Maude Bonvin, Sophie Marenne [ABONNÉS] Pour cet hiver, les hôteliers de montagne escomptent une baisse de leur chiffre d’affaires d’un quart au mieux. Et à condition que le coronavirus ne gagne pas en ampleur. «La situation n’est pas encore catastrophique mais elle est proche de l’être.» Les propos de Stefan Ludwig, directeur adjoint des ventes au Palace de Gstaad, résument bien l’ambiance. «Pour certains hôtels, c’est dramatique. Notre industrie est une industrie comme les autres: l’incertitude est synonyme de pain noir. L’évolution dépendra de facteurs à la fois économiques... Lire la suite |