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Le leader de la Nupes est toujours lambertiste, un courant trotskiste dont le charisme de François Mitterrand l'avait sorti. Le lambertisme propose une vision apocalyptique et paranoïaque de la situation politique et sociale. Après s'être projeté en hologrammes, ironise l'ancien ministre, Jean-Luc Mélenchon vit maintenant dans un monde virtuel, où il entraîne toute la gauche déboussolée.
La crise politique et énergétique actuelle nous contraint à accélérer le processus de transition énergétique et à renforcer notre souveraineté énergétique. Des objectifs que nous ne pourrons atteindre qu'avec l'adhésion de l'ensemble des parties prenantes. Y compris les opposants aux énergies renouvelables…
Le capitalisme doit combiner le temps long et le temps court, et répondre à la question de son utilité face aux nouvelles attentes des parties prenantes. Ces deux défis appellent une nouvelle manière de décider et d'agir. Dans cette perspective, l'entreprise familiale possède un véritable avantage.
Si le rapport de 41 mesures remis à la Première ministre le 30 juin risque fort de faire perdurer cette impuissance politique, les déclarations de son auteur lors de sa prise de fonction du ministre de la Santé et de la Prévention le 4 juillet laissent entrevoir un espoir.
Tant que les impôts de production n'atteindront pas le niveau moyen des autres pays de l'UE, la France restera handicapée en matière de compétitivité mondiale, mais aussi en matière d'attractivité et de souveraineté.
En 1985, Jean-Pierre Chevènement, ministre de l'Education, fixait un objectif de 80 % de bacheliers, la France a alors mené des filières, des métiers et des secteurs entiers vers des tensions de main-d'oeuvre.
Le mécanisme d'ajustement aux frontières (MACF), dans sa mouture votée par les eurodéputés le 22 juin dernier puis adoptée par le Conseil des ministres, donne le mauvais signal et entretient l'illusion d'une transition énergétique sans coût.
La définition des marchés géographiques sur lesquels s'exerce le contrôle des autorités de la concurrence n'est plus adaptée au contexte actuel, ces marchés, aujourd'hui définis de manière excessivement restrictive, doivent être redessinés.
Il est temps de mettre fin au bouclier tarifaire et de généraliser des dispositifs comme le chèque énergie pour aider les Français, tout en impliquant ceux qui le peuvent vers plus de sobriété énergétique.
La BCE peut jouer un rôle de catalyseur dans le verdissement du système financier. La banque centrale a mené un test de résistance climatique qui montre que les banques doivent agir sans attendre pour mieux prendre en compte ces risques dans leurs décisions de crédit. Elle présente un premier train de mesures pour les y inciter.
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