| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la Une ce vendredi, on revient sur la décision du gouvernement d'abandonner l'extension de Roissy, premier aéroport de l'Hexagone. Repoussoir pour les écologistes, ce projet mort-né a surtout pâti d'une crise sanitaire qui a réduit le trafic aérien à peau de chagrin, et fragilise l'avenir de tout le secteur. Dans le reste de l'actualité, les tests salivaires qui vont débarquer à l'école, l'appel de 160 personnalités dans nos colonnes contre les violences sexuelles sur les mineurs ou la blessure de Neymar. Bonne lecture ! |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Demain, la fin de l'avion ? Le gouvernement a annoncé hier l'abandon de la construction d'un quatrième terminal à Roissy Charles-de-Gaulle, premier aéroport français. Repoussoir pour les défenseurs de l'environnement, le projet est surtout devenu «obsolète» aux yeux du gouvernement dans le contexte d'une crise sanitaire mondiale, qui a réduit le trafic aérien à la portion congrue - Air France est d'ailleurs sur les genoux - et jeté le doute sur un l'accroissement continu des flux de voyageurs, et donc la nécessité d'adapter les infrastructures. Notre analyse à lire ici. ● Covid : les variants inquiètent, les tests salivaires débarquent. La circulation du virus reste stable en France, d'après les chiffres publiés hier. Mais la présence des variants sud-africain et brésilien en Moselle inquiète. Sur l'ensemble du territoire, ils représenteraient entre 4 à 5% des contaminations, et la souche anglaise entre 20 et 25% des infections, selon les résultats révélés par le ministre Olivier Véran. L'exécutif, désireux d'échapper à une nouvelle explosion de l'épidémie qui l'obligerait à reconfiner, va par ailleurs disposer d'un nouvel outil avec les tests salivaires à l'école. ● Coup dur pour le PSG. Comme redouté, la blessure aux adducteurs de Neymar contre Caen le privera du match aller de Ligue des champions mardi prochain à Barcelone et sans doute du retour. Encore une fois... La faute à la malédiction ? Neymar en veut, lui, à certains de ses adversaires et détracteurs qui défendent un football où les chocs sont légitimes. Mais d'autres pointent une faiblesse physique du Brésilien ou une hygiène de vie douteuse. ● Darmanin-Le Pen, duel à front renversé. Face au ministre de l’Intérieur, la patronne du RN, dans son souci de présidentialisation, a joué la modération sur le plateau de France 2, quitte à se faire accuser de ne pas être assez dure par son adversaire. Si vous l'avez manqué, voici ce qu'il faut retenr de ce débat très attendu dans les deux camps.
● Les démocrates accablent Trump. Au troisième jour du procès historique de l'ex-président américain au Sénat, ses accusateurs ont pris le temps de rediffuser des images de l’assaut du Capitole et de rappeler la longue campagne de désinformation qu’il avait menée. Selon eux, l’attaque sanglante du 6 janvier « était l’apogée des actions du président, pas une anomalie », et il pourrait recommencer s'il revenait au pouvoir.
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1 minute pour comprendre | | Le débat autour de l'âge du consentement | L’info. Après l’éclatement de plusieurs affaires de violences sexuelles sur mineurs, le gouvernement veut légiférer pour que tout acte de pénétration sexuelle entre un adulte et un mineur âgé de moins de 15 ans soit désormais considéré comme un viol. Qu'est-ce que ça va changer? Le consentement ne sera plus questionné. Aujourd’hui, tout acte sexuel sur un mineur de moins de 15 ans est considéré comme une atteinte sexuelle, un délit puni de sept ans de prison et de 100 000 euros d’amende. Pour qualifier les faits de viol, il faut apporter la preuve d’une contrainte, ce qui conduit dans certains cas le magistrat à interroger le consentement de la victime, y compris mineure. Une question qui n’aura désormais plus lieu d’être. Et en Europe ? Une quinzaine de pays, dont l’Allemagne, l’Italie et le Portugal, ont fixé ce seuil dès 14 ans et au moins autant ont choisi, comme l’Espagne ou l’Angleterre, de l’élever à 16 ans. Enfin Chypre et l’Irlande font figure d’exceptions avec un âge de consentement établi à 17 ans. | |
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