Le slogan « Le travail rend libre » ornait les linteaux des portails des camps de concentration nazis entre 1933 et 1945. En France, sera-t-il bientôt affiché à l’entrée des cabinets médicaux, des hôpitaux et des EHPAD : «LA MORT REND LIBRE : demandez à bénéficier de l’aide à mourir, prise en charge à 100 % par l’État. » ?
Les politiciens professionnels qui œuvrent à l’Assemblée nationale et qui ont élaboré le projet de loi cyniquement intitulé « Accompagnement des malades et de la fin de vie en France » ou encore « Aide à mourir », sont des délinquants. Ils devraient être poursuivis en justice et placés en détention préventive afin d’éviter toute récidive. En effet, les articles 223-13 et 223-14 du Code pénal français sont formels : - Article 223-13 du Code pénal : « Le fait de provoquer au suicide d’autrui est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende lorsque la provocation a été suivie du suicide ou d’une tentative de suicide. » Les peines sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 euros d’amende lorsque la victime de l’infraction définie au premier alinéa est un mineur de quinze ans. » - Article 223-14 du Code pénal : « La propagande ou la publicité, quel qu’en soit le mode, en faveur de produits, d’objets ou de méthodes préconisés comme moyens de se donner la mort est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. »
Conformément à la loi française en vigueur, il est strictement interdit de provoquer au suicide ou de faire de la propaganda ou de la publicité en faveur de produits, d’objets ou de méthodes préconisés comme moyens de se donner la mort. Or, en élaborant et en votant ce projet de loi criminel, les députés préméditent et promeuvent le suicide d’autrui ainsi que des méthodes destinées à donner la mort.
Conformément à l’article 395 du Code de procédure pénale, ces députés délinquants devraient être traduits devant le tribunal correctionnel de Paris en comparution immédiate, afin d’être condamnés à trois ans d’emprisonnement et à 45 000 euros d’amende, puisqu’ils sont pris en flagrant délit et que leur culpabilité est incontestable.
« Violer les lois pour supprimer nos droits d’êtres humains et nos libertés fondamentales est désormais une occupation à plein temps pour les politiciens. »
Mais la folle et sanguinaire répression des Gilets jaunes et la fausse pandémie de « C19 » ont emporté avec elles le semblant d’« État de droit » qui faisait encore illusion dans les cercles diplomatiques internationaux. Depuis les Gilets jaunes, en France, sous l’autorité complice du Conseil constitutionnel et du Conseil d’État, la police et la justice ne sont plus que des instruments asservis, non pas aux lois ni à la Constitution, mais aux intérêts des politiciens et des hauts fonctionnaires. Policiers et juges ont désormais pour mission principale d’exécuter aveuglément leurs ordres, tout en assurant leur protection au détriment de celle des citoyens. Ces citoyens qui doivent subir, sans broncher, l’insécurité généralisée qui leur est imposée afin qu’ils ne pensent plus qu’à une chose : survivre face au chaos qui leur est volontairement imposé, survivre en se faisant tout petits.
« Cette alliance se scellera sur le rejet définitif du Nouvel ordre mondialet du Wokisme. »
Violer les lois pour supprimer nos droits d’êtres humains et nos libertés fondamentales est désormais une occupation à plein temps pour les politiciens. Et le temps presse pour eux, car leurs maîtres, Bill Gates, Barack Hussein Obama, Hillary Clinton, et George Soros en particulier, craignent d’être emportés par la tempête Trump et la future défaite, inéluctable, de l’Ukraine face à la Russie.
Lorsque le spectre de la guerre contre la Russie aura disparu, ils se retrouveront face à une nouvelle réalité : l’alliance économique objective entre les États-Unis, la Russie et, sans doute, la Chine, l’Inde et l’Iran.
