| L'empreinte spatiale de la logistique au défi de la sobriété foncière |
| Les enjeux et les actions nés de la crise climatique marquent un tournant dans l’empreinte spatiale de la logistique. La dynamique de construction de mètres carrés qu'elle a connue en Île-de-France est désormais contrainte par l’objectif Zéro artificialisation nette (ZAN) à l’horizon 2050. Ce nouveau contexte contribue à imaginer des solutions afin d’intensifier les usages logistiques et de réinvestir les fonciers urbanisés. Les travaux menés à L’Institut Paris Region pour caractériser les filières logistiques et l’immobilier ont abouti à l’identification et à la classification de 1 600 établissements, occupant 15 millions de mètres carrés bâtis, implantés sur 280 communes. Cette Note rapide propose un point d'étape sur la démarche exploratoire engagée ouvrant des pistes pour agir sur l’existant, et le faire évoluer vers un autre modèle spatial de la logistique face au ZAN. |
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| Le développement des énergies renouvelables et de récupération à l’épreuve du ZAN |
| La massification des installations de production d’énergies renouvelables et de récupération fait partie des solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et accroître l’autonomie énergétique des territoires. Dans une région aux nombreuses contraintes (accès au foncier, réduction de l’artificialisation des sols...), comprendre et identifier les avantages et inconvénients de chaque mode de production d’énergie en matière d’emprise spatiale apparaît essentiel. Or aujourd’hui, en raison du manque de recul sur le développement de ces nouvelles filières et de la diversité des projets, il existe peu d’informations fiables, partagées et accessibles aux collectivités et aux gestionnaires de patrimoine (entreprises privées, foncières…). Cette note passe au crible cinq filières d’EnRR susceptibles d’occuper d’importantes emprises au sol : la méthanisation, l’éolien, le solaire photovoltaïque, la géothermie profonde et les chaufferies biomasse. |
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| La renaturation, un outil de restauration des trames verte et bleue |
| Toute action de renaturation peut contribuer à améliorer l’état de la biodiversité. C'est également vrai en milieu urbain. Pour autant, les bénéfices peuvent s’avérer plus ou moins importants selon la localisation du projet. Des sites judicieusement choisis peuvent permettre de résorber une discontinuité entre deux habitats adjacents, d’élargir un corridor existant ou de créer un habitat supplémentaire servant de passerelle. Ainsi, la renaturation en ville peut contribuer à renforcer la connectivité écologique et participer au rétablissement de trames verte, bleue, brune ou noire. Ces enjeux étaient au cœur des discussions du septième webinaire de notre cycle consacré à la renaturation en Île-de-France, qui s'est tenu le 12 octobre dernier. Un rendez-vous qui a permis de partager des leviers et des outils mobilisables, tout en mettant en lumière des projets réussis de restauration des différentes trames. |
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| La bataille de l'attractivité résidentielle |
| L'enracinement du travail à distance et l’exigence de nature entraînent une hausse sensible des désirs de mobilité des citadins, alimentant une petite musique sur l’exode urbain et la fin des grandes villes. Certains territoires s’en saisissent pour attirer de nouveaux habitants, notamment dans les franges de l’Île-de-France, et demander davantage de coopération des villes-centres. Vincent Gollain, directeur du département Économie de L'Institut, signe ici un article extrait du numéro 181 des cahiers de L'Institut « À Distance, la révolution du télétravail ». |
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| 200 indicateurs pour décrypter la santé des jeunes Franciliens |
| Quelles sont les consommations de soins des jeunes ? Quelles sont les prévalences des maladies psychiatriques ? Combien sont en situation de vulnérabilité ? L'ORS Île-de-France, département Santé de L'Institut, vient d'actualiser et d'enrichir les données d'InterSanté Jeunes, une application interactive sur la santé des jeunes de 12 à 25 ans en Île-de-France. Des données multi-sources issues des bases administratives (recensement, état-civil, caisses d’allocations familiales…), des enquêtes en population générale, des indicateurs construits à partir des données de l’Assurance maladie qui intègrent tous les régimes (y compris les sections mutualistes étudiantes), mais aussi des indicateurs de morbidité pour mieux appréhender certaines maladies (respiratoires, psychiatriques, diabète, cancers). Un outil unique à l'échelle d'une région, qui permet de consulter en accès libre des données territoriales sur la santé des jeunes et ses déterminants. |
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| Les industries de la santé en Île-de-France : 100 000 emplois mobilisés |
| Les industries de la santé en Île-de-France représentent 100 000 emplois répartis sur 1 595 établissements. Cette nouvelle carte, réalisée en partenariat avec Medicen Paris Region, le pôle de compétitivité santé de la Région Île-de-France, localise les établissements de la filière santé selon différents secteurs : industrie, commerce de gros, R&D, informatique... |
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