Femmes en exil • Péril d’une rive à l’autreNuméro 1337 - du 11 avril 2023Les femmes représentent la moitié des personnes exilées qui arrivent en Europe et elles ne suivent pas forcément des hommes. Isolées, elles sont particulièrement vulnérables pendant le voyage. Arrivées à destination, elles n’échappent pas à la précarité. En fait, tout au long de leur parcours, elles subissent des politiques qui favorisent les violences de genre. Voir le sommaire en ligne |
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LIEN SOCIAL EN DANGERLIEN SOCIAL , en redressement judiciaire, est en danger !Lien Social va publier un hors-série intitulé
« Identité (s) professionnelle (s) des travailleurs sociaux hier, aujourd’hui, demain »
36 pages en cours de préparation, à 10 euros (ou même plus si vous le souhaitez) - Un numéro de SOUTIEN avec les contributions de grandes plumes d’hier (Michel Demay, Jean Cartry…), celles de travailleurs sociaux d’aujourd’hui, de demain (les étudiants) et de leurs formateurs.
Achetez ce numéro hors-série, hors-abonnement... (...) - Lire la suite |
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L'actu qu'il ne fallait pas rater Retrouvez tous nos infos sur le fil d'actu de Lien Social■ ACTU - Cada autogéré, la fin d’une aventure mais...Avec la fin de la trêve hivernale, le Cada autogéré de Marseille doit évacuer son lieu de vie et d’accompagnement, comme convenu. Propriété de l’État, le bâtiment avait d’abord été squatté avant d’obtenir une convention d’occupation temporaire. Le respect du contrat invite les partenaires à réitérer l’expérience.
Après un an de squat, les habitants avaient démontré leur capacité d’autogestion. Du coup avec le soutien des associations Habitat alternatif social, Just et l’Association des usagers de la Plateforme d’accueil des demandeurs d’asile (AUP), les squatteurs ont obtenu la signature d’une convention d’occupation temporaire avec le propriétaire, l’Établissement public foncier (EPF) (...) - Lire la suite |
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Le berceau des dominationsDorothée Dussy - Éditions Pocket
Un marqueur du patriarcatComment comprendre le paradoxe d’un inceste bien trop courant, alors même qu’il est interdit, sans se poser la question de son rôle structurant pour l’ordre social et d’outil primal de la domination de genre et de classe ? Avant de répondre à cette question troublante, l’auteure a interrogé un panel de vingt-deux détenus condamnés pour ce crime (...)Lire la critique de Jacques Trémintin |
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