Cette alliance se scellera sur le rejet définitif du Nouvel ordre mondial et du Wokisme. Cela signera leur fin sur la scène internationale, excepté en Europe où ils trouvent refuge grâce aux politiciens qui leur ouvrent grand les portes, et où ils pourront continuer à mettre en œuvre leur programme de dépopulation de la Planète avec les seuls Européens, principalement les Français, les Anglais et les Allemands, comme victimes.
Nos politiciens ne sont pas de simples psychopathes corrompus, ce sont des psychopathes qui veulent avoir un pouvoir absolu sur nos existences, des psychopathes qui veulent exercer un droit de vie et de mort sur chacun d’entre nous !
« C’est lorsque l’animal est blessé qu’il est le plus dangereux », disent, sous une forme ou une autre, de vieux proverbes partout dans le monde.
Dans ses annales, l’historien romain Publius Cornelius Tacitus, dit Tacite (57 - 120), écrit : « corruptissima re publica plurimae leges », qui se traduit par « Dans un État des plus corrompus, les lois sont très nombreuses » (« Annales III, 27 »).
Sur le même thème, on prête à l’orateur romain Marcus Tullius Cicero, dit Cicéron (106 av. J.-C. - 43 av. J.-C), la sentence : « Plus l’effondrement d’un empire est proche, plus ses lois sont folles ».
Si l’on en croit Tacite, de plus en plus de lois folles seront votées par les politiciens, dont beaucoup sont sous l’emprise de la cocaïne, car ils veulent s’accrocher aux branches du pouvoir, rendues fragiles par l’élection de Trump aux États-Unis et la future victoire de Poutine en Ukraine. Ils savent que leur temps est sans doute compté, et qu’ils doivent redoubler d’efforts pour rester en place, comme l’animal blessé sait qu’il doit redoubler d’agressivité s’il veut avoir des chances de rester en vie face à un prédateur.
Avec cette loi actuellement votée à l’Assemblée nationale, et qui fait écho à d’autres lois similaires déjà appliquées dans d’autres pays occidentaux, nous pouvons être assurés que si nous ne nous débarrassons pas des politiciens actuels, d’une manière ou d’une autre, l’observation sur l’effondrement des empires aux lois folles de Cicéron deviendra rapidement une réalité en France, et plus largement dans l’Union européenne.
Mais une question demeure : combien de temps allons-nous supporter cet effondrement ? 1, 2, 3, 5, 10, 20 ans ou plus encore (l’effondrement de l’empire romain d’occident aurait duré de l’an 235 à l’an 476 si l’on en croit certains historiens) ?
« Suicide : mode d’emploi » : un scandale retentissant à l’origine de la loi protectrice de la vie, cette vie qui semble être la cible des sbires de Bill Gates & Co.
En juin 1982, est publié en France un livre au titre provocateur : « Suicide : mode d’emploi », dont les auteurs sont Claude Guillon et Yves Le Bonniec. Ce livre a déclenché un scandale retentissant, essentiellement en raison d’un chapitre détaillant des « recettes médicamenteuses » pour « un suicide sans violence ». Vendu à plus de 100 000 exemplaires et traduit en six langues, l’ouvrage a été accusé d’inciter au suicide, en particulier les personnes vulnérables en proie à des troubles psychologiques, comme le sont parfois de manière passagère les adolescents.
Ce tollé a conduit à une mobilisation importante des autorités religieuses, civiles et judiciaires, aboutissant à l’adoption de la loi n° 87-1133 du 31 décembre 1987, qui réprime la provocation au suicide et la promotion de moyens de se donner la mort. Le livre, explicitement visé par cette législation, a été interdit à la vente en France neuf ans après sa parution, après treize années de batailles judiciaires marquées par dix procédures. Ce scandale a mis en lumière une tension entre liberté d’expression et incitation au suicide : est-il légitime de favoriser le suicide, donc la mort, au nom de la liberté d’expression ?
Le summum de l’abject : 2 ans de prison et 30 000 € d’amende si vous tentez de dissuader quelqu’un, qui peut être un proche, d’accepter de se faire assassiner par une blouse blanche.
