ce que les fonds de capital-risque rouvrent les vannes.

Baptisée « Voodoo Coin » pour le moment, elle sera disponible via une ICO, sorte de levée de fonds en cryptomonnaies. Ce mode de financement, qui a connu son heure de gloire en 2017-2018, serait une première pour une licorne de la French Tech.

La jeune société française, qui doit commercialiser une voiture à pile à combustible à partir de 2025, est confrontée à des fins de mois difficiles. Le fondateur Olivier Lombard est redescendu au rang de directeur général adjoint chargé du produit.

Le nombre de Serbes travaillant dans la tech a plus que doublé depuis sept ans. L'engouement pour la Roumanie est tout aussi fort. Parmi leurs atouts : des salaires bas et de bonnes formations scientifiques.

La place de marché spécialisée dans la revente d'objets électroniques reconditionnés venait de lever 450 millions d'euros pour doper sa notoriété à l'international et lancer de nouveaux services.

Après son aventure mouvementée chez Save, spécialiste de la réparation de smartphones rachetée en 2017 à la suite d'un redressement judiciaire, le jeune entrepreneur a monté mobile.club en 2018. Cette start-up spécialisée dans la location de téléphones vient de boucler une levée de fonds auprès de 130 business angels.

Deux propositions, faites en 2020 et 2021, ont été repoussées par la start-up. L’année dernière, Figma a approché un autre géant pour un potentiel rachat : Microsoft. 

La fintech irlando-américaine a ainsi vu sa valorisation baisser de 40 % par rapport à son plus haut. Courant 2022, sa valorisation interne avait déjà été revue à baisse pour atteindre 74 milliards de dollars. 

Les start-up asiatiques n’ont pas échappé à la tendance baissière dans le monde du capital-risque. Elles ont levé 39 % de moins en 2022 pour atteindre 108 milliards de dollars. C’est surtout le dernier trimestre qui a souffert. 

La jeune entreprise parisienne annonce le bouclage d'un nouveau tour de table de 2 millions d'euros, qui porte à 7,4 millions le montant total levé. MoneyTrack va pouvoir accélérer le déploiement de sa solution de sécurisation et de réalisation des paiements en direct auprès des assureurs, tant en France qu'à l'international.