Dans un arrêté en date du 12 avril 2024, la préfecture de Loire-Atlantique fixe un délai de six mois à l’exploitant d’engrais pour évacuer l’ammoniac et le nitrate d’ammonium encore présents sur site. Une décision qui fait suite à la panne électrique qui avait débouché sur le rejet d’eaux chargées en azote dans la Loire, le 29 mars.