Dans ce débat, la gauche d’hier était favorable à la liberté d’expression, et donc à la publication du livre « Suicide : mode d’emploi », puisqu’elle favorisait la mort des personnes vulnérables et en état de souffrance.
Aujourd’hui, rejointe en cela par l’ensemble de la classe politique, elle est contre la liberté d’expression qui consisterait à s’opposer à ces assassinats orchestrés par les politiciens et exécutés par des blouses blanches. Et pour que nous le comprenions bien, les députés ont voté le délit d’« entrave » suivant : « Est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende le fait d’empêcher ou de tenter d’empêcher, par tout moyen, y compris par voie électronique ou en ligne, de pratiquer ou de s’informer sur l’aide à mourir. » Ce délit est constitué notamment par : » La perturbation de l’accès aux lieux où est pratiquée l’aide à mourir ; » L’exercice de pressions morales ou psychologiques ; » La formulation de menaces ou tout acte d’intimidation à l’encontre des personnes souhaitant bénéficier de l’aide à mourir ou des professionnels de santé impliqués ; » La diffusion ou la transmission d’allégations ou d’indications de nature à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif. » Une rupture de paradigme civilisationnel
Ce délit d’entrave marque à lui seul une rupture de paradigme civilisationnel : les médecins n’ont plus en charge le « mieux être » et les seuls soins des personnes malades et/ou en état de souffrance, en favorisant la vie. Une toute autre mission leur est désormais attribuée par les politiciens : celle de tuer, celle d’assassiner les personnes âgées dans les EHPAD et les malades ou déprimés, à qui le corps médical n’aura offert aucun espoir d’une vie meilleure, autrement qu’en leur proposant de les aider à mourir.
Les « Waffen SS médicaux », variant 2020-2025, se sont fait la main lors de la fausse pandémie de « C19 »
Cette loi sur l’aide à mourir est conforme à une pratique mise en place lors de la fausse pandémie de « C19 » par l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). En effet, sous l’autorité de l’Éborgneur en chef des Gilets jaunes, Emmanuel Macron, de son Premier ministre d’alors, Édouard Philippe, et du ministre de la Santé, Olivier Véran, il a été envoyé dans les EHPAD et à domicile des « Groupes d’intervention rapide (GIR) ». Ces GIR avaient pour mission d’assassiner à coups de piqûre de Rivotril les personnes âgées souffrant de détresse respiratoire.
Interrogé par la commission d’enquête parlementaire de l'Assemblée nationale sur la gestion de la crise sanitaire du « C19 » le 7 juillet 2020, le médecin urgentiste Olivier Youinou déclara que « ces équipes hospitalières [les GIR] avaient pour mission de mettre en œuvre un ‘protocole préétabli’ (…) appelé ‘protocole palliatif Covid’, qui était appliqué parfois sans la présence d’un médecin de l’EHPAD ou de l'hospitalisation à domicile (HAD) ». Éric Ciotti, en sa qualité de rapporteur de la commission, intervient alors : « C’est un protocole de fin de vie. » Olivier Youinou confirme en précisant : « C’est ce qui a été appelé le 'protocole palliatif Covid'. » Cet échange est directement tiré du compte rendu officiel de l'audition que tout le monde peut consulter sur le site de l’Assemblée nationale.
Ils rétablissent la peine de mort !
Cette loi rétablit la peine de mort, mais pas pour les assassins, pas pour les meurtriers ou les violeurs, non ! Pour les malades ou pour les personnes en état de « souffrance psychique » qui ont plus de 18 ans (pour l’instant).
Désormais, les politiciens l’ont décidé, être malade et pauvre (dans la pratique, cette loi ne concernera pas les riches, sauf ceux dont l’entourage souhaite la mort), ou être en état visible de souffrance psychique, et pauvre, vous vaudra la peine de mort avec exécution quasi immédiate (décision prise en 15 jours et exécutée dans les 2 jours qui suivent).
