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Paris, mardi 16 avril 2024 |
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| Attaque iranienne contre Israël : comment réagiront les marchés ? L'offensive iranienne contre Israël semble avoir été minutieusement orchestrée, avec des objectifs militaires précis. Les Etats-Unis avaient été avertis par le Premier ministre irakien, et près de 99% des munitions ont été interceptées, évitant ainsi toute perte civile et dégâts majeurs. Aucun missile furtif, hypersonique ou arme de destruction massive n'a été utilisé. L'Iran a clairement adressé un message à l'Occident : bien que cette attaque n'ait pas eu de conséquences majeures, il pourrait en être autrement lors de prochaines confrontations, surtout si d'autres acteurs régionaux, comme le Yémen ou le Hezbollah, s'impliquent dans le conflit. Dans ce contexte, même la Bourse israélienne a terminé en hausse de 0,5% ; les marchés pensent donc que l'heure est à la diplomatie... Cliquez ici pour visionner la dernière vidéo de Philippe Béchade !
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| L'économie est plus forte que vous ne le pensez Il y a quelques semaines, ma femme et moi avons dîné avec des amis. Le mari travaille pour une start-up, mais est à la recherche d'un nouvel emploi dans une entreprise plus solide. Selon les dires de sa femme, "dans ce contexte économique, nous avons besoin de quelque chose de stable". Je comprends tout à fait le besoin d'un revenu stable. Mais je ne suis pas sûr que le contexte soit si difficile. Je ne me souviens pas de la dernière fois où j'ai eu un siège libre à côté de moi sur un vol – et ce n'est pas comme si les vols étaient bon marché. Il n'y a pas non plus de grosses réductions dans les hôtels, ils sont même bondés. Dans la plupart des villes, les restaurants populaires sont en plein essor malgré les prix élevés. En février, les ventes de restaurants ont augmenté de 6,3% d'une année sur l'autre aux Etats-Unis. Cliquez ici pour lire la suite. |
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| Dette publique : que doit-on faire et que peut-on faire ? (2/3) - Mory Doré - Dans notre précédent article, nous avons vu comment les banques centrales oeuvrent pour annuler la partie des dettes publiques qu'elles détiennent. Mais il reste une part considérable de dette publique détenue par le secteur privé, qui doit être remboursée sous peine de crise bancaire systémique et de choc macroéconomique sans précédent. L'impossible réduction de la dette publique française Tout d'abord, commençons par une petite clarification sur la dette publique et le déficit budgétaire. Les quelque 3 000 Mds€ de dette publique française (pour arrondir) ne sont rien d'autre que la sommation des déficits budgétaires annuels du pays (la différence entre les recettes fiscales et les dépenses publiques) accumulés depuis près de 50 ans. Donc, si votre dette est de 1 000 € à la fin de l'année N, et que votre déficit budgétaire est de 80 € sur l'exercice N+1, cela signifie que votre dette publique sera de 1 080 € en fin d'année N+1. Imaginons que vous ayez une gestion budgétaire particulièrement performante en N+2, dans un contexte de forte conjoncture, et que votre déficit budgétaire soit divisé par 4 à 20 (sous l'effet de bien meilleures rentrées fiscales et d'une forte maîtrise de la dépense publique), alors, en fin d'année N+2, la dette publique augmenterait certes moins vite (elle passera de 1 080 € à 1 100 €), mais elle augmenterait tout de même. Nous ne sommes donc pas trop extrêmes lorsque l'on parle d'impossible réduction de la dette publique française. Réduire la dette publique supposerait que l'on dégage des excédents budgétaires annuels. Cliquez ici pour lire la suite. |
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