À 51 ans, Yannick Bestaven se prépare à remettre son titre en jeu sur le prochain Vendée Globe. D’un tour du monde à l’autre, le marin aura changé de statut comme de monture. Mais cette « victoire bizarre » comme il l’a décrit, puisqu’acquise en temps compensé, lui laisse un goût de revanche. L’envie de retourner vivre les mers du Sud aussi, pour ce qui sera son dernier Vendée. Premier volet de notre entretien pour Anticyclone.