Ce n’est pas encore le système pénal du parti communiste chinois, qui lui ne concerne que les criminels, pas les malades ou les personnes en état de souffrances psychique, mais on s’y rapproche (en Chine, les condamnés à mort seraient exécutés dans les minutes qui suivent le prononcé de la sentence).
Et ce n’est que le début de leurs monstruosités
Au Canada, qui est un État pilote pour les mondialonazis, « les enfants nés avec un handicap seraient désormais susceptibles de bénéficier du suicide assisté jusqu'à un an après leur naissance » alertent des internautes sur X, et en France, l’ancien député et médecin partisan de l’Éborgneur en chef des Gilets jaunes, Jean-Louis Touraine, a déclaré publiquement : - « Il faut obtenir le plus possible dans la première loi [sur la fin de vie] et surtout, une fois qu'on aura mis le pied dans la porte, il faudra revenir tous les ans et dire « on veut étendre ça [aux adolescents et aux plus jeunes qui sont déprimés] ».
Un métier d’avenir : médecin tueur à gages…
Les assassins en blouse blanche n’auront pas besoin d’un accord écrit pour tuer leurs patients, que ce soit à leur domicile, dans leur cabinet, à l’hôpital, dans un EHPAD, ou à tout autre endroit. Ils pourront invoquer une simple demande orale de leur part, sans témoin, faite 48 heures avant qu’ils injectent le produit mortel dans leurs veines, mais après avoir demandé l’avis à un autre médecin, par téléphone ou par courriel, sans que cet avis ne soit contraignant, et sans qu’il y ait de contrôle formel.
Tout est mis en place pour que les blouses blanches puissent commettre des meurtres parfaits à grande échelle. Vous êtes médecin ou infirmier, vous avez besoin d’argent, devenez tueur à gages au service de l’État et vendez vos services à tous ceux qui comptent sur un héritage pour se la couler douce, ou à ceux qui cherchent à éliminer des rivaux. Clientèle assurée et impunité garantie par l’État, c’est-à-dire par les politiciens et les hauts fonctionnaires
Il s’agit d’un nouveau dispositif au service du programme de dépopulation de la Planète et de l’Agenda 2030.
Le droit donné aux « soignants » d’assassiner une partie de leurs patients, vient renforcer les dispositifs mis en place pour éliminer les « inutiles » par les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Terre, et par leurs sbires qui dirigent la France et les pays occidentaux (excepté les États-Unis depuis l’élection de Donald J. Trump, mais pour combien de temps ?).
Ces psychopathes doivent éliminer le maximum d’individus inutiles à la bonne marche de leur Nouvel ordre mondial, dans lequel ils n’auront besoin que d’un nombre très limité d’esclaves, mais d’esclaves instruits, dans la force de l’âge et en bonne santé, afin qu’ils puissent remplir à la perfection les tâches qui leur seront assignées.
À ceux qui se demandent encore pourquoi ils n’ont pas rendu les injections mortelles à ARNm obligatoires pour toute la population, vous avez là une partie de la réponse : la fausse pandémie de « C19 » était également un test sélectif afin d’éliminer les plus faibles et les moins intelligents, les bouches inutiles à nourrir dans la société qu’ils veulent installer pour l’éternité avec le Nouvel ordre mondial. N’oubliez pas, pour eux, la population mondiale serait composée de 80 % d’inutiles. Au train où vont les choses, la Corée du Nord passera bientôt pour un pays où il fait bon vivre, en comparaison avec la France.
Pour la défense de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales, ne devons-nous pas très sérieusement commencer à constituer une diaspora francophone ?
Face à l’effondrement prévisible de l’Union européenne et des États qui la composent, ne devons-nous pas redoubler de vigilance pour échapper au sort que les politiciens nous réservent et avant que des blouses blanches nous assassinent, légalement ?
À ce sujet, ne serait-il pas temps d’envisager de créer des clans, des communautés, des regroupements épars et varies d’individus au sein d’une diaspora fondée sur le strict respect de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales, telles qu’énoncées dans la Déclaration des droits de l’homme de 1789 ? |