Dans l'ouvrage La sagesse d’aimer, salué pour la qualité de son écriture et couronné par le Prix Seligmann 2017 contre le racisme, l’actrice et philosophe Zarina Khan avait entamé le récit du « roman vrai » de sa singulière destinée.
Nous l’avions laissée au sortir de l’enfance, en pleine adolescence tourmentée, hésitant à rejoindre son père à Karachi ou sa mère à Moscou. Nous la retrouvons à l’ambassade d’Allemagne dans la froideur oppressante de la Russie des années soixante-dix, confrontée à l’incandescence du volcan de son être, à l’amour naissant, véritable "forge solaire" où s’édifie son individualité. Le spectre du nazisme et le visage de son beau-père qui la tyrannise en viennent à se confondre. Cependant, en vraie "contrebandière de la liberté", elle va peu à peu s’ouvrir un chemin à travers philosophie, jubilations littéraires et le théâtre qui redonne sa place au corps meurtri.
C’est alors qu’elle élabore des outils "pour la paix" qui l’emmèneront plus tard dans les zones de conflit et les pays en guerre…
Zarina Khan s’est vu attribuer à l’unanimité le Prix Seligmann 2017 contre le racisme pour son livre LA SAGESSE D’ AIMER, le premier tome de sa biographie paru aux Editions Hozhoni en avril 2016.
Ce prix récompense une oeuvre qui s’inscrit dans un combat contre le racisme, l’intolérance et l’injustice. Les Editions Hozhoni sont très honorées d’avoir publié un texte d’une telle qualité littéraire et humaniste.