Votre newsletter de décembre 2023 – nos actions pour les droits de l’enfant
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« Une grande joie pour les élèves et leurs parents » Depuis la mise en service d’un puits, foré dans le cadre d’un projet de deux ans (2023-2024) financé par le BICE, le quotidien des 115 enfants scolarisés dans l’école Sainte Bernadette à Djékanou en Côte d’Ivoire s’est nettement amélioré. La distribution d’un repas nutritif les jours d’école permet de surcroît de lutter contre la malnutrition dont les conséquences sur le développement des enfants peuvent être dramatiques. « Le forage effectué au printemps dernier a été accueilli avec une grande joie par les élèves et les parents d’élèves. Avant, l’eau fournie par la ville, non filtrée, arrivait souvent jaune, quand nous n’étions pas confrontés à des pénuries, fréquentes à certaines périodes de l’année. Le nombre de malades en raison de la mauvaise qualité de l’eau était donc élevé. Ce nouveau puits, raccordé au réseau d’eau de notre établissement via un fût de stockage, est une vraie amélioration pour les élèves et les enseignants », expliquent les sœurs de la Charité de Nevers, responsables de l’école Sainte Bernadette à Djékanou.
De l’eau pour tous les habitants du quartier
Le projet doit permettre, par la suite, à tous les habitants du quartier de bénéficier du forage, en contrepartie d’une participation aux frais d’entretien du puits. Une extension impossible actuellement en raison des fréquentes coupures d’électricité qui empêchent le pompage de l’eau. Pour pallier cette insuffisance, un transformateur va être financé. « Nous tenons à faire profiter les habitants qui nous entourent de ce progrès. Les valeurs d’entraide et de partage sont essentielles à nos yeux. Nous avons donc à cœur de les transmettre à nos élèves et d’agir en accord avec elles. »
Des repas chaque jour pour faire reculer la malnutrition
Le BICE soutient également, depuis le début du projet, la distribution d’un déjeuner les jours d’école. Un apport nutritif primordial eu égard à l’extrême pauvreté de certaines familles des enfants bénéficiaires…
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Prise de parole du BICE à l’UNESCO Olivier Duval, président du BICE, a délivré une communication sur l’accès à l’éducation dans le monde mi-novembre lors de la 42e session de la Conférence générale de l’UNESCO. Il est important pour le BICE de porter la voix des enfants auprès d’instances internationales qui peuvent influer sur les politiques publiques. |
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Pour favoriser la résilience des enfants meurtris Le BICE axe sa campagne de collecte de Noël autour de ses projets Résilience, d’une triste nécessité dans notre monde confronté à la multiplication des conflits et des violences. Merci de nous aider à soutenir sur le plan psychologique les enfants meurtris par les atrocités dont ils sont témoins ou victimes. |
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Les enfants en danger d’addiction C’est souvent entre 15 et 25 ans que les conduites addictives se dessinent. Encore en maturation, le cerveau est plus vulnérable, tant aux tentations qu’aux effets des substances et usages à risque. D’où l’importance de la prévention, dont l’efficacité, du moins pour ce qui est de l’alcool, du tabac ou du cannabis, est avérée. |
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Des jeunes multiplicateurs pour repousser la violence Le BICE et son partenaire local poursuivent leurs actions de lutte contre les violences au Chili. Et les jeunes y ont une place centrale puisque ce sont eux qui mènent des actions de prévention auprès des enfants et adolescents des quartiers défavorisés de Puente Alto, près de Santiago, la capitale chilienne. |
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Reportage de KTO sur notre projet Faire tomber les barrières À travers le beau reportage de KTO, partez à la rencontre de jeunes en situation de handicap et de leurs familles en Géorgie, soutenus par le BICE. Notre association les accompagne dans le cadre du projet « Faire tomber les barrières », mené avec nos deux partenaires locaux, Public Health Foundation of Georgia et Union RHEA, et le soutien de l'Agence française de développement. Deux axes d’intervention sont développés : - la lutte contre les violences à l’encontre des jeunes en situation de handicap, particulièrement vulnérables ; - l’inclusion par l’apprentissage de savoir-faire et la vente des produits créés. À regarder ici |
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Crédits photos : Sœurs de la Charité de Nevers, Unesco, Gurgen Ginosyan / Arevamanuk, VPSC, KTO, BICE |
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