La France devance l'Allemagne

Au premier semestre 2022, la French Tech a levé 8,4 milliards d'euros, soit 63 % de plus que les six premiers mois de l'année 2021, d'après le dernier baromètre EY du capital-risque en France.

La néobanque Lydia, qui a décroché fin 2021 le statut de Licorne, teste un compte courant « écolo » avec carte de paiement dont les dépôts vont être confiés à La Nef. Cette banque coopérative a demandé une extension de licence au superviseur.

Alors que 44 % des Français souhaitent devenir propriétaires d'un bien immobilier, les travailleurs indépendants sont fortement désavantagés, en raison de leur activité professionnelle jugée instable par les banquiers. On décrypte ce phénomène avec deux fondateurs de start-up qui ont dû abandonner ou repousser leur projet d'achat.

Le mouvement European Women in VC avait publié une étude mettant en lumière l'absence de parité au sein des sociétés de gestion sur le Vieux continent. En France, quelques fonds comme Elaia montrent qu'il est possible d'avoir une équipe de partners mixte.

Selon une étude de Morning Consult, 62 % des salariés français sondés avouaient regretter leur ancien poste et deux tiers n'avaient toujours pas retrouvé d'emploi.

Lors de son déplacement à Toulouse, le nouveau ministre délégué au Numérique, Jean-Noël Barrot, a dévoilé les 22 lauréats du French Tech Agri20, un programme destiné à accompagner le développement des start-up dans le secteur agricole.

Découvrez les 10 universités européennes dont sont issus le plus de fondateurs de licornes. Spoiler : la première est française. Spoiler bis : non, ce n’est pas HEC.

Ces employés habitués à demander la lune (et à l’obtenir) entendent un nouveau mot dans les start-up et les géants de la Tech : « non ». La crainte de la récession menace ce qui était alors monnaie courante : des salaires plus qu’avantageux et une flexibilité au travail presque totale.

Fin juin, la start-up Modsy spécialisée dans le design d’intérieur en ligne a brusquement fermé boutique, laissant certains clients sans solution et des rénovations inachevées. Quelques jours plus tard, la start-up était en cessation d’activité et les équipes avaient été licenciées.

Le skipper Victorien Erussard a, pendant vingt ans, pratiqué la compétition internationale à haut niveau avant de lancer « Energy Observer 1 », un navire-laboratoire ambassadeur des nouvelles technologies basées sur l'hydrogène. Son ambition : décarboner un secteur maritime très polluant.