| | | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| | Bonjour à tous. A la une ce samedi, le terrible bilan des inondations en Europe et notre sondage exclusif sur les annonces de Macron vues par les Français. Au programme également, l'affaire Dupond-Moretti, le retour de Stromae et notre enquête sur les pass sanitaires... vendus à des non-vaccinés. Bonne lecture et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Claire Hache, cheffe de service adjointe au pôle News
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| On en parle | | | ● Inondations : un très lourd bilan. Les dramatiques inondations de l’ouest de l’Allemagne ont fait près de 130 morts, et jusqu’à 1 300 disparus, selon un bilan toujours provisoire. On est loin du retour à la normale en Rhénanie du Nord-Wesphalie et en Rhénanie-Palatinat. Le récit de notre correspondante, où les habitants des villes touchées pansent leurs plaies et espèrent encore retrouver leurs proches et leurs voisins vivants. En Belgique, où l'on déplore au moins 20 victimes, les habitants de Liège découvrent les dégats alors que la Meuse amorce une lente décrue.
● Les Français favorables au pass sanitaire étendu. Avec son intervention télévisée lundi soir, Emmanuel Macron a réussi son effet. Les Français ont été majoritairement convaincus - à 59 % - tant sur les principes énoncés que sur les mesures annoncées. C'est ce que montre notre sondage Ipsos/Sopra Steria pour Le Parisien-Aujourd’hui en France et France Info.
● Dupond-Moretti mis en examen. C’est une première pour un ministre de la Justice en exercice. Eric Dupond-Moretti a été mis en examen hier par les juges de la Cour de justice de la République (CJR) qui l’avaient convoqué. De nombreux élus s'interrogent sur cette procédure à son encontre. Au sein de la majorité, bien sûr, mais aussi à droite et au RN.
● Le retour du masque. On s’en croyait débarrassé en extérieur… mais il fait son grand retour, du moins sur tout le territoire des Pyrénées-Orientales mais également dans le Bas-Rhin. Les deux départements l'ont annoncé hier, à rebours des espoirs de ceux qui espéraient un retour à la normale. Un peu plus tôt, Alain Fischer, le Monsieur vaccin du gouvernement, avait estimé pour sa part qu'il fallait «encore rester prudent» sur la levée de l’obligation du port du masque. |
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| A suivre aujourd'hui | | Les anti-pass sanitaire dans la rue | | Ils remettent ça. Trois jours après des manifestations qui ont rassemblé plusieurs milliers de personnes à travers la France, les opposants au pass sanitaire et à l'obligation vaccinale des soignants défileront de nouveau dans plusieurs grandes villes dont Paris aujourd'hui. Des événements organisés sur les réseaux sociaux, notamment dans des groupes Facebook de complotistes, d'antivax et de Gilets jaunes, comme nous vous l'expliquions jeudi. |
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| 1 minute pour comprendre | | | Vaccin : une troisième dose à la rentrée ? | L’info. La Haute Autorité de santé (HAS) a «pris acte» de l’annonce, par Emmanuel Macron, d’une troisième injection à la rentrée pour les personnes vaccinées au début de l’année. Mais elle s’est dans le même temps montrée très réservée, les données scientifiques étant encore parcellaires.
Qu’avait dit Emmanuel Macron ? En France, seules les personnes immunodéprimées sévères sont censées recevoir une dose de rappel pour le moment. Mais Emmanuel Macron a donc été bien plus loin, laissant entendre qu’il évoquait toutes les personnes primo-vaccinées en janvier et février. «De facto, cela correspond majoritairement aux plus âgés et vulnérables car ce sont ceux qui se sont fait vacciner en premier», répond l’Elysée, sans dissiper le doute.
Que change la décision de la HAS ? L’instance estime qu’il n’y a pas lieu de recommander une injection de rappel en population générale pour le moment, faute de connaissances scientifiques suffisantes. «Il y a très peu de données disponibles et avérées concernant la 3e dose, sauf pour les patients immunodéprimés pour lesquels on a un peu plus de biscuit dans la littérature scientifique», corrobore l’immunologue Stéphane Paul. Le ministère de la Santé confirme de son côté «préparer la campagne de rappels pour la rentrée» et que «les personnes vaccinées en janvier et février, les personnes fragiles et immunodeprimées seront prioritaires». Est-ce à dire que toutes ces personnes se feront de nouveau «piquer» dans les prochaines semaines? La question reste ouverte. | |
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| | «On a le droit de s’aimer» | Benoît et Mickaël
Victimes d'une agression homophobe en Corse | |
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