Dans le dernier livre blanc INfluencia x Comarch Fidélisation. Attrape-moi si tu peux mais surtout garde-moi !
Ce mail contient des images, si vous n'arrivez pas à les afficher, ouvrez dans votre navigateur. Pour bien recevoir nos lettres ou nos messages, ajoutez l'expéditeur à votre carnet d’adresse | | LIVRE BLANC INfluencia + comarch "Fidélisation. Attrape-moi si tu peux mais surtout garde-moi !"
| 70% Des consommateurs affirment que la politique RSE et les engagements d’une marque influencent leur niveau de fidélité et leurs futurs achats | | Dans le cadre du livre blanc Influencia x COMARCH consacré à la Fidélisation ("Fidélisation. Attrape-moi si tu peux mais surtout garde-moi !"), découvrez l'interview de Stéphane Hugon, sociologue et cofondateur de l’institut Eranos. Selon lui, pour fidéliser le consommateur infidèle, les entreprises et les marques doivent cultiver l’attachement et la force du lien, et lui proposer plus qu’un produit. | | — extrait : | INfluencia : Croyez-vous toujours à l’utilité des programmes de fidélisation ? Les marques ne doivent-elles pas plutôt proposer des actions non transactionnelles comme leur soutien à une cause ? Stéphane Hugon : La culture de fidélisation par les avantages tarifaires ou de service est plutôt issue d’une culture anglo-saxonne, notamment avec sa tradition des coupons. Elle repose sur la dimension très rationnelle de la consommation. Comme nous le disions, il y a aujourd’hui une réelle appétence pour une dimension qui déborde ce type de calcul, même s’il ne disparaît pas. La société française en particulier, traversée par ses doutes et ses déchirements, semble être plus sensible à ce qui apparaît comme des fonctions régaliennes de l’entreprise – l’utilité sociale, la préservation des communs, la qualité relationnelle. Pour autant, les programmes de soutien de causes fonctionnent d’autant mieux qu’ils vont au-delà de la seule culpabilité – celle de la marque elle-même, et celle du consommateur qui peut plus facilement être dans le déni. L’abondance de programmes éthiques ou caritatifs a comme limite la cohérence et la légitimité du récit qui les soutient. Souvent l’antiphrase a prouvé son efficacité – les plus gros pollueurs ont été les premiers à parler d’environnement. Seule une connaissance fine des aspirations et des imaginaires des consommateurs pourra permettre de coller à leurs engagements. [...] | | Retrouvez, dans le livre blanc INfluencia x COMARCH, l'intégralité de l'interview et comment proposer à vos clients des expériences inspirantes, différenciantes, cohérentes sur tous les points de contacts, sources d'engagement et in fine de fidélisation. | |
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